34 |
Nous guides à travers les écueils d'ici-bas, |
36 |
Lampe d'Héro, ne t'éteins pas ! |
Louise-Victorine ACKERMANN, XIV - La Lampe D'Héro, PREMIÈRES POÉSIES (1862) |
|
14 |
Crie à tout ce qui naît : « Aime et meurs ici-bas ! » |
16 |
Vous n'échapperez pas. |
Louise-Victorine ACKERMANN, IV - L’Amour et la Mort, POÉSIES PHILOSOPHIQUES (1871) |
|
26 |
Et résolu d'un mot l'énigme d'ici-bas ? |
29 |
Ta réponse est absurde, et le Sphinx n'en veut pas. |
Louise-Victorine ACKERMANN, XV - Pascal, POÉSIES PHILOSOPHIQUES (1871) |
|
86 |
Par de fermes liens ne las attachait pas, |
88 |
Plutôt que d'éclairer un pareil ici-bas. |
Louise-Victorine ACKERMANN, XIX - Le Déluge, POÉSIES PHILOSOPHIQUES (1871) |
|
51 |
Et deux anges fuyaient, heureux, loin d’ici-bas ; |
52 |
Et l’enfant endormi ne se réveilla pas ! |
Jean AICARD, I - L’ANGE ET L’ENFANT, Les Jeunes Croyances (1867) |
|
14 |
Je ne veux pas aimer comme on aime ici-bas, |
16 |
Tant qu’il pourra monter ne se posera pas ! |
Jean AICARD, I - AMOURS, Les Jeunes Croyances (1867) |
|
1 |
J’ai besoin de silence… oh ! ne me parlez pas ! |
3 |
Et j’entrevois au loin, sous les vapeurs, là-bas, |
Jean AICARD, XVII - EXIL, Les Jeunes Croyances (1867) |
|
9 |
Le cœur saignant et, pas à pas, |
12 |
Sans espoir de paix ici-bas ? |
Ernest AMELINE, ADIEUX, CHANTS D’EXIL (1870) |
|
19 |
Et, soit qu'en faisant un pas |
20 |
Elle regardât en bas |
Théodore de BANVILLE, A Méry, ODELETTES (1856) |
|
55 |
Au bel Ange qui suit vos pas : |
56 |
Je veux que ma route ici-bas |
Théodore de BANVILLE, A Odette, ODELETTES (1856) |
|
14 |
Je la suivis… — Ton cœur ne t'a pas dit tout bas |
16 |
Et mettait… mettait, pas pour pas, |
Jules BARBEY D'AUREVILLY, À Valognes, Poussières (1854) |
|
6 |
Il est si cruel et si bas ! |
8 |
Ce que, toi, tu ne connais pas ! |
Jules BARBEY D'AUREVILLY, Chanson, Poussières (1854) |
|
7 |
Le rêve que les cœurs épris font ici-bas. |
10 |
Pour t'en vouloir, — et je ne t'en veux pas ! |
Jules BARBEY D'AUREVILLY, "Tu t'en vas, — ce n'est pas ta faute.", Poussières (1854) |
|
26 |
L'impassible témoin des douleurs d'ici-bas… |
28 |
L'être que nous aimons passe et tu ne meurs pas ! |
Jules BARBEY D'AUREVILLY, La Haine Du Soleil, Poussières (1854) |
|
1 |
N'est-il pas un remède, et ne guérit-on pas ? |
4 |
Je ne sais quelle voix a murmuré tout bas. |
Maurice BOUCHOR, XV - "N'est-il pas un remède, et ne guérit-on pas ?", LES POËMES DE L'AMOUR ET DE LA MER (1876) |
|
22 |
Tavernier qui ne comprends pas, — |
24 |
Et pourquoi je m'en vais là-bas. |
Maurice BOUCHOR, XX - "Éteignant ses pâles étoiles,", LES POËMES DE L'AMOUR ET DE LA MER (1876) |
|
67 |
Et les rameurs ne chantaient pas ; |
70 |
Sans savoir où, toujours là-bas… |
Maurice BOUCHOR, XXIII - "Par une nuit d'été délicieuse et triste", LES POËMES DE L'AMOUR ET DE LA MER (1876) |
|
6 |
Ne comprenant rien aux bruits d'ici bas, |
7 |
Nous aimant toujours, ne nous parlant pas, |
Maurice BOUCHOR, XIII - "Nous nous aimerons au bord d'un sentier", LES POËMES DE L'AMOUR ET DE LA MER (1876) |
|
2 |
Adouci, semble un chant là-bas, |
3 |
Lorsque marchant à petits pas |
Maurice BOUCHOR, XXV - PRINTEMPS TRISTE, LES POËMES DE L'AMOUR ET DE LA MER (1876) |
|
15 |
Je suis par-dessus vous, et ne m’en prévaus pas : |
18 |
Je doy loger en haut, si vous logez en bas. |
Isaac de BENSERADE, Plainte du Cheval Pégaze aux Chevaux de la Petite Écurie,, Poésies de Benserade (1697) |
|
8 |
Et vous soupirez tout bas. |
11 |
Lise, vous ne filez pas. |
Pierre-Jean de BÉRANGER, LA MÈRE AVEUGLE, Chansons (1815) |
|
58 |
Vers la cour il marche à grands pas. |
60 |
Devant Robin ont chapeau bas ! |
Pierre-Jean de BÉRANGER, L'AMI ROBIN, Chansons (1815) |
|
35 |
Mon cher, ne vous gênez pas, |
36 |
Mon équipage est là bas. » |
Pierre-Jean de BÉRANGER, LE SÉNATEUR, Chansons (1815) |
|
35 |
Dieu ! Ne prononce-t-il pas |
36 |
Le mot de cocu… tout bas ? |
Pierre-Jean de BÉRANGER, LE MAÎTRE D'ÉCOLE, Chansons (1815) |
|
13 |
Mais dans combien de mauvais pas |
15 |
Ah ! Du destin l'homme ici-bas |
Pierre-Jean de BÉRANGER, LES MARIONNETTES, Chansons (1815) |
|
11 |
L'ambition hâte mes pas, |
13 |
D'apprendre à m'incliner bien bas. |
Pierre-Jean de BÉRANGER, HABIT DE COUR, Chansons (1815) |
|
34 |
Est ma tâche ici-bas. |
36 |
Ne m'aimeront-ils pas ? |
Pierre-Jean de BÉRANGER, MA VOCATION, Chansons (1815) |
|
35 |
Et jamais, quoi qu'il fasse, un mortel ici-bas |
36 |
Ne peut aux yeux du monde être ce qu'il n'est pas. |
Nicolas BOILEAU-DESPRÉAUX, SATIRE XI, SATIRES (1666-1716) |
|
237 |
Il sortit tout à coup, et, murmurant tout bas |
238 |
Quelques termes d'aigreur que je n'entendis pas, |
Nicolas BOILEAU-DESPRÉAUX, ÉPÎTRE XII - SUR L'AMOUR DE DIEU, ÉPITRES (1670-1698) |
|
285 |
Qu'il pût dire tout haut ce qu'il se dit tout bas ; |
286 |
Ah ! Docteur, entre nous, que ne dirait-il pas ? |
Nicolas BOILEAU-DESPRÉAUX, SATIRE VIII, SATIRES (1666-1716) |
|
38 |
« C'est la voisine, n'est-ce pas, |
39 |
Dont on creuse le trou là-bas ? |
Louis BOUILHET, LIV - LA FILLE DU FOSSOYEUR, DERNIÈRES CHANSONS (1869) |
|
258 |
Il serra ses deux poings en murmurant tout bas ; |
259 |
Mais Paulus était loin, Paulus n'entendit pas ; |
262 |
Comme la foudre aux cieux, bondissant, à grands pas, |
Louis BOUILHET, CHANT DEUXIÈME, Melænis (1857) |
|
564 |
Il vit, ou pensa voir, dans l'ombre, à quelques pas, |
565 |
Deux formes s'agiter, qu'il ne reconnut pas. |
568 |
Et, s'accrochant aux mains, il atteignit le bas. |
Louis BOUILHET, CHANT DEUXIÈME, Melænis (1857) |
|
296 |
Que Coracoïdès ne le reconnut pas. |
297 |
‒ Aux jambes du bouffon Paulus réglait son pas. ‒ |
299 |
S'était perdu dans Rome, et qu'aux thermes, là-bas, |
Louis BOUILHET, CHANT TROISIÈME, Melænis (1857) |
|
2 |
Va demander ta joie aux rêves d'ici-bas, |
4 |
La main de l'imprudent qui ne la connaît pas. |
Louis BOUILHET, A UN JEUNE HOMME, POÉSIES. FESTONS ET ASTRAGALES (1859) |
|
387 |
Ils se parlaient entre eux et murmuraient tout bas. |
390 |
Et quand il fut s'asseoir, on ne le suivit pas ! |
Louis BOUILHET, CHANT QUATRIÈME, Melænis (1857) |
|
548 |
Qui va hochant la tête et murmure tout bas |
549 |
Des mots mystérieux que l'on ne comprend pas !… |
552 |
Et dans la grande salle on entendit des pas. |
Louis BOUILHET, CHANT QUATRIÈME, Melænis (1857) |
|
698 |
Il sait quels mots profonds tu caches ici-bas, |
700 |
Qu'avec ses sens grossiers l'homme n'entendait pas. |
Louis BOUILHET, LES FOSSILES, POÉSIES. FESTONS ET ASTRAGALES (1859) |
|
59 |
Mais l'enfant, malgré lui, rentrant à petits pas, |
60 |
Songeait à ce bruit sourd qu'on entendait là-bas, |
Louis BOUILHET, XXII - L'AMOUR NOIR, DERNIÈRES CHANSONS (1869) |
|
67 |
Si léger sous les bois et respirant si bas |
68 |
Que les oiseaux couchés ne se réveillaient pas. |
Louis BOUILHET, XXII - L'AMOUR NOIR, DERNIÈRES CHANSONS (1869) |
|
119 |
Que l'éternel regret des douceurs d'ici-bas |
120 |
Leur tire des soupirs à chacun de leurs pas, |
Auguste BARBIER, LE CAMPO SANTO, Ïambes et poèmes (1831) |
|
46 |
Pour nous anéantir il faudrait ici-bas |
48 |
Mais ce germe doré ne s'extirpera pas ; |
50 |
Toujours le malheureux lui cédera le pas. |
Auguste BARBIER, MENACE ET CORRUPTION, Ïambes et poèmes (1831) |
|
139 |
Les frères hâtent le pas. |
140 |
« Voyez, dit Pierre tout bas, |
Émile BERGERAT, LES NEUTRES, POËMES DE LA GUERRE (1871) |
|
115 |
« Je leur dirai cela dans la forêt, là-bas. |
116 |
« Car j'y vais retourner ! En ne te voyant pas, |
Émile BERGERAT, LE MAÎTRE D'ÉCOLE, LE MAÎTRE D'ÉCOLE (1870) |
|
5 |
Dans cette femme aussi n'est-ce point ici-bas |
6 |
Chercher comme un rayon du dieu qu'on ne voit pas ? |
Auguste BRIZEUX, "Souvent je me demande et je cherche en tout lieu", Marie (1831) |
|
51 |
Je parlais à Marie en secret et tout bas ; |
52 |
Mais elle m'écoutait et ne répondait pas ; |
Auguste BRIZEUX, MARIE (5), Marie (1831) |
|
193 |
Brillaient d'en haut jusqu'en bas ? |
196 |
Oui, mais ils ne dansaient pas. |
Auguste BRIZEUX, HISTOIRE D'IVONA, Marie (1831) |
|
29 |
Chaque objet cependant s'éclaircit : à deux pas, |
30 |
Je vois le lit de chêne et son coffre ; et plus bas |
Auguste BRIZEUX, MARIE (8), Marie (1831) |
|
25 |
Qu'on baise avec transport, et qu'on relit tout bas ! |
26 |
Oh ! Qui pourrais-je aimer, si je ne t'aimais pas ? |
Auguste BRIZEUX, À MA MÈRE, Marie (1831) |
|
15 |
Soyez béni, mon dieu ! Dans les biens d'ici-bas, |
16 |
Ceux qu'on poursuit le plus, je ne les aurai pas. |
Auguste BRIZEUX, MARIE (12), Marie (1831) |
|
65 |
Morbleu ! j'ai soif !… Verse… Et ne réponds pas. |
66 |
Que marmottes-tu là tout bas ? |
Jules BARBIER, XXVIII - LA SOIF, LE FRANC-TIREUR (1871) |
|
34 |
Insensés !… Ce lion ne vous menaçait pas ; |
36 |
Qui lui doit d'être encor quelque chose ici-bas ! |
Jules BARBIER, XXXI - LE LION ET LE TIGRE, LE FRANC-TIREUR (1871) |
|
62 |
Le soir est long. Je ne sais pas |
63 |
Dans quel grand naufrage, là-bas, |
Henri BARBUSSE, REPOS, Les Pleureuses (1895) |
|
13 |
Ne reviens pas, même un instant, même tout bas… |
15 |
Laisse-nous tous les deux dormir ! ne reviens pas |
Henri BARBUSSE, L'ÉLOIGNEMENT, Les Pleureuses (1895) |
|
2 |
Ses amis sont là-bas, là-bas… |
3 |
Elle s'avance à petits pas |
Henri BARBUSSE, "Elles sont mortes, ses amies,", Les Pleureuses (1895) |
|
6 |
L'un des supplices d'ici-bas, |
8 |
J'en souffre et l'on ne me plaint pas ! » |
Mélanie BOUROTTE, XCVIII - "Pierre dit : « Le mal qui m'incombe", Le sphynx au foyer (1883) |
|
21 |
On volerait si bas, si bas. |
24 |
Son petit cœur n’entendrait pas ! |
Alfred BUSQUET, A NINO GARNIER, POÉSIES (1884) |
|
12 |
En me disant : « Je ne t'oublierai pas ; |
14 |
En t'écrivant quand je serai là-bas ! » |
Jean Baptiste CAOUETTE, BLANCHE, TE SOUVIENT-IL, LES VOIX INTIMES (1892) |
|
2 |
Le petit pauvre a mis son bas, |
4 |
Bon Jésus, ne m'oubliez pas ! |
Jean Baptiste CAOUETTE, LA NUIT DE NOËL, LES VOIX INTIMES (1892) |
|
14 |
Au ciel pour toi je demande ici-bas |
16 |
Et les enfants que ton oncle n'a pas. |
François-René de CHATEAUBRIAND, XI - Pour le mariage de mon neveu, POÉSIES DIVERSES (1797-1827) |
|
5 |
Assez long-temps j’en ai gémi tout bas. |
7 |
Il faut l’aimer ; cela ne prenait pas. |
Sébastien-Roch-Nicolas de CHAMFORT, PROLOGUE D’UN AUTRE CONTE, ŒUVRES COMPLÈTES (1851) |
|
36 |
Sa femme furieuse est bientôt sur ses pas, |
37 |
Tire d’abord l’échelle à bas : |
Sébastien-Roch-Nicolas de CHAMFORT, LE SAUT DE LA SOUPENTE, ŒUVRES COMPLÈTES (1851) |
|
144 |
Ses conquêtes, ses lois, en ajoutant tout bas |
145 |
Que, sans un fort subside, il ne partira pas. |
Sébastien-Roch-Nicolas de CHAMFORT, FRAGMENS D’UNE ÉPITRE DIPLOMATIQUE, ŒUVRES COMPLÈTES (1851) |
|
17 |
La malade soudain veut ravoir l’autre bas. |
18 |
On cherche, on se tracasse, il ne se trouve pas : |
Sébastien-Roch-Nicolas de CHAMFORT, LA JAMBE DE BOIS ET LE BAS PERDU, ŒUVRES COMPLÈTES (1851) |
|
30 |
Sombre, j’ai murmuré bien bas : |
31 |
« O troupeaux, ne vous plaignez pas |
François COPPÉE, LE SIÈGE DE PARIS, Sonnets intimes et Poèmes inédits (1925) |
|
38 |
Qu’on invite en saluant bas, |
40 |
Qui répond : « Je ne valse pas ; » |
François COPPÉE, AU THÉÂTRE, Sonnets intimes et Poèmes inédits (1925) |
|
5 |
N’ont pas le don de plaire aux heureux d’ici-bas ; |
6 |
Ton livre les étonne et ne se lira pas. |
François COPPÉE, ALLONS, POÈTE, IL FAUT EN PRENDRE TON PARTI !, Sonnets intimes et Poèmes inédits (1925) |
|
29 |
Le piano chantait toujours plus bas, plus bas. |
30 |
Puis, un certain soir d'août, je ne l'entendis pas. |
François COPPÉE, ADAGIO, LE RELIQUAIRE (1866) |
|
73 |
Cela fera plaisir au bon Dieu, n'est-ce pas ? |
74 |
Il est au Ciel. Hélas ! est-il heureux là-bas ? |
François COPPÉE, UNE SAINTE, LE RELIQUAIRE (1866) |
|
47 |
— Ce mot là, c'est toujours du français, n'est-ce pas ? — |
48 |
Quelques-uns d'entre nous se plaignent bien tout bas |
François COPPÉE, LETTRE D'UN MOBILE BRETON, ÉCRIT PENDANT LE SIÈGE (1870) |
|
10 |
On les voit se parler tout bas, |
12 |
Où les oiseaux ne chantent pas. |
François COPPÉE, Enfants Trouvées, POÈMES MODERNES (1867-1869) |
|
52 |
—Non, berger. N'entends-tu pas |
53 |
Que là-bas |
François COPPÉE, Le Printemps, LE CAHIER ROUGE (1874) |
|
29 |
Le piano chantait toujours plus bas, plus bas. |
30 |
Puis, un certain soir d’août, je ne l’entendis pas. |
François COPPÉE, Adagio, PROMENADES ET INTÉRIEURS (1872) |
|
22 |
Hélas ! les jeunes gens émigrent de là-bas ; |
24 |
Et leurs filles, ses sœurs, ne se marieront pas. |
François COPPÉE, Le Canon, LE CAHIER ROUGE (1874) |
|
9 |
Où le beau-père et les gens murs, à quelques pas, |
10 |
Vont jouer au bouchon et mettent habit bas. |
François COPPÉE, Noces et Festins, LE CAHIER ROUGE (1874) |
|
38 |
Pour vous qui logez tout là-bas ; |
40 |
Vous viendrez demain, n’est-ce pas ? |
François COPPÉE, Simple Ambition, LES HUMBLES (1872) |
|
73 |
Seigneur, sans ton vouloir rien n'arrive ici-bas : |
76 |
Que ce grand tout suit pas à pas. |
Pierre CORNEILLE, CHAPITRE L - Comment un homme désolé doit se remettre entre les mains de Dieu., Imitation De Jésus-Christ (1656) |
|
39 |
Seigneur, puisqu'il t'a plu de choisir ici-bas |
42 |
Par le mépris du monde avance sur tes pas. |
Pierre CORNEILLE, CHAPITRE LVI - Que nous devons renoncer à nous-mêmes, et imiter Jésus-Christ en portant notre croix., Imitation De Jésus-Christ (1656) |
|
64 |
Et toutes les vertus qui brillent ici-bas |
66 |
Pour qui va sur ses pas. |
Pierre CORNEILLE, CHAPITRE V - De la dignité du sacrement, et de l'état du sacerdoce., Imitation De Jésus-Christ (1656) |
|
1115 |
Ils marchaient après vous deux ou trois mille pas ; |
1116 |
Ils vous ont vu courir, tomber le mort à bas, |
Pierre CORNEILLE, La Suite du Menteur, La Suite du Menteur (1645) |
|
35 |
J'aurais en ma faveur le courage bien bas, |
36 |
Si je fuyais des maux que vous ne fuyez pas. |
Pierre CORNEILLE, Œdipe, Œdipe (1659) |
|
55 |
S'il me fallait ramper dans un degré plus bas ; |
57 |
Pour vouloir jusque-là vous suivre pas à pas. |
Pierre CORNEILLE, Agésilas, Agésilas (1666) |
|
