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«La mort inévitable et la fatale nuit |
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Dans la vallée où nul soleil n'a jamais lui. |
Maurice BOUCHOR, VI - AUTREFOIS, LES POËMES DE L'AMOUR ET DE LA MER (1876) |
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A chanté pour nous cette nuit, |
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Sur la pâle colline a lui. |
Maurice BOUCHOR, XLIV - "Le dernier oiseau de l'année", LES POËMES DE L'AMOUR ET DE LA MER (1876) |
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Roulaient comme des feuilles mortes, dans la nuit. |
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Jamais si doucement au ciel noir n'avaient lui |
Maurice BOUCHOR, XXVIII - "Le vent roulait les feuilles mortes ; mes pensées", LES POËMES DE L'AMOUR ET DE LA MER (1876) |
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Et la nuit, ô nuit folle, nuit |
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Dont se grisèrent elle et lui, |
Maurice BOUCHOR, XLIV - LA VENGEANCE DES ÉTOILES, LES POËMES DE L'AMOUR ET DE LA MER (1876) |
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Jamais une plus sainte nuit ? |
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Jamais ton regard a-t-il lui ! |
Pétrus BOREL, Nuit du 28 au 29, Rapsodies (1832) |
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« Je n'ai pas vu ses traits, mais je sens que c'est lui, |
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« D'où l'orage est venu qui gronda cette nuit ! » |
Louis BOUILHET, CHANT DEUXIÈME, Melænis (1857) |
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« Que me demandes-tu ?… » cet amour d'une nuit, |
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Sans aller jusqu'au cœur, avait glissé sur lui ! |
Louis BOUILHET, CHANT QUATRIÈME, Melænis (1857) |
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801 |
« Me faisaient du bonheur pour tout un jour ! Dis-lui |
804 |
« N'eut pour témoins que toi, le silence et la nuit ! » |
Louis BOUILHET, CHANT QUATRIÈME, Melænis (1857) |
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Sans cesse autour de toi la nuit ; |
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Un chaud rayon d’été n’a lui ! |
Alfred BUSQUET, A UNE JEUNE AVEUGLE-NÉE, POÉSIES (1884) |
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Tandis que lentement s'éploie autour de lui, |
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Comme un rosier géant dans un jardin de nuit, |
Alfred BUSQUET, RIEN NE COULE PLUS DOUX…, BRABANT (1967) |
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Vite, mon cheval ! Galopons sur lui ! |
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A travers les bois, courons dans la nuit ! |
Lucie DELARUE-MARDRUS, Chasse, CHOIX DE POÈMES (1951) |
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Il dormait. Ce couchant était autour de lui |
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Montait. Et sur la ville il faisait déjà nuit. |
Lucie DELARUE-MARDRUS, LE SONGE D'UN SOIR ROUGE, HORIZONS (1905) |
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Nul n’a su détourner mes prunelles vers lui. |
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Et je me sens si haute et triste dans la nuit… |
Lucie DELARUE-MARDRUS, CAVALIER TACITURNE, LA FIGURE DE PROUE (1908) |
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22 |
Vite, mon cheval ! Galopons sur lui ! |
24 |
A travers les bois, courons dans la nuit ! |
Lucie DELARUE-MARDRUS, CHASSE, SOUFFLES DE TEMPÊTE (1918) |
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Pourquoi, moi, ne suis-je pas lui |
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D'être humain au fond de la nuit ! |
Lucie DELARUE-MARDRUS, QU'AI-JE BESOIN…, LES SEPT DOULEURS D'OCTOBRE (1930) |
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Toi qui voulais, géant, combattre contre Lui… |
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Te voilà maintenant dans une affreuse nuit !… |
J.-F. GISCLARD, LE FLÉAU DE LA GUERRE, LE FLÉAU DE LA GUERRE (1871) |
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Et cet orage et cette nuit ! |
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L'équilibre posait sur lui ! |
Charles GRANDSARD, GOLGOTHA, L'ANNÉE MAUDITE (1871) |
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Ainsi que, jour et nuit, |
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Se lamentent vers lui, |
Jules LAFORGUE, PETITE CHAPELLE, LE SANGLOT DE LA TERRE (1878-1883) |
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Lève-toi d’un bond comme lui, |
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Où traîne encore un peu de nuit. |
Charles LE GOFFIC, CONSEILS À UNE BELLE NONCHALANTE, Poésies complètes (1889-1914) |
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Ces soirs-là, comparant l’ombre qui rôde en lui |
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À la blanche splendeur des choses de la nuit, |
Albert LOZEAU, EFFETS DE NEIGE ET DE GIVRE, Poésies complètes I (1907) |
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Le jour, il dort ; la nuit, |
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Et qui veille avec lui. |
Henri MURGER, ANTITHÈSE, Les Nuits d'hiver (1861) |
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Rien de lui ne s'échappe et ne s'ajoute à lui. |
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Plus vaste que l'espace et plus haut que la nuit. |
Anna de NOAILLES, UN ABONDANT AMOUR…, Les Vivants et les Morts (1913) |
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Un rubis auprès de lui |
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N’est que nuit, |
Raoul PONCHON, LE VIN DE MON AMI, La muse au cabaret (1920) |
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Quand, la première nuit, |
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En ne pensant qu’à lui… |
Raoul PONCHON, FIVE O’CLOCK ABSINTHE, La muse au cabaret (1920) |
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Qui ressemblent au sang que l'on répand pour lui : |
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Sur le rivage obscur du fleuve de la nuit. |
Henri de RÉGNIER, STANCES, La Cité des eaux (1902) |
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Qu'il soit nu de lumière ou soit drapé de nuit, |
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Lorsque sur le chemin vous passez près de lui. |
Henri de RÉGNIER, STANCES, La Cité des eaux (1902) |
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Et de tout le silence et de toute la nuit |
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Pour lui faire oublier ce qui vécut en lui. |
Henri de RÉGNIER, L'OUBLI SUPRÊME, La Cité des eaux (1902) |
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Regarde devant toi ce qui reste de lui |
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Dans la clarté de l'aube et l'ombre de la nuit, |
Henri de RÉGNIER, L'HOMME ET LES DIEUX, La Cité des eaux (1902) |
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Que l' bon Dieu m'appell' donc à lui ! |
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La tomb' s'ra jamais que d' la nuit |
Maurice ROLLINAT, L'Aveugle, Paysages et Paysans (1899) |
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Où l'art met le secret vibrant qu'il porte en lui |
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Ajoute de beauté frissonnante à la nuit !… |
Albert SAMAIN, "C'était une mondaine et charmante féerie.", Poèmes inachevés (1924) |
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Et soudain, dans le calme immense de la nuit, |
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Sous un souffle venu des siècles jusqu'à lui, |
Albert SAMAIN, LE BERCEAU, Le Chariot d'or (1900) |
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J'ai vu le Diable, l'autre nuit ; |
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S'il faut dire : Elle, ou : Lui. |
Paul-Jean TOULET, L - "J'ai vu le Diable, l'autre nuit ;", LES CONTRERIMES (1921) |