Victor HUGO (1802-1885)
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Les feuilles d'automne
1831
▪ I. "Ce siècle avait deux ans ! Rome remplaçait Sparte,"
▪ II. À M. LOUIS B.
▪ III. RÊVERIE D'UN PASSANT À PROPOS D'UN ROI
▪ IV. "Que t'importe, mon cœur, ces naissances des rois,"
▪ V. CE QU'ON ENTEND SUR LA MONTAGNE
▪ VI. À UN VOYAGEUR
▪ VII. DICTÉ EN PRÉSENCE DU GLACIER DU RHÔNE
▪ VIII. À M. DAVID, STATUAIRE
▪ IX. À M. DE LAMARTINE
▪ X. "Un jour au mont Atlas les collines jalouses"
▪ XI. DÉDAIN
▪ XII. "Ô toi qui si longtemps vis luire à mon côté"
▪ XIII. À M. FONTANEY
▪ XIV. "Ô mes lettres d'amour, de vertu, de jeunesse,"
▪ XV. "Laissez. — Tous ces enfants sont bien là. — Qui vous dit"
▪ XVI. "Quand le livre où s'endort chaque soir ma pensée,"
▪ XVII. "Oh ! pourquoi te cacher ? Tu pleurais seule ici."
▪ XVIII. "Où donc est le bonheur ? disais-je. — Infortuné !"
▪ XIX. "Lorsque l'enfant paraît, le cercle de famille"
▪ XX. "Dans l'alcôve sombre,"
▪ XXI. "Parfois, lorsque tout dort, je m'assieds plein de joie"
▪ XXII. À UNE FEMME
▪ XXIII. "Oh ! qui que vous soyez, jeune ou vieux, riche ou sage,"
▪ XXIV. "Madame, autour de vous tant de grâce étincelle,"
▪ XXV. "Contempler dans son bain sans voiles"
▪ XXVI. "Vois, cette branche est rude, elle est noire, et la nue"
▪ XXVII. À MES AMIS L. B. ET S.-B.
▪ XXVIII. À MES AMIS S.-B. ET L. B.
▪ XXIX. LA PENTE DE LA RÊVERIE
▪ XXX. SOUVENIR D'ENFANCE
▪ XXXI. À MADAME MARIE M.
▪ XXXII. POUR LES PAUVRES
▪ XXXIII. A ***, TRAPPISTE À LA MEILLERAYE
▪ XXXIV. BIÈVRE
▪ XXXV. SOLEILS COUCHANTS
▪ XXXVI. "Un jour vient où soudain l'artiste généreux"
▪ XXXVII. LA PRIÈRE POUR TOUS
▪ XXXVIII. PAN
▪ XXXIX. "Avant que mes chansons aimées,"
▪ XL. "Amis, un dernier mot ! — et je ferme à jamais"
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