745 |
Dites ce qu'à ce nom le cœur vous dit tout bas, |
746 |
Ou je dirai tout haut qu'il ne vous déplaît pas. |
Pierre CORNEILLE, Agésilas, Agésilas (1666) |
|
1599 |
Son cœur l'en désavoue, et murmurant tout bas… |
1601 |
Tout ce qu'elle en prétend ne m'alarmerait pas, |
Pierre CORNEILLE, Agésilas, Agésilas (1666) |
|
1173 |
Seule en ce grand logis, elle court haut et bas, |
1174 |
Elle renverse tout ce qui s'offre à ses pas, |
Pierre CORNEILLE, La Veuve, La Veuve (1632) |
|
262 |
Honore les saints ici-bas, |
263 |
Et tâche d'affermir tes pas |
Pierre CORNEILLE, CHAPITRE XXIII - De la méditation de la mort., Imitation De Jésus-Christ (1656) |
|
335 |
Ses disciples aimés suivoient par là ses pas ; |
336 |
Et quiconque après eux veut le suivre ici-bas, |
Pierre CORNEILLE, CHAPITRE XII - Du chemin royal de la sainte croix., Imitation De Jésus-Christ (1656) |
|
88 |
Vous pourrez trébucher bien bas, |
90 |
Pour guides à vos premiers pas. |
Pierre CORNEILLE, CHAPITRE VII - Qu'il faut cacher la grâce de la dévotion sous l'humilité., Imitation De Jésus-Christ (1656) |
|
77 |
Par un dernier mépris ose imprimer ses pas, |
80 |
Tu te mettes encor plus bas. |
Pierre CORNEILLE, CHAPITRE XIII - De l'obéissance de l'humble sujet, à l'exemple de Jésus-Christ., Imitation De Jésus-Christ (1656) |
|
33 |
Quel pas ! |
36 |
Bien bas ! |
Tristan CORBIÈRE, GENTE DAME, LES AMOURS JAUNES (1873) |
|
21 |
Pour les gens du pays, il ne les voyait pas : |
22 |
Seulement, en passant, eux regardaient d'en bas, |
Tristan CORBIÈRE, LE POÈTE CONTUMACE, LES AMOURS JAUNES (1873) |
|
15 |
Du prêtre, sous l'autel, n'ouïs-tu pas les pas |
16 |
Et le mot qu'à l'Hostie il murmure tout bas ?… |
Tristan CORBIÈRE, GRAND OPÉRA, LES AMOURS JAUNES (1873) |
|
15 |
Sommeil ! écoute-moi : je parlerai bien bas : |
16 |
Sommeil — Ciel-de-lit de ceux qui n'en ont pas ! |
Tristan CORBIÈRE, LITANIE DU SOMMEIL, LES AMOURS JAUNES (1873) |
|
84 |
Sommeil — écoute-moi, je parlerai bien bas : |
85 |
Crépuscule flottant de l'être ou n'être pas !… |
Tristan CORBIÈRE, LITANIE DU SOMMEIL, LES AMOURS JAUNES (1873) |
|
58 |
Du haut en bas ! |
60 |
N'y tiendrait pas … |
Tristan CORBIÈRE, LE PHARE, LES AMOURS JAUNES (1873) |
|
2 |
Ce visage et ce front bas |
3 |
Et ces yeux qui ne voient pas |
Tristan CORBIÈRE, Rêverie, Petits airs (1920) |
|
5 |
Tu nous lorgnes, pensant tout bas |
8 |
Que nos yeux creux ne valent pas |
Charles CROS, A une chatte, Le Coffret De Santal (1879) |
|
21 |
A coup sûr, tu ne seras pas |
24 |
Ne peut te retenir en bas. |
Charles CROS, A une jeune fille, Le Coffret De Santal (1879) |
|
222 |
Voyez glisser là-bas |
225 |
L'allure de ses pas. |
Louis DANTIN, L'hostie du maléfice, Le Coffret de Crusoé (1932) |
|
43 |
« L'amour, vrai Bien, ne nous leurr' pas ; |
44 |
Les ang's de Dieu sont ici-bas. » |
Louis DANTIN, La complainte du coeur noyé, Le Coffret de Crusoé (1932) |
|
4 |
Elle le berçait, et chantait tout bas |
6 |
Mais l’enfant-Jésus ne s’endormait pas. |
Alphonse DAUDET, LA VIERGE À LA CRÈCHE, LES AMOUREUSES (1858) |
|
11 |
S’en fut, lui murmurant tout bas : |
14 |
« Et que mon coiffeur ne vient pas. » |
Alphonse DAUDET, LA RÊVEUSE, LES AMOUREUSES (1858) |
|
17 |
Qu’un chagrin se révèle en soupirant tout bas : |
18 |
Si je pouvais chanter, je ne l’entendrais pas ! |
Marceline DESBORDES-VALMORE, LES DEUX BERGÈRES, POÉSIES (1830) |
|
6 |
Et sans me regarder il a doublé ses pas. |
8 |
Je le devinais mieux quand il souffrait tout bas ! |
Marceline DESBORDES-VALMORE, BONSOIR, POÉSIES (1830) |
|
16 |
Heureux, dis-tu, qui n’aime pas ! |
19 |
Sais-tu ce que je dis tout bas ? |
20 |
« Que je te plains ! tu n’aimes pas. » |
Marceline DESBORDES-VALMORE, QUE JE TE PLAINS, POÉSIES (1830) |
|
10 |
Dis ! ne me plains-tu pas ? |
12 |
Mon nom s’exhale-t-il tout bas ? |
Marceline DESBORDES-VALMORE, C’EST MOI, POÉSIES (1830) |
|
62 |
Il fallait fuir : des pleurs ne lui suffisaient pas ; |
64 |
Il pardonnait tout haut, il maudissait tout bas. |
Marceline DESBORDES-VALMORE, LE BERCEAU D’HÉLÈNE, POÉSIES (1830) |
|
10 |
Danseraient à la porte et chanteraient tout bas ; |
12 |
« Une mère est malade, enfants, ne chantez pas ! » |
Marceline DESBORDES-VALMORE, CONTE D’ENFANT, POÉSIES (1830) |
|
63 |
Tout s’enfuira de vous, j’en pleurerai tout bas ; |
65 |
Que ferons-nous alors ? Oh ! ne vous cachez pas ! |
Marceline DESBORDES-VALMORE, LE PETIT MENTEUR, POÉSIES (1830) |
|
51 |
Je te la dois cette heure où nous vivons tout bas : |
53 |
Pour l’éternité même où tu ne seras pas. |
Marceline DESBORDES-VALMORE, LA PREMIÈRE HEURE DE L’ANNÉE, POÉSIES (1830) |
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2 |
Quel jour ? dors-tu ? d’où vient que tu n’achèves pas ? |
4 |
Je cesse d’en parler pour y penser tout bas… |
Marceline DESBORDES-VALMORE, UNE JEUNE FILLE ET SA MÈRE, POÉSIES (1830) |
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60 |
Daphnis en vain m’attend, je pleure en vain tout bas ; |
62 |
Et vous ne me devinez pas ! |
Marceline DESBORDES-VALMORE, UNE JEUNE FILLE ET SA MÈRE, POÉSIES (1830) |
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95 |
Il n’entend d’autre bruit que le bruit de ses pas. |
96 |
Je regarde, j’écoute, et je compte tout bas |
Marceline DESBORDES-VALMORE, LE PAUVRE PIERRE, POÉSIES (1830) |
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222 |
J’en suis sûre, il me cherche, il m’appelle tout bas. |
224 |
Mon père, il l’entendrait qu’il ne le croirait pas. |
Marceline DESBORDES-VALMORE, LE PAUVRE PIERRE, POÉSIES (1830) |
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19 |
Laisse-moi les haïr, mais de loin, mais tout bas. |
20 |
Quels yeux !… Ils sont partout. Oh ! ne me parle pas ! |
Marceline DESBORDES-VALMORE, LE REGARD, POÉSIES (1830) |
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66 |
Y suspendit mes pas ; |
68 |
Car il parlait tout bas. |
Marceline DESBORDES-VALMORE, L’IDIOT, POÉSIES (1830) |
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63 |
Ce songe, qu’en parlant j’écoute encor tout bas ; |
64 |
Mais il est des accents que l’on n’imite pas ! |
Marceline DESBORDES-VALMORE, À MES SŒURS, POÉSIES (1830) |
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34 |
Honorez ma maison, suspendez-y vos pas. |
35 |
Sur le chemin sans fleurs qui vous attend là-bas |
Marceline DESBORDES-VALMORE, L’EXILÉE, POÉSIES (1830) |
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8 |
J’ai ralenti mes pas ; |
9 |
Mais il priait trop bas ; |
Marceline DESBORDES-VALMORE, NOTRE-DAME D’AMOUR, POÉSIES (1830) |
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26 |
Me dérober sur tes pas, |
28 |
J’oublierais… parlons plus bas ! |
Marceline DESBORDES-VALMORE, LE CALVAIRE, POÉSIES (1830) |
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14 |
Dans cette belle nuit, se célébrait tout bas ; |
16 |
Murmuraient des chansons pour attirer mes pas. |
Marceline DESBORDES-VALMORE, LES ROSES, POÉSIES (1830) |
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26 |
Arrête ici mes pas ; |
28 |
Elle s’aigrit tout bas. |
Marceline DESBORDES-VALMORE, LE PRISONNIER DE GUERRE, POÉSIES (1830) |
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8 |
Tu viendras me parler tout bas, |
9 |
Crains-tu que je n’entende pas ? |
Marceline DESBORDES-VALMORE, LE DERNIER RENDEZ-VOUS, POÉSIES (1830) |
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17 |
Je te peindrai les cieux tout bas : |
18 |
Crains-tu de ne m’entendre pas ? |
Marceline DESBORDES-VALMORE, LE DERNIER RENDEZ-VOUS, POÉSIES (1830) |
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35 |
Quand Dieu nous l’a promis tout bas, |
36 |
Crois-tu que je n’écoutais pas ? |
Marceline DESBORDES-VALMORE, LE DERNIER RENDEZ-VOUS, POÉSIES (1830) |
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79 |
Les cailloux plus cléments, loin d’offenser nos pas, |
80 |
Nous font un doux chemin ; on vole, on dit tout bas : |
Marceline DESBORDES-VALMORE, RÉVÉLATION, LES PLEURS (1830) |
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108 |
À ton plus faible enfant tu viendrais, et tout bas : |
109 |
« J’ai voulu t’éprouver, grâce ! ne pleure pas… » |
Marceline DESBORDES-VALMORE, RÉVÉLATION, LES PLEURS (1830) |
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5 |
Qui disent ; « Ne nous touchez pas ! |
6 |
Nos plumes grandiront là-bas. |
Marceline DESBORDES-VALMORE, LE JUMEAU PLEURÉ, LES PLEURS (1830) |
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14 |
Quand j’écris tout bas |
16 |
N’exhalera pas ! |
Marceline DESBORDES-VALMORE, L’ADIEU TOUT BAS, LES PLEURS (1830) |
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72 |
Triste alors, quel secret m’avez-vous dit tout bas ? |
75 |
Mon frêle et doux Ave, ne l’écoutiez-vous pas ? |
Marceline DESBORDES-VALMORE, TRISTESSE, LES PLEURS (1830) |
|
26 |
L’invisible sentier qu’on ne remonte pas, |
28 |
Qui m’aimait imparfaite et me grondait si bas ? |
Marceline DESBORDES-VALMORE, LE MAL DU PAYS, LES PLEURS (1830) |
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77 |
Et mon cœur s’apprennent tout bas, |
80 |
Et ce mot, je ne l’entends pas. |
Marceline DESBORDES-VALMORE, À M. ALPHONSE DE LAMARTINE, LES PLEURS (1830) |
|
21 |
Ce que j’ai ressenti tout bas |
24 |
Pour que Dieu ne me venge pas ! |
Marceline DESBORDES-VALMORE, LA MÉMOIRE, LES PLEURS (1830) |
|
21 |
— « Là-bas ! » répond Agar. — « Oh ! que c’est loin, là-bas, |
24 |
Comme un linceul mouvant où se traînent leurs pas. |
Marceline DESBORDES-VALMORE, AGAR - FRAGMENT, LES PLEURS (1830) |
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1 |
« Ô mes enfants ! ne dansez pas. |
3 |
Tous vos frères meurent là-bas, |
Marceline DESBORDES-VALMORE, LE VIEUX PÂTRE, LES PLEURS (1830) |
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7 |
Ô mon ange ! ne tremble pas ! |
8 |
Viens verser un secret, tout bas, |
Marceline DESBORDES-VALMORE, LE CRIEUR DE NUIT, LES PLEURS (1830) |
|
34 |
Où l’on chante plus bas ; |
36 |
Je sens frémir les pas ! |
Marceline DESBORDES-VALMORE, IMITATION DE MOORE - TROIS NOCTURNES, LES PLEURS (1830) |
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7 |
Élevant ses bouquets, ses volans, et là-bas, |
8 |
Les jeux qui m'attendaient et ne commençaient pas ; |
Marceline DESBORDES-VALMORE, JOURS D'ÉTÉ, BOUQUETS ET PRIÈRES (1843) |
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15 |
Me répétait en vain toute grave et tout bas : |
16 |
« Vois donc : je suis heureuse, et je ne danse pas. » |
Marceline DESBORDES-VALMORE, JOURS D'ÉTÉ, BOUQUETS ET PRIÈRES (1843) |
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34 |
Oh ! n'allez pas, |
36 |
Chercher en bas : |
Marceline DESBORDES-VALMORE, ÂME ET JEUNESSE, BOUQUETS ET PRIÈRES (1843) |
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45 |
Il faut que je pleure trop bas. |
46 |
Puisque le ciel né m'entend pas. |
Marceline DESBORDES-VALMORE, CROYANCE POPULAIRE, BOUQUETS ET PRIÈRES (1843) |
|
61 |
Que les vierges n'entendent pas |
62 |
Le démon soupirer tout bas : |
Marceline DESBORDES-VALMORE, CROYANCE POPULAIRE, BOUQUETS ET PRIÈRES (1843) |
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23 |
Les nuits qui chantaient tout bas ; |
26 |
Que mes sœurs ne brisent pas. |
Marceline DESBORDES-VALMORE, ROUEN, BOUQUETS ET PRIÈRES (1843) |
|
20 |
Dit-il assez ce que j'entends tout bas ? |
22 |
Premier amour, vous ne mourez donc pas ! |
Marceline DESBORDES-VALMORE, UN PRÉSAGE, BOUQUETS ET PRIÈRES (1843) |
|
39 |
Ici-bas, |
41 |
La fange des ruisseaux qui consterne mes pas ; |
42 |
Et la foule déserte, où tu ne descends pas ! |
Marceline DESBORDES-VALMORE, L'ENFANT ET LA FOI, BOUQUETS ET PRIÈRES (1843) |
|
44 |
Sincère, elle t’appelle, et tu ne l’entends pas ! |
45 |
Ah ! sans t’avoir troublé qu’elle meure tout bas ! |
Marceline DESBORDES-VALMORE, ÉLÉGIE, POÉSIES (1830) |
|
39 |
Pauvre âme ! où t'en vas-tu, qui ne te souviens pas |
40 |
De ton aile blessée et traînante ici-bas. |
Marceline DESBORDES-VALMORE, UNE HALTE SUR LE SIMPLON, BOUQUETS ET PRIÈRES (1843) |
|
26 |
Les canons ne s'entendent pas |
28 |
Riaient et s'entr'aimaient en bas. |
Marceline DESBORDES-VALMORE, UN ARC DE TRIOMPHE, BOUQUETS ET PRIÈRES (1843) |
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5 |
Qu'on donne aux anges d'ici-bas ; |
6 |
Vous en aurez ; ne criez pas. |
Marceline DESBORDES-VALMORE, L'ENFANT BÉNI, BOUQUETS ET PRIÈRES (1843) |
|
13 |
Non, rossignol, je ne dors pas, |
16 |
C'est que je vous réponds tout bas : |
Marceline DESBORDES-VALMORE, LE ROSSIGNOL ET LA RECLUSE, BOUQUETS ET PRIÈRES (1843) |
|
7 |
J'ai risqué mon cœur ici-bas |
9 |
J'ai perdu mon cœur et mes pas ; |
10 |
L'espérance ne m'aime pas ! |
Marceline DESBORDES-VALMORE, LE LIVRE DE PRIÈRE, BOUQUETS ET PRIÈRES (1843) |
|
26 |
Charmante, nous disait tout bas : |
28 |
Allons vers Dieu, qui ne meurt pas ! » |
Marceline DESBORDES-VALMORE, LES AMITIÉS DE LA JEUNESSE, BOUQUETS ET PRIÈRES (1843) |
|
54 |
Les lumières ne tremblaient pas, |
56 |
S'entre-détruire comme en bas. |
Marceline DESBORDES-VALMORE, LES AMITIÉS DE LA JEUNESSE, BOUQUETS ET PRIÈRES (1843) |
|
3 |
La terre tourne et travaille tout bas ; |
4 |
Et mon fuseau pourtant ne tourne pas ! |
Marceline DESBORDES-VALMORE, FILEUSE, BOUQUETS ET PRIÈRES (1843) |
|
10 |
Bien que, là bas, |
12 |
Errer tes pas. |
Marceline DESBORDES-VALMORE, UNE LETTRE DE FEMME, POÉSIES INÉDITES (1860) |
|
26 |
Dans votre prière, tout bas, |
29 |
Dans vos discours n’en parlez pas ! |
30 |
Devant Dieu pensez y tout bas. |
Marceline DESBORDES-VALMORE, ALLEZ EN PAIX, POÉSIES INÉDITES (1860) |
|
26 |
Qui troublez nos pas. |
28 |
Dites-vous, tout bas : |
Marceline DESBORDES-VALMORE, L’IMAGE DANS L’EAU, POÉSIES INÉDITES (1860) |
|
15 |
À ses doutes railleurs je répondais trop bas… |
16 |
Prouve-t-on que l’on souffre à qui ne souffre pas ? |
Marceline DESBORDES-VALMORE, L’AMI D’ENFANCE, POÉSIES INÉDITES (1860) |
|
3 |
A dit ces mots qui m’atteignaient tout bas : |
4 |
« Vous qui savez aimer, ne m’aimez pas ! |
