La dernière Pensée de Weber |
Je me promenais dans un jardin délicieux : sous
l'épais gazon on voyait des violettes et des roses
dont le doux parfum embaumait l'air. Un son doux et
harmonieux se faisait entendre, et une tendre clarté
éclairait le paysage. Les fleurs semblaient
tressaillir de bonheur et exhaler de doux soupirs.
Tout à coup, je crus m'apercevoir que j'étais moi —
même le chant que j'entendais, et que je mourais.
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Hoffmann.
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Juin 1845.
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mètre |
profils métriques : 3, 7, 8
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