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34 Nous guides à travers les écueils d'ici-bas,
36 Lampe d'Héro, ne t'éteins pas !
Louise-Victorine ACKERMANN, XIV - La Lampe D'Héro, PREMIÈRES POÉSIES (1862)
14 Crie à tout ce qui naît : « Aime et meurs ici-bas ! »
16 Vous n'échapperez pas.
Louise-Victorine ACKERMANN, IV - L’Amour et la Mort, POÉSIES PHILOSOPHIQUES (1871)
26 Et résolu d'un mot l'énigme d'ici-bas ?
29 Ta réponse est absurde, et le Sphinx n'en veut pas.
Louise-Victorine ACKERMANN, XV - Pascal, POÉSIES PHILOSOPHIQUES (1871)
86 Par de fermes liens ne las attachait pas,
88 Plutôt que d'éclairer un pareil ici-bas.
Louise-Victorine ACKERMANN, XIX - Le Déluge, POÉSIES PHILOSOPHIQUES (1871)
51 Et deux anges fuyaient, heureux, loin d’ici-bas ;
52 Et l’enfant endormi ne se réveilla pas !
Jean AICARD, I - L’ANGE ET L’ENFANT, Les Jeunes Croyances (1867)
14 Je ne veux pas aimer comme on aime ici-bas,
16 Tant qu’il pourra monter ne se posera pas !
Jean AICARD, I - AMOURS, Les Jeunes Croyances (1867)
1 J’ai besoin de silence… oh ! ne me parlez pas !
3 Et j’entrevois au loin, sous les vapeurs, là-bas,
Jean AICARD, XVII - EXIL, Les Jeunes Croyances (1867)
9 Le cœur saignant et, pas à pas,
12 Sans espoir de paix ici-bas ?
Ernest AMELINE, ADIEUX, CHANTS D’EXIL (1870)
19 Et, soit qu'en faisant un pas
20 Elle regardât en bas
Théodore de BANVILLE, A Méry, ODELETTES (1856)
55 Au bel Ange qui suit vos pas :
56 Je veux que ma route ici-bas
Théodore de BANVILLE, A Odette, ODELETTES (1856)
14 Je la suivis… — Ton cœur ne t'a pas dit tout bas
16 Et mettait… mettait, pas pour pas,
Jules BARBEY D'AUREVILLY, À Valognes, Poussières (1854)
6 Il est si cruel et si bas !
8 Ce que, toi, tu ne connais pas !
Jules BARBEY D'AUREVILLY, Chanson, Poussières (1854)
7 Le rêve que les cœurs épris font ici-bas.
10 Pour t'en vouloir, — et je ne t'en veux pas !
Jules BARBEY D'AUREVILLY, "Tu t'en vas, — ce n'est pas ta faute.", Poussières (1854)
26 L'impassible témoin des douleurs d'ici-bas
28 L'être que nous aimons passe et tu ne meurs pas !
Jules BARBEY D'AUREVILLY, La Haine Du Soleil, Poussières (1854)
1 N'est-il pas un remède, et ne guérit-on pas ?
4 Je ne sais quelle voix a murmuré tout bas.
Maurice BOUCHOR, XV - "N'est-il pas un remède, et ne guérit-on pas ?", LES POËMES DE L'AMOUR ET DE LA MER (1876)
22 Tavernier qui ne comprends pas, —
24 Et pourquoi je m'en vais là-bas.
Maurice BOUCHOR, XX - "Éteignant ses pâles étoiles,", LES POËMES DE L'AMOUR ET DE LA MER (1876)
67 Et les rameurs ne chantaient pas ;
70 Sans savoir où, toujours là-bas
Maurice BOUCHOR, XXIII - "Par une nuit d'été délicieuse et triste", LES POËMES DE L'AMOUR ET DE LA MER (1876)
6 Ne comprenant rien aux bruits d'ici bas,
7 Nous aimant toujours, ne nous parlant pas,
Maurice BOUCHOR, XIII - "Nous nous aimerons au bord d'un sentier", LES POËMES DE L'AMOUR ET DE LA MER (1876)
2 Adouci, semble un chant là-bas,
3 Lorsque marchant à petits pas
Maurice BOUCHOR, XXV - PRINTEMPS TRISTE, LES POËMES DE L'AMOUR ET DE LA MER (1876)
15 Je suis par-dessus vous, et ne m’en prévaus pas :
18 Je doy loger en haut, si vous logez en bas.
Isaac de BENSERADE, Plainte du Cheval Pégaze aux Chevaux de la Petite Écurie,, Poésies de Benserade (1697)