Marceline DESBORDES-VALMORE, TROP TARD, POÉSIES INÉDITES (1860) |
|
10 |
« Ses fers jamais n’entraveront mes pas. » |
13 |
N’a-t-elle dit, moins flatteuse et moins bas : |
14 |
« Vous qui savez aimer, ne m’aimez pas ! |
Marceline DESBORDES-VALMORE, TROP TARD, POÉSIES INÉDITES (1860) |
|
20 |
« Mon sort qui brille égarerait vos pas. » |
23 |
Il dit trop tard, ou bien il dit trop bas : |
24 |
« Vous qui savez aimer, ne m’aimez pas ! » |
Marceline DESBORDES-VALMORE, TROP TARD, POÉSIES INÉDITES (1860) |
|
18 |
Je le jurais tout bas. |
20 |
Moi, je ne mentais pas. |
Marceline DESBORDES-VALMORE, POURQUOI ?, POÉSIES INÉDITES (1860) |
|
59 |
Quand pour nous le donner elle cherchait là-bas |
60 |
Un bonheur attardé qui ne revenait pas. |
Marceline DESBORDES-VALMORE, UN RUISSEAU DE LA SCARPE, POÉSIES INÉDITES (1860) |
|
49 |
Sans l’arrêter au bruit qui filtre sous tes pas |
50 |
Pour écouler un peu ce qu’il chante tout bas. |
Marceline DESBORDES-VALMORE, LE PUITS DE NOTRE DAME À DOUAI, POÉSIES INÉDITES (1860) |
|
25 |
Pourquoi donc nous chercher, nous qui ne dansons pas ? |
26 |
Pourquoi nous écouter, nous qui parlons tout bas ? |
Marceline DESBORDES-VALMORE, LAISSE-NOUS PLEURER, POÉSIES INÉDITES (1860) |
|
91 |
Sans piquer son front vos abeilles, là-bas. |
92 |
L’instruiront, rêveuse, à mesurer ses pas ; |
Marceline DESBORDES-VALMORE, RÊVE INTERMITTENT D’UNE NUIT TRISTE, POÉSIES INÉDITES (1860) |
|
43 |
Il n’est plus de pas sur mes pas, |
44 |
Ni d’âme qui me parle bas. |
Marceline DESBORDES-VALMORE, RETOUR DANS UNE ÉGLISE, POÉSIES INÉDITES (1860) |
|
35 |
Non, Seigneur ! sa beauté, si touchante ici-bas, |
36 |
De votre paradis vous ne l’exilez pas ! |
Marceline DESBORDES-VALMORE, QUAND JE PENSE À MA MÈRE, POÉSIES INÉDITES (1860) |
|
10 |
Salut ! vous qui cachez vos ailes ici-bas : |
12 |
Que de cendre et de boue ont entravé vos pas ! |
Marceline DESBORDES-VALMORE, LES PRISONS ET LES PRIÈRES, POÉSIES INÉDITES (1860) |
|
51 |
On va de porte en porte en chuchotant tout bas : |
52 |
«Elle a gâté son fruit, ne la saluons pas ! » |
Marceline DESBORDES-VALMORE, LE PETIT MÉCONTENT, POÉSIES INÉDITES (1860) |
|
14 |
Que nous voyons errer là-bas ; |
15 |
Nous voulons un guide à ses pas, |
Marceline DESBORDES-VALMORE, LA PRIÈRE DES ORPHELINS, POÉSIES INÉDITES (1860) |
|
10 |
Sans faire un pas, |
12 |
De haut en bas, |
Marceline DESBORDES-VALMORE, L’ENFANT AU MIROIR, POÉSIES INÉDITES (1860) |
|
44 |
Nous redirions notre pas… |
46 |
Chantons et valsons tout bas. |
48 |
C’est enchanteur, n’est ce pas !… |
Marceline DESBORDES-VALMORE, LA JEUNE PENSIONNAIRE, POÉSIES INÉDITES (1860) |
|
6 |
Vers la prison qu’il sent là-bas… |
8 |
Pour le chien qui ne nous mord pas ! |
Marceline DESBORDES-VALMORE, LE CHIEN ET L’ENFANT, POÉSIES INÉDITES (1860) |
|
14 |
À qui donc se plaint-il tout bas ? |
16 |
Pour le chien qui ne nous mord pas. |
Marceline DESBORDES-VALMORE, LE CHIEN ET L’ENFANT, POÉSIES INÉDITES (1860) |
|
3 |
Elle monte, elle monte, et ne se souvient pas |
4 |
De son aile blessée et traînante ici bas. |
Marceline DESBORDES-VALMORE, MADAME HENRIETTE FAVIER, POÉSIES INÉDITES (1860) |
|
11 |
On aspire à l’atteindre et l’on ne voudrait pas. |
12 |
Elle montant si haut, l’admirer de trop bas. |
Marceline DESBORDES-VALMORE, MADAME HENRIETTE FAVIER, POÉSIES INÉDITES (1860) |
|
2 |
Quand je cherche des pas à l’entour de mes pas, |
3 |
Quand j’écoute attentive, et que je dis tout bas : |
Marceline DESBORDES-VALMORE, L’AMIE, POÉSIES INÉDITES (1860) |
|
2 |
Le cercle fuit et s’agrandit là-bas ; |
4 |
On vous attend : ne valserez-vous pas ? |
Marceline DESBORDES-VALMORE, INVITATION À LA VALSE, POÉSIES INÉDITES (1860) |
|
10 |
Le cercle fuit et s’agrandit là-bas ; |
12 |
On vous attend : ne valserez-vous pas ? |
Marceline DESBORDES-VALMORE, INVITATION À LA VALSE, POÉSIES INÉDITES (1860) |
|
18 |
Le cercle fuit et s’agrandit là-bas ; |
20 |
On vous attend : ne valserez-vous pas ? |
Marceline DESBORDES-VALMORE, INVITATION À LA VALSE, POÉSIES INÉDITES (1860) |
|
26 |
Le cercle fuit et s’agrandit là-bas ; |
28 |
On vous attend : ne valserez-vous pas ? |
Marceline DESBORDES-VALMORE, INVITATION À LA VALSE, POÉSIES INÉDITES (1860) |
|
6 |
Se reparlent tout bas, |
8 |
Qu’il ne réunit pas ! |
Marceline DESBORDES-VALMORE, LALY GALINE SEULE, POÉSIES INÉDITES (1860) |
|
25 |
Allons ! viens ! tu n’en finis pas ! |
26 |
Viens ! Tout le monde court là-bas |
Marceline DESBORDES-VALMORE, LES DEUX MARINIÈRES, POÉSIES INÉDITES (1860) |
|
10 |
Qui priez là-bas, |
12 |
Ne m’accusez pas ! |
Marceline DESBORDES-VALMORE, UN DÉSERTEUR, POÉSIES INÉDITES (1860) |
|
22 |
Qui priez là-bas, |
24 |
Ne pleuriez-vous pas ? |
Marceline DESBORDES-VALMORE, UN DÉSERTEUR, POÉSIES INÉDITES (1860) |
|
34 |
Qui priez là-bas, |
36 |
N’appeliez-vous pas ? |
Marceline DESBORDES-VALMORE, UN DÉSERTEUR, POÉSIES INÉDITES (1860) |
|
46 |
Qui priez là-bas |
48 |
N’attendiez-vous pas ? |
Marceline DESBORDES-VALMORE, UN DÉSERTEUR, POÉSIES INÉDITES (1860) |
|
58 |
Qui priez là-bas. |
60 |
N’y pensiez-vous pas ? |
Marceline DESBORDES-VALMORE, UN DÉSERTEUR, POÉSIES INÉDITES (1860) |
|
70 |
Qui priez là-bas, |
72 |
Ne m’attendez pas ! |
Marceline DESBORDES-VALMORE, UN DÉSERTEUR, POÉSIES INÉDITES (1860) |
|
82 |
Qui priez là-bas, |
84 |
Ne m’oubliez pas ! |
Marceline DESBORDES-VALMORE, UN DÉSERTEUR, POÉSIES INÉDITES (1860) |
|
27 |
Épiant les cris sourds qui ne s’entendent pas. |
28 |
J’en remplirais mon cœur pour les crier là-bas ! |
Marceline DESBORDES-VALMORE, PRIÈRE, POÉSIES INÉDITES (1860) |
|
3 |
C’est ma voix qui te nomme et t’accuse tout bas ; |
4 |
C’est l’Amour qui t’appelle, et tu ne l’entends pas ! |
Marceline DESBORDES-VALMORE, LA NUIT, POÉSIES (1830) |
|
34 |
Où donc étais-je alors ?… — Attends… je ne sais pas… |
36 |
— Tu me laissais pleurer ? —Je t’appelais tout bas. |
Marceline DESBORDES-VALMORE, LE RÊVE DE MON ENFANT, POÉSIES (1830) |
|
13 |
Avec des cris d’amour nous arrêtions ses pas ; |
16 |
Et nous rompions sa chaîne, et nous parlions plus bas. |
Marceline DESBORDES-VALMORE, LA GUIRLANDE DE ROSE-MARIE, POÉSIES (1830) |
|
2 |
Je crois te voir et te parler tout bas ; |
4 |
Tout est tranquille, et mon cœur ne l’est pas, |
Marceline DESBORDES-VALMORE, LE BILLET, POÉSIES (1830) |
|
555 |
Prussiens et Badois courbent leur dos bien bas ; |
556 |
Bavarois et Saxons s'inclinent sous ses pas. |
Charles DIGUET, L'ÉPOPÉE PRUSSIENNE, L'ÉPOPÉE PRUSSIENNE (1871) |
|
9 |
Nos âmes ! Vous n'entrerez pas |
10 |
Ranger là-bas |
Lucie DELARUE-MARDRUS, POUR D'AUCUNS, OCCIDENT (1901) |
|
15 |
Il lui dit sa chanson tout bas ; |
18 |
Si bébé ne s'endormait pas. |
Lucie DELARUE-MARDRUS, BERCEUSE PUÉRILE, OCCIDENT (1901) |
|
13 |
Bête vivante, enfant dont on n'accouche pas, |
16 |
Du sang intérieur courant de haut en bas, |
Lucie DELARUE-MARDRUS, A mon Cœur, CHOIX DE POÈMES (1951) |
|
6 |
On ne le communique pas. |
7 |
Apprends donc à souffrir tout bas |
Lucie DELARUE-MARDRUS, Souffrir, CHOIX DE POÈMES (1951) |
|
2 |
Et s'en va rechercher dans l'oubli, tout là-bas, |
4 |
— O temps ensevelis qui ne reviendront pas ! |
Lucie DELARUE-MARDRUS, Morts, CHOIX DE POÈMES (1951) |
|
100 |
Elle parle ! elle dit d'étranges mots tout bas, |
101 |
D'un langage oublié que l'on ne comprend pas. |
Lucie DELARUE-MARDRUS, La Prêtresse de Tanit, LA PRÊTRESSE DE TANIT (1907) |
|
172 |
Même les plus armés ne lui résistent pas. |
173 |
Les villes de l'Afrique ont mis leurs murs à bas |
Lucie DELARUE-MARDRUS, La Prêtresse de Tanit, LA PRÊTRESSE DE TANIT (1907) |
|
395 |
Puis d'autres… ↩ Qu'a-t-il vu que nous ne voyons pas ? |
396 |
Il tremble, il joint les mains, il murmure tout bas, |
Lucie DELARUE-MARDRUS, La Prêtresse de Tanit, LA PRÊTRESSE DE TANIT (1907) |
|
2 |
Son petit cœur profond qui ne s'explique pas ; |
4 |
Elle sent, elle écoute, et regarde tout bas. |
Lucie DELARUE-MARDRUS, "L'enfance gardera le secret de ses songes,", OCCIDENT (1901) |
|
42 |
Nous ne comprenons point ce que fixent là-bas, |
45 |
Ces pierres que tu dis et que l'on ne voit pas. |
Lucie DELARUE-MARDRUS, LE POÈME DE L'ÉTERNELLE ÉGLISE, FERVEUR (1902) |
|
3 |
Un Océan invers qui ne déferle pas. |
5 |
Claire, dans le filet d'un nuage ample et bas ; |
Lucie DELARUE-MARDRUS, CURIEUSEMENT, FERVEUR (1902) |
|
6 |
Dans le tendre présent et ne s'échappe pas, |
7 |
Vagabonde, vers un octobre de là-bas, |
Lucie DELARUE-MARDRUS, A LA VITRE, FERVEUR (1902) |
|
10 |
N'écoute pas. Ne sache pas. Ne veuille pas. |
11 |
Toute l'enfance est encore là-bas, |
Lucie DELARUE-MARDRUS, LA VAILLANCE, HORIZONS (1905) |
|
26 |
Je ne vous connais pas, je ne vous aime pas, |
27 |
Je n'ai rien su de vous que d'amer ou de bas ; |
Lucie DELARUE-MARDRUS, AUX QUITTÉS, LA FIGURE DE PROUE (1908) |
|
13 |
Ceux qui ne m'aiment pas ne me connaissent pas, |
16 |
Mais de mon propre vin je m'enivre tout bas. |
Lucie DELARUE-MARDRUS, PRINTEMPS D'ORIENT, LA FIGURE DE PROUE (1908) |
|
6 |
Et voici que le soir met mon orgueil à bas. |
7 |
Je chercherai toujours et ne comprendrai pas |
Lucie DELARUE-MARDRUS, CAVALIER TACITURNE, LA FIGURE DE PROUE (1908) |
|
9 |
O prés ! O ville ! O terre où sont mes anciens pas, |
12 |
Que j’ai marqué mes pieds sur d’autres sols, là-bas. |
Lucie DELARUE-MARDRUS, HÉSITATION, LA FIGURE DE PROUE (1908) |
|
30 |
Et mon cœur défaillait, et je songeais tout bas : |
32 |
Car ils ne veulent pas, car ils ne savent pas… » |
Lucie DELARUE-MARDRUS, MUSIQUE, LA FIGURE DE PROUE (1908) |
|
2 |
Dont le drame profond se déroule tout bas. |
4 |
Toute âme est un secret qui ne se livre pas. |
Lucie DELARUE-MARDRUS, LA SPHINGE, OCCIDENT (1901) |
|
38 |
Parmi les choses d'ici-bas, |
39 |
Il est plus d'inconnu dont on n'approche pas |
Lucie DELARUE-MARDRUS, CHANT DE LA PASSION, PAR VENTS ET MARÉES (1910) |
|
8 |
Un minaret, à chaque pas, |
9 |
Parmi les quartiers hauts et bas, |
Lucie DELARUE-MARDRUS, CONSTANTINOPLE, PAR VENTS ET MARÉES (1910) |
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135 |
Clame ton impuissance ou prie humble et tout bas, |
136 |
Le muet Infini ne te répondra pas. |
Lucie DELARUE-MARDRUS, LE POÈME DE LA VIE ET DE LA MORT, OCCIDENT (1901) |
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147 |
Seconde mort à qui nul n'échappe ici-bas. |
148 |
Mais, où ton âme ira, tu ne le sauras pas. |
Lucie DELARUE-MARDRUS, LE POÈME DE LA VIE ET DE LA MORT, OCCIDENT (1901) |
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9 |
Le cimetière proche et visible est en bas. |
11 |
Taisons-nous… Écoutons… Guettons…. On ne sait pas. |
Lucie DELARUE-MARDRUS, TEMPÊTE, PAR VENTS ET MARÉES (1910) |
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10 |
Des feuilles craquent sous nos pas ; |
12 |
Songe à la mort. ‒ Voici le cimetière en bas. |
Lucie DELARUE-MARDRUS, SIGNES, PAR VENTS ET MARÉES (1910) |
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6 |
Si je n'aperçois point la trace de tes pas, |
8 |
Et tu dois m'attendre là-bas. |
Lucie DELARUE-MARDRUS, TOMBEAU, SOUFFLES DE TEMPÊTE (1918) |
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7 |
Mes frères et mes sœurs, où sont-ils, ici-bas ? |
8 |
Je ne sais pas… Je ne sais pas… |
Lucie DELARUE-MARDRUS, TOURMENT, SOUFFLES DE TEMPÊTE (1918) |
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9 |
Je ne vous en veux même pas |
12 |
Pour souffrir des souffles d'en bas. |
Lucie DELARUE-MARDRUS, AUX ANONYMES, SOUFFLES DE TEMPÊTE (1918) |
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10 |
Est tour à tour si haut, si bas… |
11 |
Vous tous qui ne comprenez pas, |
Lucie DELARUE-MARDRUS, JE NE COMPRENDS PAS…, SOUFFLES DE TEMPÊTE (1918) |
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13 |
Moi, c'est de l'inconnu que l'on ne touche pas, |
16 |
Mais non point ce qui vient d'en bas ! |
Lucie DELARUE-MARDRUS, POUR EUX ET POUR ELLES, SOUFFLES DE TEMPÊTE (1918) |
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22 |
Pourtant la joie en vous ne ressuscite pas. |
23 |
Chrétiens, comme vos fronts sont bas ! |
Lucie DELARUE-MARDRUS, TÉNÈBRES, SOUFFLES DE TEMPÊTE (1918) |
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38 |
Vertigineusement en bas, |
40 |
Et que vous ne périrez pas, |
Lucie DELARUE-MARDRUS, IN EXCELSIS, SOUFFLES DE TEMPÊTE (1918) |
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13 |
Nous faut-il ainsi, pas à pas, |
14 |
Te mener vers la terre où l'on descend si bas ? |
17 |
Et nous ne te sauverons pas. |
Lucie DELARUE-MARDRUS, LES FUNÉRAILLES, A MAMAN (1920) |
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14 |
Oui, je la rappelle tout bas, |
15 |
Celle qu'on ne remplace pas, |
Lucie DELARUE-MARDRUS, FANTÔME, A MAMAN (1920) |
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10 |
Voix dans la brume, voix que l'on n'écoute pas, |
11 |
Dans laquelle sanglote en quadrilles, là-bas, |
Lucie DELARUE-MARDRUS, BRUME, OCCIDENT (1901) |
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2 |
Et pourtant on ne le voit pas. |
4 |
Rien n'arrête son branle-bas. |
Lucie DELARUE-MARDRUS, Le Vent, POÈMES MIGNONS (1929) |
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22 |
Ils auront des hauts et des bas |
24 |
Heureux, ils ne s'en doutent pas. |
Lucie DELARUE-MARDRUS, Petit Bateaux, POÈMES MIGNONS (1929) |
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13 |
Bête vivante, enfant dont on n'accouche pas, |
16 |
Du sang intérieur courant de haut en bas, |
Lucie DELARUE-MARDRUS, A MON CŒUR, LES SEPT DOULEURS D'OCTOBRE (1930) |
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6 |
Ici, lai mer qu'on ne voit pas, |
8 |
Semble devoir toujours, toujours rester là-bas |
11 |
Étend un firmament de nacre sous les pas. |
Lucie DELARUE-MARDRUS, FINALEMENT, LES SEPT DOULEURS D'OCTOBRE (1930) |
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17 |
— Non, nous ne les oublions pas. |
19 |
Au fond de leur terre là-bas, |
Lucie DELARUE-MARDRUS, OUBLI, MORT ET PRINTEMPS (1932) |
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22 |
Pour être étrangère ici-bas. |
24 |
Rêver toujours,ne vivre pas. |
Lucie DELARUE-MARDRUS, SOUVENIRS, MORT ET PRINTEMPS (1932) |
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19 |
La chimère qu'on a tout bas |
20 |
Et qu'on ne réalise pas. |
Lucie DELARUE-MARDRUS, LA CHIMÈRE, MORT ET PRINTEMPS (1932) |
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69 |
Je marche sur du jour. Plus de sol sous mes pas. |
72 |
Mais non ! Rien que lumière ici, en haut, en bas. |
Lucie DELARUE-MARDRUS, AU DELÀ, MORT ET PRINTEMPS (1932) |
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9 |
Il faut passer le temps. Nous sommes d'ici-bas. |
12 |
Écrit dans un parler que l'on ne comprend pas. |
Lucie DELARUE-MARDRUS, LE GRIMOIRE, MORT ET PRINTEMPS (1932) |
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29 |
Et rien ! tu ne reviendra pas, |
32 |
Dans on ne ait quel grand là-bas. |
Lucie DELARUE-MARDRUS, III - "Je te disais, lorsque vivante,", MORT ET PRINTEMPS (1932) |
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21 |
« Mais qu'importent l'embûche et la nuit sous nos pas, |
23 |
Ah ! Si l'amour nous reste et nous guide ici-bas, |
Léon DIERX, La Vision d’Ève, POÈMES ET POÉSIES (1864) |
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101 |
S'il est fait du malheur d'un autre, n'est-ce pas |
103 |
« Et je riais de voir que tout fruit mûr, là-bas, |
Léon DIERX, L’Épreuve, POÈMES ET POÉSIES (1864) |
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63 |
Tout parle autour de moi, mais je ne comprends pas |
64 |
Ces langages divers si confus et si bas. |
Alfred de ESSARTS, XI - LE JOURNAL DE FIRMIN, LA COMÉDIE DU MONDE (1851) |
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295 |
C'est un emploi brillant. ↩ — Monsieur, ne raillez pas. |
296 |
On verrait qui de nous descendrait le plus bas |
Alfred de ESSARTS, XIV - UN SOUPER-RÉGENCE, LA COMÉDIE DU MONDE (1851) |
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143 |
Le docteur du pays venait à quelques pas. |
144 |
Ils entrèrent tous deux, mornes et parlant bas. |
Alfred de ESSARTS, XVII - LE SECRET DE ZACHARIE, LA COMÉDIE DU MONDE (1851) |
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359 |
L'harmonie est la loi du bonheur ici-bas. |
360 |
La prudence parlait, je ne l' écoutai pas ; |
Alfred de ESSARTS, XVII - LE SECRET DE ZACHARIE, LA COMÉDIE DU MONDE (1851) |
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19 |
Nul sans s'extasier n'y pouvait faire un pas . |
20 |
Hope même et Rothschild applaudissaient tout bas. |
Alfred de ESSARTS, I - UN BAL DU GRAND MONDE, LA COMÉDIE DU MONDE (1851) |
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31 |
L’an dernier, j’ai tout bas |
33 |
Qu’il ne prévoyait pas ! |
Alfred de ESSARTS, MATHIEU., CAGOTISME ET LIBERTÉ OU LES DEUX SEMESTRES (1830) |
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29 |
Que le plaisir même, ici bas, |
30 |
Sans le travail ne s'obtient pas. |
DESROYS, LA GÉOMÉTRIE EN VERS TECHNIQUES., LA GÉOMÉTRIE EN VERS TECHNIQUES (1801) |
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9 |
Pas de fanfares !… sur leurs pas |
11 |
Ils semblaient se dire tout bas : |
Alexandre DUCROS, Ils sont entrés !!!…, Les Étrivières (1867-1885) |
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28 |
Sois toujours bon, mais ne sois pas |
30 |
Tu trouverais devant tes pas, |
31 |
Beaucoup d'exploiteurs ici-bas, |
Alexandre DUCROS, A mon Petit-Neveu (Marcel Challier-Ducros), Les Étrivières (1867-1885) |
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79 |
Ma seule amie ici-bas, |
81 |
Et souvent raffermit mes pas, |
Alexandre DUCROS, LA CHARITÉ, Les Capricieuses (1854) |
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15 |
Avec un goût douteux qu'on ne trouverait pas, |
16 |
Même dans les bas-fonds des bouges les plus bas. |
Alexandre DUCROS, La Sifflétéide(1), Les Étrivières (1867-1885) |
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29 |
Dieu lui répond : — « Venir là-bas ? |
31 |
A mon fils j'ai cédé le pas, |
Alexandre DUCROS, Le Pape n'est pas content !, Les Étrivières (1867-1885) |
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66 |
Comme tu riais d'eux, tout bas ! |
68 |
Ils ne te pardonneront pas. |
Alexandre DUCROS, Nous avons la Guerre !!!, Les Étrivières (1867-1885) |
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69 |
Six mois après Sedan, on se disait tout bas |
70 |
Qu'un régiment français, à Paris, à deux pas |
Henri DUNESME, LE 88e DE LIGNE, LES DEUX REVANCHES ET LE 88e DE LIGNE (1872) |
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18 |
Qui écrit sur un tambour dans les Pays-Bas ; |
20 |
Et qui passent leur mort à écouter nos pas ; |
Fernand FLEURET, LA VIEILLE CHANSON, Friperies (1907) |
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10 |
Mais, qu'importe ton nom ? Je ne le saurais pas ! |
11 |
Tu serais l'Inconnue Étrange, de Là-Bas, |
Fernand FLEURET, FIANÇAILLES, Friperies (1907) |
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66 |
Vous devez devant nous vous incliner bien bas, |
68 |
Car nous avons du cœur et vous n'en avez pas !… |
Félix FRANK, LA HORDE ALLEMANDE, LA HORDE ALLEMANDE (1870) |
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10 |
Regarderont le Ciel, qui ne les venge pas, |
12 |
Et les bourreaux — craintifs — diront, parlant tout bas : |
Félix FRANK, LA REVANCHE, CHANTS DE COLÈRE (1871) |
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30 |
Et le mors redouté qui te tient le front bas ; |
32 |
Et que tu n’y survives pas, |
Félix FRANK, L’HOMME DES RASTELLS, CHANTS DE COLÈRE (1871) |
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51 |
« Je souffre, mais je ne meurs pas ! |
53 |
Dans ma nuit je rêvais tout bas… |
Félix FRANK, LE RÉVEIL DE LA MUSE, CHANTS DE COLÈRE (1871) |
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81 |
Tant de bienfaits aussi ne se pardonnent pas ! |
84 |
Interprète les vœux qu'elles formaient tout bas… |
Fs. F., LE CRI D'ALARME - HOMMAGE A LA FRANCE EN DEUIL, LE CRI D'ALARME (1871) |
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15 |
Vous les entendez geindre et chuchoter tout bas. |
18 |
Derrière votre pas suscite un autre pas. |
Théophile GAUTIER, LE SOMMET DE LA TOUR, La comédie de la mort (1838) |
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62 |
Saluez plutôt chapeau bas |
64 |
Qu'Homère n'inventerait pas. |
Théophile GAUTIER, VIEUX DE LA VIEILLE - 15 DÉCEMBRE, ÉMAUX ET CAMÉES (1872) |
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22 |
— Le tonnerre rugit en bas, |
24 |
Le torrent hurle : — il n'entend pas ; |
Théophile GAUTIER, JUSTIFICATION, POÉSIES (1833) |
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15 |
Vous les entendez geindre et chuchoter tout bas. |
18 |
Derrière votre pas suscite un autre pas. |
Théophile GAUTIER, LE SOMMET DE LA TOUR, POÉSIES DIVERSES, 1833-1838 (1833-1838) |
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51 |
A genoux, chapeau bas ! |
54 |
«Dieu ! ne l'éveillez pas !» |
Théophile GAUTIER, II - AUX MANES DE L'EMPEREUR, POÉSIES NOUVELLES, POÉSIES INÉDITES ET POÉSIES POSTHUMES (1831-1872) |
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441 |
Que l'on n'aperçoit pas. |
444 |
Échevelée au bas. |
Théophile GAUTIER, LA COMÉDIE DE LA MORT, La comédie de la mort (1838) |
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933 |
A chercher ici-bas, |
936 |
Ne le sauriez-vous pas ? |
Théophile GAUTIER, LA COMÉDIE DE LA MORT, La comédie de la mort (1838) |
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22 |
J'hésite à simuler ce geste il est trop bas. |
23 |
On vous l'a souvent fait, d'ailleurs je ne peux pas : |
Théophile GAUTIER, L'inestimable sceau, Poèmes et chansons (1993) |
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46 |
Le dire, tellement c'est bas, |
48 |
Par bonheur ils n'en avaient pas ! |
Théophile GAUTIER, Hécatombe, Poèmes et chansons (1993) |
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95 |
Par qui facilement tout s'explique ici-bas !… |
96 |
L'homme créé par Vous, seul ne vous aime pas !!!… |
J.-F. GISCLARD, LE FLÉAU DE LA GUERRE, LE FLÉAU DE LA GUERRE (1871) |
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35 |
» Je m'assieds, sanglotant tout bas, |
38 |
» Oh ! non, je ne chanterai pas ! |
Émile GRIMAUD, A VICTOR DE LAPRADE, REVUE DE BRETAGNE ET DE VENDÉE (1870) |
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16 |
Plus corrompu que nous, le siècle n’aime pas |
18 |
Et qu’on dise tout haut ce qu’il pense tout bas. |
Edmond HARAUCOURT, À GASTON BÉTHUNE, L’Âme nue (1885) |
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12 |
Et l’on entend, du fond des vieux passés, là-bas, |
14 |
Les lointaines douleurs crier : « Je ne dors pas ! » |
Edmond HARAUCOURT, CRI DU COQ, L’Âme nue (1885) |
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57 |
Et Je compte tout bas ; |
60 |
Que je ne souffre pas. |
Edmond HARAUCOURT, LES GIBETS, L’Âme nue (1885) |
|
16 |
Plus corrompu que nous, le siècle n’aime pas |
18 |
Et qu’on dise tout haut ce qu’il pense tout bas ; |
Edmond HARAUCOURT, ENVOI, La Légende des Sexes (1882) |
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45 |
« J’arrive, attendez-moi : car j’étouffe ici-bas ; |
48 |
Et la terre ne m’entend pas. |
Edmond HARAUCOURT, CHANSON À BOIRE, L’Âme nue (1885) |
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5 |
Les hommes, pères, fils, maris, amants, là-bas, |
8 |
Que de hardis pêcheurs qui ne reviendront pas ! |
José-Maria de HEREDIA, Maris Stella, Les Trophées (1893) |
|
15 |
Qu'il dédouble l'azur, ce bel astre d'en bas, |
18 |
Mais ne la trouble pas ! |
Gaston HEUX, Pressentiments, L'INITIATION DOULOUREUSE (1924) |
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95 |
Mais, quand je serai morte, absolvez-moi tout bas |
96 |
Et ne m'enfermez pas ! |
Henriette HERVÉ, LORSQUE JE SERAI MORTE, DILECTION (1925) |
|
2 |
Parce que je n'écoute pas ! |
4 |
De celles que vous dites bas ! |
Henriette HERVÉ, O BOCCA, BOCCA BELLA !, DILECTION (1925) |
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1211 |
« Dans le temple, les bœufs d'airain firent un pas, |
1212 |
« Le voile se fendit en deux du haut en bas. |
Victor HUGO, LE GIBET III, La Fin de Satan (1886) |
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115 |
Quelqu'un que l'on ne voit pas |
116 |
Est là-bas |
Victor HUGO, CHANSON DES OISEAUX, La Fin de Satan (1886) |
|
2 |
Succède. La nuit fait un pas. |
4 |
Les arbres se parlent tout bas. |
Victor HUGO, XXXIV - NUIT, TOUTE LA LYRE (1888-1893) |
|
3 |
Tout, la haine et le deuil ! — Et ne m'objectez pas |
4 |
Que vos amis sont sûrs et que vous parlez bas… — |
Victor HUGO, XXI - "Jeunes gens, prenez garde aux choses que vous dites.", TOUTE LA LYRE (1888-1893) |
|
5 |
Dieu leur ouvre, l'oreille et leur parle tout bas. |
6 |
Il leur dit ce qu'il faut qu'ils sachent de quel pas |
Victor HUGO, IX - "Aux heures où le ciel est noir, où l'astre est clair,", TOUTE LA LYRE (1888-1893) |
|
13 |
Hélas, c'est la première énigme qu'ici-bas |
14 |
L'homme ne comprend pas et ne devine pas ; |
Victor HUGO, XXXII - SOUFFRE, Ô PRÉCURSEURS !, TOUTE LA LYRE (1888-1893) |
|
1 |
Alors elle me dit : Pourquoi n'avez-vous pas |
2 |
Parlé plus tôt ? Et moi je répondis tout bas : |
Victor HUGO, XXVI - DANS UN VIEUX CLOÎTRE, TOUTE LA LYRE (1888-1893) |
|
18 |
Disaient tout bas : |
20 |
Ne t'en va pas ! |
Victor HUGO, XLIX - "Garde à jamais dans ta mémoire,", TOUTE LA LYRE (1888-1893) |
|
1 |
Ô princes insensés ! quoi ! ne tremblent-ils pas |
2 |
D'ouvrir la porte eux-même aux colères d'en bas ! |
Victor HUGO, XXIII - "Ô princes insensés ! quoi ! ne tremblent-ils pas", TOUTE LA LYRE (1888-1893) |
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3910 |
L'infini ne sait point ce qu'on murmure en bas ; |
3911 |
Moi, j'écoute et j'entends. Shiva dit : — Dieu n'est pas, |
Victor HUGO, "Et je voyais au loin sur ma tête un point noir.", DIEU (1855) |
|
2 |
Les astres vivent seuls ; quant aux âmes d'en bas, |
3 |
Ces grands isolements ne leur conviennent pas. |
Victor HUGO, XLI - "Au fond du ciel serein, âmes supérieures,", DERNIÈRE GERBE (1902) |
|
19 |
Mais non, ces visions ne te poursuivaient pas. |
20 |
Il suffit pour pleurer de songer qu'ici-bas |
Victor HUGO, XVII - "Oh ! pourquoi te cacher ? Tu pleurais seule ici.", Les feuilles d'automne (1831) |
|
43 |
Pendent sur ton chemin, car le riche ici-bas |
44 |
A tout, hormis l'honneur qui ne s'achète pas ! |
Victor HUGO, X - À L'HOMME QUI A LIVRÉ UNE FEMME, Les Chants du Crépuscule (1835) |
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45 |
Hélas ! je vous le dis, ne vous endormez pas, |
46 |
Tandis que l'avenir s'amoncèle là-bas ! |
Victor HUGO, XV - CONSEIL, Les Chants du Crépuscule (1835) |
|
2 |
L'état semblait fragile et faux s'il n'avait pas |
3 |
Le porte-sceptre en haut, le coupe-tête en bas ; |
Victor HUGO, F° 81 - ".....", OCÉAN VERS (complément) (1902) |
|
30 |
Mets ton rêve ailleurs qu'ici-bas ! |
32 |
Ton sentier n'est point sous nos pas ! |
Victor HUGO, XXIX - "Puisque nos heures sont remplies", Les Chants du Crépuscule (1835) |
|
169 |
Psaume immense et sans fin que ne traduiraient pas |
170 |
Tous les mots fourmillants des langues d'ici-bas, |
Victor HUGO, XXXII - À LOUIS B…, Les Chants du Crépuscule (1835) |
|
209 |
» Qu'importe que la vie, inégale ici-bas |
211 |
» Se dérobe et soit prête à rompre sous vos pas ? |
Victor HUGO, XXXIII - DANS L'ÉGLISE DE ***, Les Chants du Crépuscule (1835) |
|
29 |
Aussi vous me voyez souvent parlant tout bas ; |
32 |
On dirait que j'attends quelqu'un qui n'ouvre pas. |
Victor HUGO, XXXVIII - QUE NOUS AVONS LE DOUTE EN NOUS, Les Chants du Crépuscule (1835) |
|
225 |
« Ne me console point et ne t'afflige pas. |
227 |
Je ne regarde point le monde d'ici-bas, |
Victor HUGO, XXX - À OLYMPIO, LES VOIX INTÉRIEURES (1837) |
|
97 |
Ce que la foule n'entend pas. |
100 |