8 Et vous soupirez tout bas.
11 Lise, vous ne filez pas.
Pierre-Jean de BÉRANGER, LA MÈRE AVEUGLE, Chansons (1815)
58 Vers la cour il marche à grands pas.
60 Devant Robin ont chapeau bas !
Pierre-Jean de BÉRANGER, L'AMI ROBIN, Chansons (1815)
35 Mon cher, ne vous gênez pas,
36 Mon équipage est là bas. »
Pierre-Jean de BÉRANGER, LE SÉNATEUR, Chansons (1815)
35 Dieu ! Ne prononce-t-il pas
36 Le mot de cocu… tout bas ?
Pierre-Jean de BÉRANGER, LE MAÎTRE D'ÉCOLE, Chansons (1815)
13 Mais dans combien de mauvais pas
15 Ah ! Du destin l'homme ici-bas
Pierre-Jean de BÉRANGER, LES MARIONNETTES, Chansons (1815)
11 L'ambition hâte mes pas,
13 D'apprendre à m'incliner bien bas.
Pierre-Jean de BÉRANGER, HABIT DE COUR, Chansons (1815)
34 Est ma tâche ici-bas.
36 Ne m'aimeront-ils pas ?
Pierre-Jean de BÉRANGER, MA VOCATION, Chansons (1815)
35 Et jamais, quoi qu'il fasse, un mortel ici-bas
36 Ne peut aux yeux du monde être ce qu'il n'est pas.
Nicolas BOILEAU-DESPRÉAUX, SATIRE XI, SATIRES (1666-1716)
237 Il sortit tout à coup, et, murmurant tout bas
238 Quelques termes d'aigreur que je n'entendis pas,
Nicolas BOILEAU-DESPRÉAUX, ÉPÎTRE XII - SUR L'AMOUR DE DIEU, ÉPITRES (1670-1698)
285 Qu'il pût dire tout haut ce qu'il se dit tout bas ;
286 Ah ! Docteur, entre nous, que ne dirait-il pas ?
Nicolas BOILEAU-DESPRÉAUX, SATIRE VIII, SATIRES (1666-1716)
38 « C'est la voisine, n'est-ce pas,
39 Dont on creuse le trou là-bas ?
Louis BOUILHET, LIV - LA FILLE DU FOSSOYEUR, DERNIÈRES CHANSONS (1869)
258 Il serra ses deux poings en murmurant tout bas ;
259 Mais Paulus était loin, Paulus n'entendit pas ;
262 Comme la foudre aux cieux, bondissant, à grands pas,
Louis BOUILHET, CHANT DEUXIÈME, Melænis (1857)
564 Il vit, ou pensa voir, dans l'ombre, à quelques pas,
565 Deux formes s'agiter, qu'il ne reconnut pas.
568 Et, s'accrochant aux mains, il atteignit le bas.
Louis BOUILHET, CHANT DEUXIÈME, Melænis (1857)
296 Que Coracoïdès ne le reconnut pas.
297 ‒ Aux jambes du bouffon Paulus réglait son pas. ‒
299 S'était perdu dans Rome, et qu'aux thermes, là-bas,
Louis BOUILHET, CHANT TROISIÈME, Melænis (1857)
2 Va demander ta joie aux rêves d'ici-bas,
4 La main de l'imprudent qui ne la connaît pas.
Louis BOUILHET, A UN JEUNE HOMME, POÉSIES. FESTONS ET ASTRAGALES (1859)
387 Ils se parlaient entre eux et murmuraient tout bas.
390 Et quand il fut s'asseoir, on ne le suivit pas !
Louis BOUILHET, CHANT QUATRIÈME, Melænis (1857)
548 Qui va hochant la tête et murmure tout bas
549 Des mots mystérieux que l'on ne comprend pas !…
552 Et dans la grande salle on entendit des pas.
Louis BOUILHET, CHANT QUATRIÈME, Melænis (1857)
698 Il sait quels mots profonds tu caches ici-bas,
700 Qu'avec ses sens grossiers l'homme n'entendait pas.
Louis BOUILHET, LES FOSSILES, POÉSIES. FESTONS ET ASTRAGALES (1859)
59 Mais l'enfant, malgré lui, rentrant à petits pas,
60 Songeait à ce bruit sourd qu'on entendait là-bas,
Louis BOUILHET, XXII - L'AMOUR NOIR, DERNIÈRES CHANSONS (1869)
67 Si léger sous les bois et respirant si bas
68 Que les oiseaux couchés ne se réveillaient pas.
Louis BOUILHET, XXII - L'AMOUR NOIR, DERNIÈRES CHANSONS (1869)
119 Que l'éternel regret des douceurs d'ici-bas
120 Leur tire des soupirs à chacun de leurs pas,
Auguste BARBIER, LE CAMPO SANTO, Ïambes et poèmes (1831)
46 Pour nous anéantir il faudrait ici-bas
48 Mais ce germe doré ne s'extirpera pas ;
50 Toujours le malheureux lui cédera le pas.
Auguste BARBIER, MENACE ET CORRUPTION, Ïambes et poèmes (1831)
139 Les frères hâtent le pas.
140 « Voyez, dit Pierre tout bas,
Émile BERGERAT, LES NEUTRES, POËMES DE LA GUERRE (1871)
115 « Je leur dirai cela dans la forêt, là-bas.