Rit tout haut et songe tout bas ! |
Victor HUGO, I - FONCTION DU POÈTE, Les Rayons et les Ombres (1840) |
|
5 |
Quant au destin, n'y songez pas. |
7 |
Hélas ! que fait l'homme ici-bas ? |
Victor HUGO, IX - À MADEMOISELLE FANNY DE P., Les Rayons et les Ombres (1840) |
|
49 |
Le mot caché ne change pas. |
51 |
Il y chante ou gémit tout bas ; |
Victor HUGO, XXVI - MILLE CHEMINS, UN SEUL BUT, Les Rayons et les Ombres (1840) |
|
122 |
Voir nos ombres flotter où marchèrent nos pas, |
124 |
Vers quelque source en pleurs qui sanglote tout bas ? |
Victor HUGO, XXXIV - TRISTESSE D'OLYMPIO, Les Rayons et les Ombres (1840) |
|
25 |
« Sans loi, sans but, sans guide, ils errent ici-bas. |
26 |
Ils sont méchants étant ignorants ; ils n'ont pas |
Victor HUGO, VIII - À UN MARTYR, CHÂTIMENTS (1853) |
|
47 |
Nous nous taisions, debout et graves, chapeau bas, |
48 |
Tremblant devant ce deuil qu'on ne console pas. |
Victor HUGO, III - SOUVENIR DE LA NUIT DU 4, CHÂTIMENTS (1853) |
|
13 |
Inutiles, épars, ils traînent ici-bas |
14 |
Le sombre accablement d'être en ne pensant pas. |
Victor HUGO, IX - "Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent ; ce sont", CHÂTIMENTS (1853) |
|
53 |
Il flagornait le pauvre, affirmant qu'ici-bas |
54 |
Les hommes sont égaux et frères, qu'il n'est pas |
Victor HUGO, XI - PAROLES D'UN CONSERVATEUR, CHÂTIMENTS (1853) |
|
37 |
Dieu nous éclaire, à chacun de nos pas, |
39 |
Une loi sort des choses d'ici-bas, |
Victor HUGO, I - À ma fille, LES CONTEMPLATIONS (1830-1843) |
|
21 |
Aime et ne désespère pas. |
23 |
Où mes vers chuchotent tout bas, |
Victor HUGO, XX - Il fait froid, LES CONTEMPLATIONS (1830-1843) |
|
261 |
Le soir envahit pas à pas |
263 |
Près de ce feu qui luit là-bas ! |
Victor HUGO, XXX - Magnitudo parvi, LES CONTEMPLATIONS (1830-1843) |
|
22 |
Elle montait à petits pas, |
24 |
« J'ai laissé les enfants en bas. » |
Victor HUGO, IX - "O souvenirs ! printemps ! aurore !", LES CONTEMPLATIONS (1845-1855) |
|
46 |
Autour de tous ses pas. |
48 |
Ni la joie ici-bas ! |
Victor HUGO, XV - À Villequier, LES CONTEMPLATIONS (1845-1855) |
|
94 |
Fait ma tâche ici-bas, |
96 |
Que je ne pouvais pas |
Victor HUGO, XV - À Villequier, LES CONTEMPLATIONS (1845-1855) |
|
1 |
Quant à flatter la foule, ô mon esprit, non pas ! |
2 |
Ah ! le peuple est en haut, mais la foule est en bas. |
Victor HUGO, LES 7 500 000 OUI, L'année terrible (1872) |
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113 |
On tombe. On n'est pas seul dans ces limbes d'en bas ; |
114 |
On sent frissonner ceux qu'on ne distingue pas ; |
Victor HUGO, La Vision de Dante, LA LÉGENDE DES SIÈCLES (1883) |
|
2 |
Mon cœur, ne reviennent pas. |
4 |
Hélas ! à rester là-bas ? |
Victor HUGO, "Ces âmes que tu rappelles,", l'Art d'être grand-père (1877) |
|
5 |
Au loin le canon gronde… oh ! qu'ont-ils fait là-bas ! |
6 |
Ils sont vainqueurs peut-être… et je ne le sais pas ! |
Marie JENNA, APRÈS LA BATAILLE, APRÈS LA BATAILLE (1871) |
|
15 |
Il s'étonne, il s'irrite ; esclave abject et bas, |
16 |
Il te maudit, Orgueil ! toi qu'il ne comprend pas. |
Auguste LACAUSSADE, LXXIV - L'Orgueil, Poèmes et Paysages (1852) |
|
38 |
Peut se trouver dès ici-bas. |
40 |
Si le foyer n'existait pas ? |
Auguste LACAUSSADE, X - À Marguerite, Les Épaves (1876) |
|
194 |
Qu'à l'homme il soit donné de connaître ici-bas ; |
196 |
Et le monde étoilé s'ouvrit devant ses pas. |
Auguste LACAUSSADE, ULTIMA VERBA, Les Épaves (1876) |
|
202 |
Le traître à l'amitié, l'ingrat aux instincts bas, |
204 |
Se réclamer de toi, — tu ne les connais pas ! |
Auguste LACAUSSADE, ULTIMA VERBA, Les Épaves (1876) |
|
35 |
Semble, en me consolant, me reprocher tout bas |
36 |
De vivre dans un monde où le bonheur n'est pas ; |
Auguste LACAUSSADE, XI - le Lac des Goyaviers et le Piton d'Enchaine, Poèmes et Paysages (1852) |
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6 |
Quand il regarde en haut, vous regardez en bas ! |
8 |
Donc que lui voulez-vous ? — Il ne vous connaît pas ! |
Auguste LACAUSSADE, XXXVI - Réponse, Poèmes et Paysages (1852) |
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30 |
Et la Muse, et l'amour, qui nous parlent tout bas. |
32 |
Aimons-nous, aimons ceux qui ne nous aiment pas ! |
Auguste LACAUSSADE, XLIII - Jours de Mai, Poèmes et Paysages (1852) |
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9 |
Jurent « je t'aime ! » l'air là-bas, |
12 |
Par des : « mon dieu, n'insistons pas ? » |
Jules LAFORGUE, III - "Comme ils vont molester, la nuit,", L'IMITATION DE NOTRE-DAME LA LUNE (1886) |
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5 |
Elle faisait : « j'attends, me voici, je sais pas… » |
8 |
Qu'on a fait ses classes ici-bas ? |
Jules LAFORGUE, PIERROTS II, L'IMITATION DE NOTRE-DAME LA LUNE (1886) |
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170 |
Ont-ils perdu ces doux noms d'ici-bas, |
172 |
A ces appels ne répondront-ils pas ? |
Alphonse de LAMARTINE, HARMONIE I - PENSÉE DES MORTS, HARMONIES POÉTIQUES ET RELIGIEUSES (1830) |
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183 |
Et mes yeux desséchés retombent ici-bas. |
184 |
Et je vois le gazon qui fleurit sous mes pas. |
Alphonse de LAMARTINE, HARMONIE IV - L'INFINI DANS LES CIEUX, HARMONIES POÉTIQUES ET RELIGIEUSES (1830) |
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43 |
Qui ne t'a pas connu, ne sait rien d'ici-bas, |
44 |
Il foule mollement la terre, il n'y vit pas ; |
Alphonse de LAMARTINE, HARMONIE VII - HYMNE A LA DOULEUR, HARMONIES POÉTIQUES ET RELIGIEUSES (1830) |
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151 |
Il se confie au Dieu que son œil ne voit pas ; |
153 |
Vertueux, une voix qui l'applaudit tout bas ! |
Alphonse de LAMARTINE, HARMONIE X - SUITE DE JÉHOVAH, HARMONIES POÉTIQUES ET RELIGIEUSES (1830) |
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179 |
Confus de son erreur, il revient sur ses pas ! |
180 |
Et les fils du hameau qui sont restés en bas. |
Alphonse de LAMARTINE, HARMONIE XII - SOUVENIR D'ENFANCE, HARMONIES POÉTIQUES ET RELIGIEUSES (1830) |
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139 |
Dût notre âge, enivré des seuls soins d'ici-bas. |
140 |
Sourire en nous disant : Je ne vous connais pas ! |
Alphonse de LAMARTINE, HARMONIE VI - ÉPÎTRE A M. DE SAINTE-BEUVE, HARMONIES POÉTIQUES ET RELIGIEUSES (1830) |
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77 |
Restèrent vides ici-bas, |
80 |
En montant imprima ses pas ! |
Alphonse de LAMARTINE, HARMONIE I - HYMNE DE LA MORT, HARMONIES POÉTIQUES ET RELIGIEUSES (1830) |
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137 |
Heureuse encor n'avais-tu pas |
140 |
Qui n'ont que leurs noms ici-bas ? |
Alphonse de LAMARTINE, HARMONIE I - HYMNE DE LA MORT, HARMONIES POÉTIQUES ET RELIGIEUSES (1830) |
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19 |
Qu'on entend résonner et qu'on ne comprend pas ; |
21 |
Qu'ils faisaient sur mon cœur quand j'étais d'ici-bas ! |
Alphonse de LAMARTINE, HARMONIE VIII - LE SOLITAIRE, HARMONIES POÉTIQUES ET RELIGIEUSES (1830) |
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239 |
« Humble est le nom de prêtre ! oh ! n'en rougissez pas, |
240 |
« Ma mère, il n'en est point dé plus noble ici-bas. |
Alphonse de LAMARTINE, PREMIÈRE ÉPOQUE, JOCELYN (1836) |
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85 |
Ah ! quand je les goûtais, je ne me doutais pas |
86 |
Qu'une source éternelle en coulait ici-bas ! |
Alphonse de LAMARTINE, DEUXIÈME ÉPOQUE, JOCELYN (1836) |
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173 |
Route qui mène ailleurs que celle d'ici-bas, |
174 |
Et que Dieu même éclaire et qui ne finit pas. |
Alphonse de LAMARTINE, DEUXIÈME ÉPOQUE, JOCELYN (1836) |
|
225 |
Non : Dieu n'a dit son mot à personne ici-bas ; |
226 |
La nature et le temps ne le comprennent pas, |
Alphonse de LAMARTINE, DEUXIÈME ÉPOQUE, JOCELYN (1836) |
|
297 |
Et Dieu les lui montrant jour à jour, pas à pas, |
298 |
Le mène jusqu'où Dieu veut qu'il aille ici-bas, |
Alphonse de LAMARTINE, DEUXIÈME ÉPOQUE, JOCELYN (1836) |
|
489 |
Du rocher chancelant qui s'enfuit sous nos pas, |
490 |
Le bruit sourd et profond monte à peine d'en bas, |
Alphonse de LAMARTINE, DEUXIÈME ÉPOQUE, JOCELYN (1836) |
|
613 |
Et la voix des bergers, qu'on voit à peine en bas, |
614 |
Se perd dans la distance et ne m'y parvient pas. |
Alphonse de LAMARTINE, DEUXIÈME ÉPOQUE, JOCELYN (1836) |
|
505 |
Quand je rêve un moment, quand je me dis : Là-bas, |
506 |
Dans ce point lumineux qu'un lynx ne verrait pas, |
Alphonse de LAMARTINE, TROISIÈME ÉPOQUE, JOCELYN (1836) |
|
745 |
Et n'a rien de commun avec ceux d'ici-bas |
746 |
Que ce regard d'ami qui l'attache à mes pas. |
Alphonse de LAMARTINE, TROISIÈME ÉPOQUE, JOCELYN (1836) |
|
623 |
Dont la voûte tremblait et grondait sous mes pas, |
624 |
Et me cachait les eaux qui mugissaient plus bas. |
Alphonse de LAMARTINE, QUATRIÈME ÉPOQUE, JOCELYN (1836) |
|
523 |
Jusque sur l'échafaud j'accompagnai ses pas ; |
524 |
Un vil peuple ondoyait et rugissait en bas ; |
Alphonse de LAMARTINE, CINQUIÈME ÉPOQUE, JOCELYN (1836) |
|
819 |
D'espérance ! ô mon Dieu, vous ne condamnez pas |
820 |
Cette goutte de l'eau du ciel tombée en bas, |
Alphonse de LAMARTINE, CINQUIÈME ÉPOQUE, JOCELYN (1836) |
|
249 |
« Non jamais ces pavés n'ont frémi sous les pas |
250 |
« D'anges aussi divins que l'ange d'ici-bas. |
Alphonse de LAMARTINE, HUITIÈME ÉPOQUE, JOCELYN (1836) |
|
421 |
Pardonne-lui, mon Dieu ! de chercher ici-bas |
422 |
Cet amour que tu mis tout enfant sous ses pas, |
Alphonse de LAMARTINE, HUITIÈME ÉPOQUE, JOCELYN (1836) |
|
947 |
Et qu'assis sur un roc vous avez sous vos pas |
948 |
Ce lac bleu comme un ciel qui se déploie en bas, |
Alphonse de LAMARTINE, NEUVIÈME ÉPOQUE, JOCELYN (1836) |
|
1511 |
Puis, sans penser ni voir, je descendis en bas, |
1512 |
Et comme si du plomb eût entraîné mes pas ! |
Alphonse de LAMARTINE, NEUVIÈME ÉPOQUE, JOCELYN (1836) |
|
131 |
Et puis je vis venir d'en haut, monter d'en bas, |
132 |
Hommes, femmes, enfans, que je ne connus pas ; |
Alphonse de LAMARTINE, NOUVEL ÉPILOGUE, JOCELYN (1836) |
|
229 |
Laissez la blonde enfant avec sa mère en bas, |
230 |
Et demain au Liban j’accompagne vos pas. » |
Alphonse de LAMARTINE, RÉCIT, LA CHUTE D’UN ANGE (1838) |
|
321 |
Couchés sur le rebord, pour qu’en plongeant en bas |
322 |
Le vertige des eaux ne nous emportât pas, |
Alphonse de LAMARTINE, RÉCIT, LA CHUTE D’UN ANGE (1838) |
|
337 |
Ce rebord défendait le regard et les pas |
338 |
De l’abîme ondoyant qui mugissait en bas. |
Alphonse de LAMARTINE, RÉCIT, LA CHUTE D’UN ANGE (1838) |
|
345 |
« Rendons grâce au Seigneur, dit le vieillard tout bas ; |
346 |
Lui-même vers son saint il a guidé nos pas : |
Alphonse de LAMARTINE, RÉCIT, LA CHUTE D’UN ANGE (1838) |
|
389 |
Sur la mousse flexible arrondissant ses pas, |
390 |
En retenant son souffle elle marche tout bas, |
Alphonse de LAMARTINE, TROISIÈME VISION, LA CHUTE D’UN ANGE (1838) |
|
1069 |
Et les troncs noirs, coupant ses rayons encor bas, |
1070 |
N’étaient qu’un crépuscule où tâtonnaient ses pas. |
Alphonse de LAMARTINE, TROISIÈME VISION, LA CHUTE D’UN ANGE (1838) |
|
1173 |
Comme écoutant quelqu’un qui te parlait tout bas, |
1174 |
Tu commençais des mots que tu n’achevais pas ? |
Alphonse de LAMARTINE, TROISIÈME VISION, LA CHUTE D’UN ANGE (1838) |
|
1201 |
Et des soleils entiers je sanglotais tout bas |
1202 |
Pour que tes pieds vers moi ne se tournassent pas ! |
Alphonse de LAMARTINE, TROISIÈME VISION, LA CHUTE D’UN ANGE (1838) |
|
391 |
Parlez, d’où venez-vous ? où vous menaient vos pas ? |
392 |
Êtes-vous des mortels, ou des anges d’en bas ? |
Alphonse de LAMARTINE, SIXIÈME VISION, LA CHUTE D’UN ANGE (1838) |
|
111 |
Et le sage comprit que le mal n’était pas, |
112 |
Et dans l’œuvre de Dieu ne se voit que d’en bas ! |
Alphonse de LAMARTINE, HUITIÈME VISION - FRAGMENT DU LIVRE PRIMITIF, LA CHUTE D’UN ANGE (1838) |
|
309 |
Mais la vertu s’élève et ne redescend pas, |
310 |
Et le crime expié peut remonter d’en bas. |
Alphonse de LAMARTINE, HUITIÈME VISION - FRAGMENT DU LIVRE PRIMITIF, LA CHUTE D’UN ANGE (1838) |
|
579 |
L’un sur l’autre appuyés, ralentissant le pas, |
580 |
Des célestes accents s’entretenant tout bas, |
Alphonse de LAMARTINE, HUITIÈME VISION - FRAGMENT DU LIVRE PRIMITIF, LA CHUTE D’UN ANGE (1838) |
|
595 |
Oh ! pourquoi ces jours d’or ne durèrent-ils pas ? |
596 |
L’ange aurait envié leur exil d’ici-bas. |
Alphonse de LAMARTINE, HUITIÈME VISION - FRAGMENT DU LIVRE PRIMITIF, LA CHUTE D’UN ANGE (1838) |
|
167 |
« Quand au faîte escarpé l’on dirige ses pas, |
168 |
Malheur, se disait-il, à qui regarde en bas ! » |
Alphonse de LAMARTINE, DIXIÈME VISION, LA CHUTE D’UN ANGE (1838) |
|
283 |
Distraits, d’un coup d’œil même ils ne recueillaient pas |
284 |
Cette adoration qui montait de si bas. |
Alphonse de LAMARTINE, ONZIÈME VISION, LA CHUTE D’UN ANGE (1838) |
|
417 |
« Oui, je te la rendrai, se dit-elle tout bas, |
418 |
Rebut souillé des dieux dont tu ne voudras pas ! » |
Alphonse de LAMARTINE, DOUZIÈME VISION, LA CHUTE D’UN ANGE (1838) |
|
250 |
A ceux qui cherchent vos pas, |
252 |
Le cher souci d'ici-bas ! |
Alphonse de LAMARTINE, I - CANTIQUE SUR LA MORT DE MADAME LA DUCHESSE DE B***, RECUEILLEMENTS POÉTIQUES (1839) |
|
141 |
Qu'importe aux voix du ciel l'humble écho d'ici-bas ? |
144 |
Que le vent même n'entend pas. |
Alphonse de LAMARTINE, XVI - A UNE JEUNE FILLE POÈTE*, RECUEILLEMENTS POÉTIQUES (1839) |
|
203 |
« Comment languir si loin ? comment croupir si bas ? |
207 |
« Pour lui faire presser ses pas ? |
Alphonse de LAMARTINE, XXV - UTOPIE, A MONSIEUR BOUCHARD *, RECUEILLEMENTS POÉTIQUES (1839) |
|
281 |
Dédaigne un faux encens qu’on t’offre de si bas : |
282 |
La gloire ne peut être où la vertu n’est pas. |
Alphonse de LAMARTINE, DEUXIÈME MÉDITATION - L’HOMME, MÉDITATIONS POÉTIQUES (1820) |
|
10 |
Qui viennent en tonnant se briser sur tes pas, |
12 |
Tantôt ce sont des voix qui chuchotent tout bas. |
Alphonse de LAMARTINE, QUARANTE-UNIÈME MÉDITATION - LE COQUILLAGE AU BORD DE LA MER, MÉDITATIONS POÉTIQUES (1820) |
|
119 |
Je visiterais l’homme ; et s’il est ici-bas |
120 |
Un front pensif, des yeux qui ne se ferment pas, |
Alphonse de LAMARTINE, HUITIÈME MÉDITATION - LES ÉTOILES, MÉDITATIONS POÉTIQUES (1823) |
|
1 |
Heureux qui, s’écartant des sentiers d’ici-bas, |
2 |
À l’ombre du désert allant cacher ses pas, |
Alphonse de LAMARTINE, TREIZIÈME MÉDITATION - LA SOLITUDE, MÉDITATIONS POÉTIQUES (1823) |
|
85 |
N’accompagnent plus l’homme et ne surnagent pas : |
86 |
Comme un vil plomb, d'eux-même ils retombent en bas. |
Alphonse de LAMARTINE, TREIZIÈME MÉDITATION - LA SOLITUDE, MÉDITATIONS POÉTIQUES (1823) |
|
37 |
Ô lyre, tu suivis mes pas ; |
40 |
Aux chants des heureux d’ici-bas. |
Alphonse de LAMARTINE, VINGT-SIXIÈME MÉDITATION - ADIEUX À LA POÉSIE, MÉDITATIONS POÉTIQUES (1823) |
|
18 |
Ils s’attachent au cœur comme l’ombre à nos pas. |
20 |
Du bonheur qu’on pressent là-bas ? |
Alphonse de LAMARTINE, SEPTIÈME MÉDITATION - L’IDÉAL, MÉDITATIONS POÉTIQUES (1812-1847) |
|
79 |
Je ne sais ; mais l'esprit qui me parlait tout bas, |
80 |
Depuis que de ma fin je m'approche à grands pas, |
Alphonse de LAMARTINE, La Mort de Socrate, LA MORT DE SOCRATE (1823) |
|
297 |
Cherchaient une réponse et ne la trouvaient pas ! |
298 |
Se parlant l'un à l'autre ils murmuraient tout bas : |
Alphonse de LAMARTINE, La Mort de Socrate, LA MORT DE SOCRATE (1823) |
|
403 |
Le siècle les admire et ne les connaît pas, |
404 |
Le pauvre les regarde et les nomme tout bas. |
Alphonse de LAMARTINE, LE CHANT DU SACRE, LE CHANT DU SACRE (1825) |
|
26 |
Il est encor pour vous un asile ici-bas ! |
28 |
Le vulgaire l'admire et ne la comprend pas ! |
Alphonse de LAMARTINE, HARMONIE XI - L'ABBAYE DE VALLOMBREUSE DANS LES APENNINS, HARMONIES POÉTIQUES ET RELIGIEUSES (1830) |
|
540 |
Doit, tout bas, |
542 |
Ne sait pas. |
Victor de LAPRADE, IX - LA TOUR D'IVOIREPOËME, LES VOIX DU SILENCE (1864) |
|
291 |
Usons d’eux à loisir, sans les jeter à bas, |
292 |
Leur sachant quelque gré du mal qu’ils ne font pas ; |
Victor de LAPRADE, HARMODIUS, HARMODIUS (1870) |
|
14 |
Que rien ne vienne à moi des miasmes d’en bas ; |
16 |
Si le monde rugit, je ne l’entendrai pas ! |
Victor de LAPRADE, III - ALMA PARENS, ODES ET POÈMES (1844) |
|
66 |
Parfums nés pour le ciel qui montez de là-bas, |
68 |
Courant de l’idéal qui ne tarissez pas ; |
Victor de LAPRADE, II - INVOCATION SUR LA MONTAGNE, ODES ET POÈMES (1844) |
|
22 |
Déjà sa voix répond, sans colère et tout bas, |
24 |
Et sa main que je prends ne se retire pas. |
Victor de LAPRADE, II - UN SOIR DANS LES ALPES, VARIA (1844-1879) |
|
50 |
Grande voix dominant tous les bruits d'ici-bas, |
52 |
Nous suit, et cependant ne nous appartient pas ! |
Victor de LAPRADE, III - LE BAPTÊME DE LA CLOCHE, VARIA (1844-1879) |
|
15 |
Sans laisser, comme nous, se prendre à chaque pas |
16 |
Une sainte croyance aux ronces d’ici-bas ; |
Victor de LAPRADE, IV - LIMPIDITÉ, ODES ET POÈMES (1844) |
|
42 |
Avec l’oiseau qui fuit et va chanter là-bas, |
44 |
Un souvenir de vous s’élève à chaque pas. |
Victor de LAPRADE, X - ADIEUX SUR LA MONTAGNE, ODES ET POÈMES (1844) |
|
67 |
Sa souffrance est moins lourde à porter ici-bas |
68 |
Que les plaisirs du monde au cœur qui ne croit pas. |
Victor de LAPRADE, LES ŒUVRES DE LA FOI, POÈMES ÉVANGÉLIQUES (1852) |
|
167 |
Son amour inquiet ne vous quittera pas ; |
168 |
Elle nous garde encore ; et son âme, ici-bas, |
Victor de LAPRADE, DÉDICACE, LES SYMPHONIES (1855) |
|
133 |
Toute vie est douleur ; tout gémit ici-bas, |
135 |
Connais-tu des échos où ne raisonnent pas |
Victor de LAPRADE, V - CONSOLATION, LES SYMPHONIES (1855) |
|
6 |
Cet or qui serpente là-bas, |
8 |
Ô lac, ne t’appartiennent pas ! |
Victor de LAPRADE, IV - L’ÂME DU POÈTE, LES SYMPHONIES (1855) |
|
3 |
Cachés Jusqu’aux genoux et montant de là-bas, |
4 |
Les faucheurs, alignés, marchant du même pas. |
Victor de LAPRADE, I - LA FENAISON, IDYLLES HÉROÏQUES (1858) |
|
45 |
Devant cet orbe en feu, disparaissant là-bas, |
46 |
Il rêve d'un soleil qui ne se couche pas : |
Louis LE CARDONNEL, ASSISTUM, CARMINA SACRA (1912) |
|
33 |
Sans t'avoir jamais vu dans tes jours d'ici-bas, |
35 |
Tous les deux nous allions, presque du même pas, |
Louis LE CARDONNEL, A CHARLES GUERIN, CARMINA SACRA (1912) |
|
437 |
Par delà l'épaisseur de ce sépulcre bas |
438 |
Sur qui gronde le bruit sinistre de ton pas, |
440 |
Et qui t'y cherchera ne t'y trouvera pas. |
Charles-Marie LECONTE DE LISLE, QAÏN, POÈMES BARBARES (1862) |
|
10 |
Tandis que toutes trois sanglotent, le front bas, |
11 |
La Burgonde Brunhild, seule, ne gémit pas, |
Charles-Marie LECONTE DE LISLE, La Mort de Sigurd, POÈMES BARBARES (1862) |
|
62 |
Le front du vieux Djihan qui se courbait plus bas ; |
63 |
De tes secrets désirs tu ne lui parlais pas, |
Charles-Marie LECONTE DE LISLE, Djihan-Arâ, POÈMES BARBARES (1862) |
|
5 |
Tout devient risible ici-bas, |
7 |
On ne peut quasi faire un pas, |
Jean de LA FONTAINE, LES RIEURS DU BEAU-RICHARD, LES RIEURS DU BEAU-RICHARD (1659) |
|
1 |
Chacun se trompe ici-bas : |
3 |
Tant de fous, qu'on n'en sait pas, |
Jean de LA FONTAINE, XVII - LE CHIEN QUI LÂCHE SA PROIE POUR L'OMBRE, FABLES (1678-1694) |
|
29 |
Des déités de là-bas. |
30 |
Jupiter n'approuva pas |
Jean de LA FONTAINE, XX - JUPITER ET LES TONNERRES, FABLES (1678-1694) |
|
21 |
Et, mesurant les cieux sans bouger d'ici-bas, |
22 |
Il connoît l'univers, et ne se connoît pas. |
Jean de LA FONTAINE, XXVI - DÉMOCRITE ET LES ABDÉRITAINS, FABLES (1678-1694) |
|
18 |
Selon ces lois, descends là-bas ; |
19 |
Meurs, et va-t'en, tout de ce pas, |
Jean de LA FONTAINE, V - LE VIEUX CHAT ET LA JEUNE SOURIS, FABLES (1678-1694) |
|
10 |
Qui, comme en l'âge d'or, font cent biens ici-bas. |
12 |
L'univers leur sait gré du mal qu'ils ne font pas. |
Jean de LA FONTAINE, XII - LE MILAN, LE ROI ET LE CHASSEUR, FABLES (1678-1694) |
|
75 |
Nous sommes gens, qui n’avons pas |
76 |
Toutes nos aises ici-bas. |
Jean de LA FONTAINE, II - LES CORDELIERS DE CATALOGNE, CONTES ET NOUVELLES (1668-1694) |
|
239 |
De tels moments. Elle disoit tout bas : |
240 |
« Qu’est ceci donc ? Ce compagnon n’est pas |
Jean de LA FONTAINE, II - LA MANDRAGORE, CONTES ET NOUVELLES (1668-1694) |
|
248 |
Après avoir bien dit fout bas : |
249 |
« Ce l’est ! » et puis : « Ce ne l’est pas ! » |
Jean de LA FONTAINE, IX - LE ROI CANDAULE ET LE MAÎTRE EN DROIT, CONTES ET NOUVELLES (1668-1694) |
|
37 |
Aussi ne les y prit-on pas. |
40 |
Le dieu, la secouant, jeta les œufs à bas. |
Jean de LA FONTAINE, VIII - L'AIGLE ET L'ESCARBOT, FABLES (1678-1694) |
|
121 |
Oui-da, j’y vais, tout de ce pas. » |
122 |
Cela dit, elle met un de ses pieds à bas, |
Jean de LA FONTAINE, VI - LES DEUX COMPÈRES, CONTES ET NOUVELLES (1668-1694) |
|
32 |
Vous croyez posséder tous les biens d’ici-bas ; |
35 |
Et vous ne l’avez pas. » |
Jean de LA FONTAINE, XVI - LE COUP DE CORNE, CONTES ET NOUVELLES (1668-1694) |
|
11 |
Reconnoît ses derniers pas |
13 |
Comme elle nous quitta les derniers ici-bas, |
Jean de LA FONTAINE, ODE VI - POUR LA PAIX, ŒUVRES DIVERSES I (1658-1694) |
|
4 |
Tous les plaisirs que l'on goûte ici-bas. |
5 |
En paradis allant au petit pas, |
Jean de LA FONTAINE, VI - SUR ESCOBAR, ŒUVRES DIVERSES II (1656-1696) |
|
2 |
Dit à la Parque : Attendez, je n'ai pas |
4 |
Ah ! dit Cloton, vous la ferez là-bas : |
Jean de LA FONTAINE, V - SUR UN MOT DE SCARRON, ŒUVRES DIVERSES II (1656-1696) |
|
17 |
Nulle, reprit l'un d'eux ; mais cherchez-la plus bas, |
19 |
Un autre repartit : Non, ne le suivez pas, |
Jean de LA FONTAINE, XVI - LA FEMME NOYÉE, FABLES (1678-1694) |
|
17 |
Vous respirez, du moins… moi, je ne le peux pas, |
18 |
Car, jusques à l'air pur, tout s'achète ici-bas ! |
Ernest LEGOUVÉ, LES DEUX MISÈRES, LES DEUX MISÈRES (1857) |
|
15 |
Il se penche, sourit et lui parle tout bas. |
16 |
Guillemette… après tout… ne refuserait pas… |
Jean LORRAIN, LE DROIT DU SEIGNEUR, LE SANG DES DIEUX (1882) |
|
11 |
Sera Gil des Gils d’ici-bas. |
13 |
Brave Paul, et tu n’en es pas, |
Pierre LOUŸS, L’ON, ŒUVRES COMPLÈTES (1888-1920) |
|
11 |
– Cette feuille qui choit, ne l’entendez-vous pas ? |
12 |
Comme un papillon large elle vole, là-bas, |
Albert LOZEAU, PREMIÈRE FEUILLE MORTE, Poésies complètes II (1912) |
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9 |
Que j’étais bien au bout de mon rameau, là-bas ! |
10 |
La brise m’agitait, je ne la craignais pas, |
Albert LOZEAU, FEUILLE PLAINTIVE, Poésies complètes II (1912) |
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21 |
Votre mal est profond, vous n’en guérirez pas. |
22 |
Mais, vous blâmant tout haut, vous pardonnant tout bas, |
Albert LOZEAU, JALOUSIE, Poésies complètes II (1912) |
|
5 |
J’ai trop souvent pleuré vos chagrins ici-bas, |
6 |
Pour que de l’infini je ne descende pas |
Albert LOZEAU, LORSQUE JE SERAI MORT…, Poésies complètes II (1912) |
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18 |
Ton rêve de beauté, tu ne l’atteindras pas ; |
19 |
Mais ce que l’existence offre encore ici-bas |
Albert LOZEAU, CONSEIL, Poésies complètes II (1912) |
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13 |
– Guide sûr, vieil ami qui ne trahiras pas, |
14 |
Idéal compagnon du poète ici-bas, |
Albert LOZEAU, L’IDÉAL COMPAGNON, Poésies complètes II (1912) |
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1 |
Les mots d’amour ne meurent pas, |
4 |
Qu’enfants, on nous contait, tout bas. |
Albert LOZEAU, LES MOTS D’AMOUR, Poésies complètes I (1907) |
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17 |
Car – tristesse ! – ils ne meurent pas, |
20 |
Qu’enfants, on nous contait, tout bas. |
Albert LOZEAU, LES MOTS D’AMOUR, Poésies complètes I (1907) |
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12 |
Car celui-là peut bien tout souffrir ici-bas, |
14 |
Et, de peur de donner en vain, ne donne pas ! |
Albert LOZEAU, CONFIANCE, Poésies complètes II (1912) |
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11 |
Qui pâlit par moments, mais qui ne s’éteint pas. |
13 |
Gestes qui font un ciel aux mamans ici-bas ! |
Albert LOZEAU, ENFANTS, Poésies complètes II (1912) |
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6 |
Une cloche sonne, là-bas. |
7 |
Si j’entendais monter des pas !… |
Albert LOZEAU, LES AMITIÉS, Poésies complètes I (1907) |
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6 |
Aucun d’entre eux ne file, ils ne travaillent pas ; |
7 |
Pourtant, je vous le dis, Salomon ici-bas |
Albert LOZEAU, PAROLES DIVINES I, Poésies complètes III (1916) |
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10 |
Malgré ses péchés lourds qui l’attirent en bas, |
12 |
Jusqu’au plus haut du ciel, et n’en retombe pas ! |
Albert LOZEAU, ASCENSION, Poésies complètes III (1916) |
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14 |
Elle en est revenue, et languit ici-bas !… |
16 |
Il lui faudrait monter et ne descendre pas ! |
Albert LOZEAU, L’ENVOLÉE, Poésies complètes III (1916) |
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12 |
Nous allions maintenant, rapprochés, pas à pas. |
15 |
Nous fit, sans y songer, soudain parler tout bas. |
Daniel LESUEUR, TÊTE-A-TÊTE ROMANTIQUE, POÉSIES (1986) |
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12 |
De tant de voix, de tant de pas, |
15 |
Au flot bleu qui brise là-bas. |
Daniel LESUEUR, DEUX VOIX, POÉSIES (1986) |
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6 |
Où, chancelants et lourds, posent nos derniers pas, |
7 |
Vous flottez, doux et chers, et nous parlez tout bas |
Daniel LESUEUR, SONS ET PARFUMS, POÉSIES (1986) |
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6 |
Léger souffle effleurant votre lèvre tout bas : |
8 |
Les juge, et n'y croit pas. |
Daniel LESUEUR, AVEU, POÉSIES (1986) |
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30 |
Eux seuls ont soutenu, guidé ses premiers pas, |
32 |
Comme on calme un enfant en lui chantant tout bas. |
Daniel LESUEUR, LA MORT DES DIEUX, POÉSIES (1986) |
|
28 |
Vient peut-être entraver vos pas. |
32 |
Au fond de votre cœur, tout bas ? |
Daniel LESUEUR, L'ADIEU, POÉSIES (1986) |
|
30 |
Sans poétique flamme, arrive pas à pas, |
32 |
Au soleil de là-bas. |
Daniel LESUEUR, L'INDE BOUDDHIQUE, POÉSIES (1986) |
|
4 |
Et nous pouvions errer en nous disant tout bas |
5 |
Ces choses que, souvent, l'oreille n'entend pas |
Daniel LESUEUR, REPENTIR, POÉSIES (1986) |
|
18 |
Lorsqu'ils marchaient pensifs en sanglotant tout bas, |
20 |
S'envolaient sous leurs pas. |
Daniel LESUEUR, LA NATURE ET L'AMOUR, POÉSIES (1986) |
|
28 |
Le bonheur de ne marcher pas ! |
29 |
C’est si fatigant ici-bas |
Maurice MAC-NAB, LES CULS-DE-JATTE, Poèmes incongrus (1891) |
|
22 |
Enthousiasmés, nous partîmes au pas. |
24 |
Un grand gaillard me racontait tout bas |
Maurice MAC-NAB, LE LOUP, Poèmes Mobiles (1886) |
|
240 |
Des pures régions ne redescendez pas : |
241 |
Nous n’avons, vous et moi, qu’un seul nom ici-bas : |
Eugène MANUEL, POUR LES BLESSÉS, LES PIGEONS DE LA RÉPUBLIQUE (1870) |
|
2 |
Le clairon nous rallie en bas ! |
4 |
Ils sont trop forts : on ne peut pas ! |
Eugène MANUEL, HENRI REGNAULT - Récitée à la Comédie-Française par M. COQUELINle 27 janvier 1871, LES PIGEONS DE LA RÉPUBLIQUE (1870) |
|
167 |
A nos absents qui sont là-bas, |
170 |
Je leur dirai : « Ne pleurez pas ! » |
Eugène MANUEL, LES ABSENTS, LES PIGEONS DE LA RÉPUBLIQUE (1870) |
|
93 |
Il reprit : « C’est bien loin, cela ne revient pas. |
94 |
Et notre banc de pierre, au fond du parc, — là-bas ? » |
Guy de MAUPASSANT, LA DERNIÈRE ESCAPADE, DES VERS (1868-1880) |
|
27 |
Beaucoup d’autres pensers, et qu’ils causaient tout bas |
28 |
Bien mieux que nous, disant ce que nous n’osions pas. |
Guy de MAUPASSANT, PROMENADE, DES VERS (1868-1880) |
|
53 |
Puis, comme elle partait, elle me dit tout bas |
55 |
Tout ce qui m’emplissait s’éloigna sur ses pas ; |
Guy de MAUPASSANT, AU BORD DE L’EAU, DES VERS (1868-1880) |
|
188 |
Nous nous sommes quittés en nous disant tout bas |
189 |
Qu’au bord de l’eau, le soir, nous ne viendrions pas. |
Guy de MAUPASSANT, AU BORD DE L’EAU, DES VERS (1868-1880) |
|
86 |
« Gais, ils ricaneront vers Dieu : Non, tu n'es pas ! |
87 |
« Dans l'énorme édifice humain, du haut en bas, |
Catulle MENDÈS, Les Imprécations D’Agar, Contes Épiques (1872-1876) |
|
8 |
Qui s’en venait, chantant tout bas, |
10 |
— Si légers devaient choir mes pas |
12 |
Que tu ne les entendis pas. |
Stuart MERRILL, VI - "— Viens, très douce, rêver aux heure.", Petits Poèmes d'Automne (1895) |
|
99 |
Et penché vers ta lèvre il te dira tout bas |
100 |
Des mots victorieux… Tu ne faibliras pas ? |
Éphraïm MIKHAËL, Le Cor Fleuri, Œuvres (1884-1890) |
|
26 |
Les seigneurs qui disaient tout bas |
28 |
Des mots que nous ne savons pas. |
Éphraïm MIKHAËL, Prologue Pour Une Comédie Enfantine, Œuvres (1884-1890) |
|
58 |
Et ces canons qu'on voit là-bas, |
60 |
Sergent, tu ne m'en parles pas ! |
Albert MILLAUD, UN VIEUX PRUSSIEN À UN JEUNE CONSCRIT, TRIOLETS (1870-1871) |
|
84 |
Ces deux amants marchaient et se parlaient si bas, |
85 |
Que les lézards peureux ne s'en détournaient pas ; |
Charles MONSELET, EN MÉDOC, LES VIGNES DU SEIGNEUR (1854) |
|
314 |
Ses pleurs longtemps tenus se répandaient tout bas, |
315 |
Elle attendait toujours. ‒ Lucien ne venait pas. |
Charles MONSELET, EN MÉDOC, LES VIGNES DU SEIGNEUR (1854) |
|
50 |
S'il voulait bien, que ne dirait-il pas ? |
53 |
Il disputa, raconte-t-il tout bas, |
Charles MONSELET, LE MUSICIEN, LES VIGNES DU SEIGNEUR (1854) |
|
55 |
Il dit ; la triste Hélène, en soupirant tout bas, |
56 |
De son nouvel époux suit lentement les pas, |
Charles MILLEVOYE, LES ADIEUX D'HÉLÈNE, POÉSIES (1801-1814) |
|
201 |
Qui va là ? ↩ Moi. ↩ Georgette ! ↩ Hé bien ? ↩ Ouvre là-bas. |
202 |
Vas-y, toi. ↩ Vas-y, toi. ↩ Ma foi, je n'irai pas. |
MOLIÈRE, L'ÉCOLE DES FEMMES, L'ÉCOLE DES FEMMES (1662) |
|
830 |
Et dès que son caprice a prononcé tout bas |
831 |
L'arrêt de notre honneur, il faut passer le pas : |
MOLIÈRE, L'ÉCOLE DES FEMMES, L'ÉCOLE DES FEMMES (1662) |
|
1298 |
Qui, pour un petit tort qu'elles ne nous font pas, |
1299 |
Prennent droit de traiter les gens de haut en bas, |
MOLIÈRE, L'ÉCOLE DES FEMMES, L'ÉCOLE DES FEMMES (1662) |
|
62 |
J'ébauche quelque bien au hasard de mes pas, |
64 |
C'est que tu les conduis encore de là-bas ! |
Robert de MONTESQUIOU, CLX - ANCILLA, LES HORTENSIAS BLEUS (1896) |
|
30 |
Parmi le groupe affreux des laideurs d'ici-bas, |
32 |
Et qui, ne faisant pas le mal, n'y croyait pas. |
Robert de MONTESQUIOU, CLXI - "Le front pareil au front de Psyché de Capoue", LES HORTENSIAS BLEUS (1896) |
|
30 |
Sur le sable rayé que dérangent les pas ; |
32 |
Les enfants chantent. Ceux qui suivent parlent bas. |
Robert de MONTESQUIOU, XXXVIII - "D'où vient qu'aux enfantins souvenirs tu tressailles,", LES HORTENSIAS BLEUS (1896) |
|
6 |
Parmi les objets bons et ne trahissant pas ; |
8 |
Le bibelot discret, qui parle, — mais si bas ! |
Robert de MONTESQUIOU, LXXII - OBJETS, LES HORTENSIAS BLEUS (1896) |
|
6 |
Nous nous parlons tout bas ! |
8 |
Se plaignent sous mes pas ! |
Jean MORÉAS, XI - "De ce tardif avril, rameaux, verte lumière,", LES STANCES (1899) |
|
6 |
De l’orage prochain, passer sous le ciel bas, |
8 |
Mon cœur qui vous ressemble et qu’on ne connaît pas. |
Jean MORÉAS, XVIII - "Nuages qu’un beau jour à présent environne,", LES STANCES (1899) |
|
6 |
De ce sombre azur là-bas |
8 |
Mes yeux ne la quittent pas ; |
Jean MORÉAS, XI - "Bien qu’ainsi tu te couronnes", LES STANCES (1899) |
|
14 |
Ô mon âme, n’est-ce pas |
16 |
Qui vient de parler tout bas ? |
Jean MORÉAS, X - "Va-t-on songer à l’Automne,", LES STANCES (1899) |
|
829 |
Mes fidèles guerriers, qui murmuraient tout bas, |
830 |
De se plaindre tout haut ne se contiennent pas. |
Jean MORÉAS, IPHIGÉNIE, IPHIGÉNIE (1904) |
|
5 |
Un souvenir tout bas |
7 |
Ou bien nous n’aurons pas |
Albert MÉRAT, XIII - "Nous nous rencontrerons", L'ADIEU (1873) |
|
2 |
On se cache, on s’aime à l’ombre, tout bas; |
4 |
Le monde oublié ne vous connaît pas. |
Albert MÉRAT, XX - "Quand on est heureux, on n’a pas d’histoire.", L'ADIEU (1873) |
|
1 |
On s'y fait, pourtant ce n'est pas |
3 |
Je le dis tout haut, non tout bas. |
Albert MÉRAT, CYCLISTES, Les Triolets des Parisiennes de Paris (1900) |
|
1 |
Dieu défend d'oublier les petits ici-bas. |
3 |
Rend grâces à celui qui la vit sous ses pas, |
Alfred de MUSSET, A MADAME O., POÉSIES NOUVELLES (1836-1852) |
|
46 |
L'avalanche au-dessus. — Ne vous effrayez pas ; — |
47 |
Prenez garde au mulet qui peut faire un faux pas. |
49 |
Vous voyant trébucher, s'en moquerait tout bas. |
Alfred de MUSSET, SOUVENIR DES ALPES, POÉSIES NOUVELLES (1836-1852) |
|
21 |
Décima les grands monts, étais-je donc si bas, |
22 |
Que l’archange, en passant, alors ne me vit pas ? |
Alfred de MUSSET, Charles-Quint au monastère de Saint-Just, POÉSIES POSTHUMES (1824-1857) |
|
65 |
Laissez le prendre au large, et ne nous montrons pas |
66 |
Avant qu'il ait paru sous ce falot, là-bas ! |
Alfred de MUSSET, Embuscade, POÉSIES POSTHUMES (1824-1857) |
|
2 |
Tout ce qui se passe ici-bas, |
4 |
Les tableaux ne déplairont pas. |
Alfred de MUSSET, La Lanterne magique, POÉSIES POSTHUMES (1824-1857) |
|
39 |
Dont les flots ne reculent pas ? |
42 |
Ainsi va le monde ici-bas. |
Alfred de MUSSET, À Juana, PREMIÈRES POÉSIES (1829-1835) |
|
16 |
C'est ce que vous saurez, si vous ne sifflez pas. |
18 |
Pour mettre nos rideaux et nos quinquets à bas. |
21 |
Comme l'auteur est jeune, et c'est son premier pas. |
Alfred de MUSSET, Les marrons du feu, PREMIÈRES POÉSIES (1829-1835) |
|
293 |
Celui qui, pour souffrir ne se reposant pas, |
294 |
Vit d'une double vie, — oh ! qu'est-il ici-bas ? |
Alfred de MUSSET, Le Saule, PREMIÈRES POÉSIES (1829-1835) |
|
383 |
Puis, avec un murmure, il ajoute plus bas : |
384 |
« M'aurait-elle trompé ? » Dans ce moment, un pas |
Alfred de MUSSET, Le Saule, PREMIÈRES POÉSIES (1829-1835) |
|
68 |
O ma Muse, ne pleurez pas ! |
70 |
Dieu là-haut, l'espoir ici-bas. |
Alfred de MUSSET, LA NUIT D'AOUT, POÉSIES NOUVELLES (1836-1852) |
|
38 |
Que ne sont à la fois tous les maux d'ici-bas ; |
40 |
Sous les yeux d'un témoin qui ne me quitte pas. |
Alfred de MUSSET, L'ESPOIR EN DIEU, POÉSIES NOUVELLES (1836-1852) |
|
108 |
El le contour léger des choses d'ici-bas, |
111 |
El, même en carnaval, je n'y toucherais pas. |
Alfred de MUSSET, IDYLLE, POÉSIES NOUVELLES (1836-1852) |
|
21 |
S'il en est ainsi, parle bas, |
23 |
S'il n'en est rien, ne réponds pas ; |
Alfred de MUSSET, A UNE FLEUR, POÉSIES NOUVELLES (1836-1852) |
|
12 |
Vois donc combien c'est peu que la gloire ici-bas, |
13 |
Puisque, tout beau qu'il est, ce portrait ne vaut pas |
Alfred de MUSSET, SONNET, POÉSIES NOUVELLES (1836-1852) |
|
32 |
Sa grande ombre, à coup sûr, ne s'en offensa pas ; |
33 |
Et, tout en écoutant, je murmurais tout bas, |
Alfred de MUSSET, UNE SOIRÉE PERDUE, POÉSIES NOUVELLES (1836-1852) |
|
1 |
Ainsi donc, quoi qu'on dise, elle ne tarit pas, |
3 |
Que le coursier divin fit jaillir sous ses pas ; |
5 |
Elle coule, et les dieux sont encore ici-bas ! |
Alfred de MUSSET, SUR LES DÉBUTS, POÉSIES NOUVELLES (1836-1852) |
|
98 |
A secoué les fers qu'elle traîne ici-bas, |
100 |
Ne le regrettez pas ! |
Alfred de MUSSET, SOUVENIR, POÉSIES NOUVELLES (1836-1852) |
|
59 |
Et, modeste en mes vœux, que je plaçai plus bas, |
60 |
Je rêvai seulement (que ne rêve-t-on pas ?) |
Gérard de NERVAL, À Béranger, ÉLÉGIES NATIONALES ET SATIRES POLITIQUES (1826) |
|
147 |
Qu’importe au denier trois que tes effets soient bas, |
148 |
Et que John Bull se plaigne ou ne se plaigne pas : |
Gérard de NERVAL, Épître à M. de Villèle, ÉLÉGIES NATIONALES ET SATIRES POLITIQUES (1826) |
|
5 |
Il se tourna vers ceux qui l'attendaient en bas |
8 |
Et se prit à crier : « Non, Dieu n'existe pas ! » |
Gérard de NERVAL, Le Christ aux Oliviers I, Chimères et les Cydalises (1854) |
|
13 |
Un navire de guerre est amarré là-bas. |
14 |
Le vent est si couché, si nonchalant, si bas, |
15 |
Que le sel de la mer, ce soir, ne se sent pas. |
Anna de NOAILLES, NUIT VÉNITIENNE, Les Vivants et les Morts (1913) |
|
17 |
On voit, protégé par un mur maussade et bas, |
18 |
Le cimetière où sont, sans regard et sans pas, |
Anna de NOAILLES, LE CIEL BLEU DU MILIEU DU JOUR…, Les Vivants et les Morts (1913) |
|
6 |
Et l'on vivait ; les yeux ne reconnaissaient pas |
10 |
On respirait pourtant, comme un feu mince et bas. |
Anna de NOAILLES, UN JOUR, ON AVAIT TANT SOUFFERT…, Les Vivants et les Morts (1913) |
|
2 |
Qu'il faut, dans la douleur, descendre jusqu'en bas, |
4 |
Puisque vous êtes bon, ne se pourrait-il pas |
Anna de NOAILLES, MON DIEU, JE SAIS QU'IL FAUT…, Les Vivants et les Morts (1913) |
|
35 |
Que César voit briller, qu'il ne remporte pas ; |
37 |
Le monde est une cage où le mal au front bas |
39 |
Est cette chasteté portant partout ses pas. |
Germain NOUVEAU, Chasteté, Poésies d'Humilis (1872-1881) |
|
9 |
que vous savez, l’Enfant murmurera tout bas : |
10 |
Quelle est donc cette pâte ? et ne comprendra pas. |
Germain NOUVEAU, VIII - "C’est à la femme à barbe, hélas ! qu’il est allé,", Poésies d'Humilis (1872-1881) |
|
14 |
Céder à leurs femmes le pas, |
16 |
Leur font mettre à tous chapeau bas ; |
Germain NOUVEAU, LA DEVISE, Valentines (1922) |
|
47 |
Ce sont vos mains qui font la caresse ici-bas ; |
49 |
Ne les méprisez pas, ne les négligez pas, |
Germain NOUVEAU, Les Mains, Poésies d'Humilis (1872-1881) |
|
10 |
J'ignore ce qu'on fait là-bas. |
13 |
Je reviendrai, n'en doutez pas. |
Évariste de PARNY, X - LE REVENANT, Œuvres complètes (1775-1806) |
|
10 |
O vous tous qui portez vos pas, |
12 |
Et dites-lui tout bas : |
Évariste de PARNY, XI - CHANSON, Œuvres complètes (1775-1806) |
|
24 |
Trop haut d'abord et puis trop bas : |
26 |
Et cependant ne l'instruit pas. |
Évariste de PARNY, TABLEAU XV - "Dans l'onde fraîche une bergère", Œuvres complètes (1775-1806) |
|
314 |
Que l'un des deux chemins allait en contre-bas, |
315 |
Vous connaissez celui que choisirent nos pas, |
Charles PÉGUY, Les cinq prières dans la cathédrale de Chartres, La Tapisserie De Notre-Dame (1913) |
|
2 |
Sourde à nos vœux, tu diriges tes pas. |
4 |
Qu’en t’admirant je t’adressais tout bas ? |
Jean POLONIUS, ADIEUX A MADAME PASTA, Poésies (1827) |
|
65 |
Hélas ! je ne gémirai pas |
68 |
Car, qui me plaindrait ici-bas ? |
Jean POLONIUS, LE SOLEIL D’AUTOMNE, Poésies (1827) |
|
30 |
Ne m’intéresse pas, |
32 |
Ici, non point là-bas. |
Raoul PONCHON, L’INONDATION DE 1910, La muse au cabaret (1920) |
|
14 |
Que celui qui n’en boirait pas, |
16 |
Serait pendu la tête en bas. |
Raoul PONCHON, CONTE, La muse au cabaret (1920) |
|
41 |
— Ah ! Sire, ne m’en parlez pas, |
43 |
Plutôt fâcheuses de là-bas. |
Raoul PONCHON, ENTENTE CORDIALE, La muse au cabaret (1920) |
|
21 |
Mènent un grand branle-bas : |
24 |
Les autres n’existent pas. » |
Raoul PONCHON, ESCARGOTS, La muse au cabaret (1920) |
|
33 |
Au monde d’ici-bas, |
36 |
À ne reposer pas ! |
Raoul PONCHON, MARIAGE CHINOIS, La muse au cabaret (1920) |
|
20 |
Pour aller joindre de ce pas |
21 |
Notre Dame du Haut-en-bas ; |
Raoul PONCHON, CY S’ENSUIT COMME QUOI, La muse au cabaret (1920) |
|
126 |
Mais peut-être, parti du degré le plus bas, |
127 |
Verrai-je en m'élevant, conquise pas à pas, |
René-François SULLY PRUDHOMME, SEPTIÈME VEILLE - RETOUR AU CŒUR, La Justice (1878) |
|
6 |
Pour la goûter, il ne faut pas |
8 |
Parlons bas ; |
René-François SULLY PRUDHOMME, UN RENDEZ-VOUS, Les Vaines Tendresses (1875) |
|
34 |
Pour croire qu'il existe au delà d'ici-bas |
36 |
Quelque être ayant pris forme et qui ne souffre pas. |
René-François SULLY PRUDHOMME, SUR LA MORT, Les Vaines Tendresses (1875) |
|
2 |
Je ne peux pas ; |
4 |
Même tout bas. |
René-François SULLY PRUDHOMME, SCRUPULE, Les Solitudes (1867) |
|
6 |
L'air est si lourd, j'ai peine à vous parler tout bas, |
8 |
Amoncellent des voix qui ne s'élèvent pas. |
René-François SULLY PRUDHOMME, LA LYRE ET LES DOIGTS, Les Solitudes (1867) |
|
6 |
Des choses d'en bas : |
8 |
Ne lui parlez pas. |
René-François SULLY PRUDHOMME, L'AGONIE, Les Solitudes (1867) |
|
26 |
Par des degrés larges et bas |
28 |
Les ayant creusés de ses pas ; |
René-François SULLY PRUDHOMME, LES VIEILLES MAISONS, Les Solitudes (1867) |
|
30 |
S'entendent, tout en parlant bas, |
32 |
Les amants, qui ne dorment pas. |
René-François SULLY PRUDHOMME, MIDI AU VILLAGE, Les Solitudes (1867) |
|
53 |
Tant de clous ont percé leurs membres ici-bas |
56 |
Et que ton repentir ne leur suffirait pas. |
Pierre QUILLARD, MESSE DES MORTS, La lyre héroïque et dolente (1897) |
|
549 |
Vous voyez qu'Étéocle a mis les armes bas ; |
550 |
Il veut que je vous voie, et vous ne voulez pas. |
Jean RACINE, La Thébaïde ou les Frères ennemis, La Thébaïde, ou les Frères ennemis (1664) |
|
1480 |
Vous ayez si longtemps par des détours si bas |
1481 |
Feint un amour pour moi que vous ne sentiez pas. |
Jean RACINE, Bajazet, Bajazet (1672) |
|
17 |
Et salue à jamais ceux qui passent là-bas |
18 |
Et qui retrouveront la trace de tes pas |
Henri de RÉGNIER, Pour la Porte des Voyageurs, LES JEUX RUSTIQUES ET DIVINS (1897) |
|
14 |
Le caillou se détourne et roule sous tes pas, |
16 |
Le Printemps t’a fêtée, ô Divine ! et, là-bas, |
Henri de RÉGNIER, L'Accueil, LES JEUX RUSTIQUES ET DIVINS (1897) |
|
9 |
Les feuilles chuchotent si bas, |
11 |
D’arbre en arbre qu’on ne sait pas |
Henri de RÉGNIER, Nuit D'Automne, LES JEUX RUSTIQUES ET DIVINS (1897) |
|
6 |
Aient cueilli le bouquet des heures et, tout bas, |
8 |
Vous soupiriez encore et ne souriiez pas ; |
Henri de RÉGNIER, ÉLÉGIE, La Cité des eaux (1902) |
|
31 |
Mes songes pour ne plus m’y voir ; mais de là-bas |
32 |
Je sens encor rôder des ombres sur mes pas, |
Henri de RÉGNIER, Le Faune au Miroir, LES JEUX RUSTIQUES ET DIVINS (1897) |
|
33 |
Ce que vous n'effacerez pas, |
35 |
Quand je vois impuissants et bas |
Armand RENAUD, Le Festin, Poésies (1860-1880) |
|
46 |
S'il vous souvient encor d'une joie ici-bas. |
48 |
C'est d'une heure semblable, ô grands morts, n'est-ce pas ? |
Armand RENAUD, XIV - L'HEURE DU BERGER, CAPRICES DE BOUDOIR (1864) |
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30 |
S’il vous souvient encor d’une joie ici-bas, |
32 |
C’est d’une heure semblable, ô grands morts, n’est-ce pas ? |
Armand RENAUD, L’Heure du Berger, Recueil intime (1881) |
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2 |
Tout là-haut, tout là-bas. |
4 |
Que l'on ne l'entend pas. |
Jean RICHEPIN, XVII - ÉTOILES FILANTES, LES CARESSES (1877) |
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1 |
La poésie est non pas |
3 |
Bien haut, bien loin, tout là-bas ; |
Jean RICHEPIN, III - L'IDÉAL, LES CARESSES (1877) |
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38 |
S’il pleut fort ou s’il n’ pleut pas, |
39 |
L’ blé reste enterré là-bas |
Jean RICHEPIN, XIV - LES VRAIS GUEUX, LA CHANSON DES GUEUX (1881) |
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17 |
La brise qui leur parle bas |
20 |
Que le monde ne comprend pas. |
Jean RICHEPIN, III - LES SOMNAMBULES, LES CARESSES (1877) |
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14 |
Qu'on le raconte ici-bas, |
16 |
D'un jour qui ne finit pas. |
Jean RICHEPIN, XXI - L'INCONSOLABLE, LES CARESSES (1877) |
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29 |
Où que j’ vas ? çà vous r’garde pas. |
31 |
C’est à côté, tout près d’là-bas. |
Jean RICHEPIN, VI - BALOCHARD, LA CHANSON DES GUEUX (1881) |
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61 |
Ô blanc Chasseur, qui cours sans bas |
63 |
Ne peux-tu pas, ne dois-tu pas |
Arthur RIMBAUD, Ce qu'on dit au Poète à propos de fleurs, POÉSIES II (1870-1872) |
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78 |
Et, tout là-bas, |
80 |
A chaque pas !… |
Arthur RIMBAUD, Les reparties de Nina, POÉSIES I (1869-1870) |
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6 |
Qu'accapare un filet frêle qu'on ne voit pas, |
8 |
Les nerfs : soudaineté de crise et branle-bas ! |
Georges RODENBACH, XI - "Les mystérieux nerfs sont des plaintes ourdies,", Les Vies Encloses (1896) |
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6 |
Vie en songe ! voici que s'embrument les pas, |
7 |
Et les voix mêmement s'embrument, parlent bas ; |
Georges RODENBACH, XIV - "Comme tout est changé de par la maladie", Les Vies Encloses (1896) |
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11 |
Des béguines, au loin, passaient, hâtant le pas, |
14 |
Heureuses, et disant des chapelets tout bas, |
Georges RODENBACH, IX - "Dimanche, c'était jour de lentes promenades", Le Règne Du Silence (1891) |
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2 |
De la dame de mon silence, à très doux pas |
4 |
Convalescente à peine, et qui voit tout là-bas |
Georges RODENBACH, I - "Silence : c'est la voix qui se traîne, un peu lasse,", Le Règne Du Silence (1891) |
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22 |
Devant mes pas, |
24 |
Me dit tout bas |
Maurice ROLLINAT, L'Horoscope, Les Névroses (1883) |
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78 |
Mais, le cercueil n'y glisse pas. |
79 |
« Je m'en doutais ! » grogne tout bas |
Maurice ROLLINAT, Le grand Cercueil, Paysages et Paysans (1899) |
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9 |
Je la suivais des yeux, je la suivis des pas ; |
10 |
Et, quand je fus près d'elle, en tremblant, presque bas, |
Maurice ROLLINAT, La Réprouvée, Paysages et Paysans (1899) |
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41 |
On ajoute, même, tout bas, |
42 |
Qu'on les a vus, du même pas, |
Maurice ROLLINAT, Les trois Noyers, Paysages et Paysans (1899) |
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9 |
Qu'importe ! ils se sauvent là-bas |
10 |
Vers le bon ombrage, d'un pas |
Maurice ROLLINAT, Les petits Maraudeurs, Paysages et Paysans (1899) |
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130 |
Et : « Ma primevère n'est pas |
131 |
Grande », dit le Sylvain tout bas, |
Edmond ROSTAND, XIII - SOUVENIRS DE VACANCES, LES MUSARDISES (1887-1893) |
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1 |
Quand on est couché sur le divan bas |
3 |
C'est délicieux, car on ne sait pas |
Edmond ROSTAND, V - LE DIVAN, LES MUSARDISES (1887-1893) |
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291 |
Quand on s'en étonne tout bas. |
294 |
Les pattes ne voleront pas ! |
Edmond ROSTAND, XX - LE CONTREBANDIER, LES MUSARDISES (1887-1893) |
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84 |
Le pas… |
88 |
Là-bas… |
Albert SAMAIN, L'ÎLE FORTUNÉE, Au Jardin de l'Infante (1893) |
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11 |
Mais le maître au front ceint de roses n'entend pas. |
13 |
A tressailli dans l'ombre, en écoutant là-bas |
Albert SAMAIN, FIN D'EMPIRE, Au Jardin de l'Infante (1893) |
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9 |
Et lente et paresseuse, et retardant le pas |
10 |
Pour me baiser sans bruit comme on parle tout bas. |
Albert SAMAIN, "Je n'ai songé qu'à toi, ma belle, l'autre soir.", Le Chariot d'or (1900) |
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49 |
Ne parle pas. |
50 |
Ou si bas |
Albert SAMAIN, MUSIQUE CONFIDENTIELLE, Au Jardin de l'Infante (1893) |
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1 |
Matelots, n’entendez.vous pas |
4 |
Le tambour bat le branle-bas… |
Théobald SAINT-FÉLIX, LE BRANLE-BAS, CHANTS DU SIÈGE DE PARIS (1871) |
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151 |
Quelque chose me dit qu’il restera là-bas, |
152 |
Et celui-là non plus, je ne le verrai pas. |
Louisa SIEFERT, LES SAINTES COLÈRES, LES SAINTES COLÈRES (1871) |
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22 |
Ceux qui ne se consolent pas ; |
24 |
De tout ce qu'on perd ici-bas ! |
Armand SILVESTRE, Mémento, Les Renaissances (1870) |
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107 |
Qu'avec son sourire et comme tout bas, |
109 |
Qu'un rêve faisait naître sous ses pas… |
Armand SILVESTRE, Le Passé - "Sur l'amant et sur la maîtresse,", Les Renaissances (1870) |
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11 |
Aux cieux d'ici-bas |
13 |
Qui fleurit nos pas… |
14 |
Je ne le crois pas : |
Armand SILVESTRE, XXXI - Façon de rondeau, Les Renaissances (1870) |
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127 |
« Voyez-vous se traîner là-bas, |
128 |
« Pas à pas, |
Joséphin SOULARY, JOLI MOIS DE MAI, PENDANT L’INVASION (1871) |
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6 |
Veuves de pas |
7 |
Qui sentent tout bas |
Paul-Jean TOULET, VII - "Aimez-vous le passé", LES CONTRERIMES (1921) |
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7 |
Et quand mon vol m'arrache aux lèpres d'ici-bas, |
8 |
Un démon m'y ramène, et dit : « Je ne veux pas ! » |
Gabriel TRARIEUX, CRI, CONFITEOR (1891) |
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2 |
Sur la route des jours n'a fait qu'un ou deux pas, |
3 |
Vision fugitive apparue ici-bas |
Gabriel TRARIEUX, A JACQUES T., CONFITEOR (1891) |
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21 |
J'implore tout bas |
24 |
Que tu ne vois pas. |
Paul VALÉRY, ODELETTE NOCTURNE, CORONA (1938-1945) |
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9 |
Paris ne sait rien, lui ! tandis que vous, là-bas, |
11 |
La province se lève et marche, n'est-ce pas, |
Ali-Joseph-Augustin VIAL DE SABLIGNY, AUX MESSAGERS DE LA PATRIE, LES GRAINS DE POUDRE (1871) |
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55 |
Te retires soudain, quand pour nous mettre bas, |
56 |
Des milliers de Prussiens s'avançaient à grands pas ? |
Ali-Joseph-Augustin VIAL DE SABLIGNY, A NAPOLÉON III, LES GRAINS DE POUDRE (1871) |
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38 |
Partout où vous portez vos pas, |
39 |
On doit crier : Chapeau bas ! chapeau bas ! |
Ali-Joseph-Augustin VIAL DE SABLIGNY, , À PROPOS PATRIOTIQUE (1830) |
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9 |
Qui peine, pour sauver un jour d'un sort si bas, |
10 |
Sa sœur, fille de joie au loin, qui n'écrit pas ! |
Paul VERLAINE, "Digne et modeste dans sa chaire d'acajou", ALBUM ZUTIQUE (1871) |
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15 |
C’est la nôtre, n’est-ce pas ? |
18 |
Par ce tiède soir, tout bas ? |
Paul VERLAINE, I - "C’est l’extase langoureuse,", ROMANCES SANS PAROLES (1870) |
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40 |
J' ai vaincu les partis… ↩ Sire, n'êtes-vous pas |
42 |
Je reste… et c'est pour toi… ↩ Sire, parlez plus bas. |
Paul VERLAINE, VAUCOCHARD ET FILS Ier, PREMIERS VERS (1858-1869) |
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2 |
C’est vrai que je vous cherche et ne vous trouve pas. |
3 |
Mais vous aimer ! Voyez comme je suis en bas, |
Paul VERLAINE, II - "J’ai répondu : Seigneur, vous avez dit mon âme.", SAGESSE (1881) |
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83 |
« Et c’est la fleur du jardin d’ici-bas ! |
84 |
« Malheur à ceux qui ne l’adorent pas ! |
Paul VERLAINE, DON JUAN PIPÉ, JADIS ET NAGUÈRE (1884) |
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99 |
Et maudissant Don Juan, lui jeta bas |
100 |
Son corps mortel, mais son âme, non pas ! |
Paul VERLAINE, DON JUAN PIPÉ, JADIS ET NAGUÈRE (1884) |
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17 |
Sans plus s’inquiéter que s’il n’existait pas |
18 |
De l’écueil proche qui met son esquif à bas. |
Paul VERLAINE, V - "J’ai la fureur d’aimer. Mon cœur si faible est fou.", AMOUR (1888) |
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6 |
À quoi, misère, il ne croit pas |
8 |
Et murmure entre haut et bas : |
Paul VERLAINE, Rendez-vous, PARALLÈLEMENT (1889) |
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33 |
Et toi, Vertu sans pair, presqu'Une, n'es-tu pas |
34 |
Humaine en même temps que divine, ici-bas ? |
Paul VERLAINE, III - "Après la chose faite, après le coup porté,", BONHEUR (1891) |
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15 |
Nous en moquons-nous ? Que non pas ! |
18 |
Et non au ciel, mais ici-bas. |
Paul VERLAINE, VIII - "Que ton âme soit blanche ou noire,", CHANSONS POUR ELLE (1891) |
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18 |
Ceux qui ne te comprennent pas, |
19 |
Grande maîtresse que d’en bas |
Paul VERLAINE, MONEY !, CHAIR (1896) |
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20 |
Et termite, et encore à bas |
22 |
Dont tels rimeurs ne voudraient pas ! |
Paul VERLAINE, IX - LA BALLADE DE L’ÉCOLE ROMANE, INVECTIVES (1896) |
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25 |
Que tu m’offres, je rentre. En Bas. |
27 |
Bon pour ton Dieu. Je ne suis pas |
Paul VERLAINE, XLVIII - DÉCEPTION, INVECTIVES (1896) |
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18 |
Sentant à la fois bon et pas, |
20 |
Et haut de cuisse, et bas de bas, |
Paul VERLAINE, XII - AU BAL, FEMMES (1890) |
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2 |
Je hais, je ne sais plus ; je veux, je ne sais pas ; |
4 |
Vers un néant, très loin, je ne sais où, là-bas ? |
Émile VERHAEREN, HEURES MORNES, LES SOIRS (1887) |
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5 |
Celui, si triste hélas ! qui s’en alla, là-bas, |
7 |
Rêver à quelque chose, au loin, qu’on ne voit pas |
Émile VERHAEREN, INCONSCIENCE, LES SOIRS (1887) |
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103 |
On n'est jamais en haut. Les forts, devant leurs pas, |
104 |
Trouvent un nouveau mont inaperçu d'en bas. |
Alfred de VIGNY, La Flûte, POÈMES ANTIQUES ET MODERNES (1826) |
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11 |
Son corps blanc est sans voile, il marche pas à pas, |
12 |
L'œil ouvert, immobile, en murmurant tout bas : |
Alfred de VIGNY, Le Somnanbule, POÈMES ANTIQUES ET MODERNES (1826) |
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5 |
Reliques ! doux trésors ! que dites-vous tout bas |
7 |
Des mots mystérieux qui ne s'expriment pas, |
Léonise VALOIS, Nos Petits Souvenirs, FLEURS SAUVAGES (1910) |
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39 |
Quoi ! Pour l’objet le plus vil, le plus bas, |
40 |
Vous me trompez ! ↩ Non, je ne trompe pas ; |
VOLTAIRE, NANINE - COMÉDIE EN TROIS ACTES, Nanine ou le préjugé vaincu (1749) |
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391 |
Ah ! Croyez-moi, l’esprit ne s’apprend pas. |
392 |
Je pense trop pour un état si bas ; |
VOLTAIRE, NANINE - COMÉDIE EN TROIS ACTES, Nanine ou le préjugé vaincu (1749) |
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467 |
De trois cents louis d’or ; n’y manquez pas : |
468 |
Puis vous irez chercher ces gens là-bas ; |
VOLTAIRE, NANINE - COMÉDIE EN TROIS ACTES, Nanine ou le préjugé vaincu (1749) |
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643 |
Non, monsieur, non, je ne souffrirai pas |
644 |
Qu’ainsi pour moi vous descendiez si bas : |
VOLTAIRE, NANINE - COMÉDIE EN TROIS ACTES, Nanine ou le préjugé vaincu (1749) |
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74 |
C'est pour cela que vous n'entrerez pas. |
76 |
S'esquive en hâte, et, murmurant tout bas |
VOLTAIRE, ÉPÎTRE XCI - À DAPHNÉ,, LES ÉPÎTRES (1706-1778) |
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302 |
Mais je serais de courage bien bas, |
303 |
De tuer gens qui ne combattent pas. » |
VOLTAIRE, CHANT II, La Pucelle d'Orléans (1752) |
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192 |
Ton âme dure est tombée ici bas. |
193 |
— Messieurs, dit-il, je ne m'en défends pas ; |
VOLTAIRE, CHANT V, La Pucelle d'Orléans (1752) |
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139 |
Parlait au roi, courait, allait le pas, |
140 |
Se rengorgeait et soupirait tout bas |
VOLTAIRE, CHANT XIII, La Pucelle d'Orléans (1752) |