116 « Car j'y vais retourner ! En ne te voyant pas,
Émile BERGERAT, LE MAÎTRE D'ÉCOLE, LE MAÎTRE D'ÉCOLE (1870)
5 Dans cette femme aussi n'est-ce point ici-bas
6 Chercher comme un rayon du dieu qu'on ne voit pas ?
Auguste BRIZEUX, "Souvent je me demande et je cherche en tout lieu", Marie (1831)
51 Je parlais à Marie en secret et tout bas ;
52 Mais elle m'écoutait et ne répondait pas ;
Auguste BRIZEUX, MARIE (5), Marie (1831)
193 Brillaient d'en haut jusqu'en bas ?
196 Oui, mais ils ne dansaient pas.
Auguste BRIZEUX, HISTOIRE D'IVONA, Marie (1831)
29 Chaque objet cependant s'éclaircit : à deux pas,
30 Je vois le lit de chêne et son coffre ; et plus bas
Auguste BRIZEUX, MARIE (8), Marie (1831)
25 Qu'on baise avec transport, et qu'on relit tout bas !
26 Oh ! Qui pourrais-je aimer, si je ne t'aimais pas ?
Auguste BRIZEUX, À MA MÈRE, Marie (1831)
15 Soyez béni, mon dieu ! Dans les biens d'ici-bas,
16 Ceux qu'on poursuit le plus, je ne les aurai pas.
Auguste BRIZEUX, MARIE (12), Marie (1831)
65 Morbleu ! j'ai soif !… Verse… Et ne réponds pas.
66 Que marmottes-tu là tout bas ?
Jules BARBIER, XXVIII - LA SOIF, LE FRANC-TIREUR (1871)
34 Insensés !… Ce lion ne vous menaçait pas ;
36 Qui lui doit d'être encor quelque chose ici-bas !
Jules BARBIER, XXXI - LE LION ET LE TIGRE, LE FRANC-TIREUR (1871)
62 Le soir est long. Je ne sais pas
63 Dans quel grand naufrage, là-bas,
Henri BARBUSSE, REPOS, Les Pleureuses (1895)
13 Ne reviens pas, même un instant, même tout bas
15 Laisse-nous tous les deux dormir ! ne reviens pas
Henri BARBUSSE, L'ÉLOIGNEMENT, Les Pleureuses (1895)
2 Ses amis sont là-bas, là-bas
3 Elle s'avance à petits pas
Henri BARBUSSE, "Elles sont mortes, ses amies,", Les Pleureuses (1895)
6 L'un des supplices d'ici-bas,
8 J'en souffre et l'on ne me plaint pas ! »
Mélanie BOUROTTE, XCVIII - "Pierre dit : « Le mal qui m'incombe", Le sphynx au foyer (1883)
21 On volerait si bas, si bas.
24 Son petit cœur n’entendrait pas !
Alfred BUSQUET, A NINO GARNIER, POÉSIES (1884)
12 En me disant : « Je ne t'oublierai pas ;
14 En t'écrivant quand je serai là-bas ! »
Jean Baptiste CAOUETTE, BLANCHE, TE SOUVIENT-IL, LES VOIX INTIMES (1892)
2 Le petit pauvre a mis son bas,
4 Bon Jésus, ne m'oubliez pas !
Jean Baptiste CAOUETTE, LA NUIT DE NOËL, LES VOIX INTIMES (1892)
14 Au ciel pour toi je demande ici-bas
16 Et les enfants que ton oncle n'a pas.
François-René de CHATEAUBRIAND, XI - Pour le mariage de mon neveu, POÉSIES DIVERSES (1797-1827)
5 Assez long-temps j’en ai gémi tout bas.
7 Il faut l’aimer ; cela ne prenait pas.
Sébastien-Roch-Nicolas de CHAMFORT, PROLOGUE D’UN AUTRE CONTE, ŒUVRES COMPLÈTES (1851)
36 Sa femme furieuse est bientôt sur ses pas,
37 Tire d’abord l’échelle à bas :
Sébastien-Roch-Nicolas de CHAMFORT, LE SAUT DE LA SOUPENTE, ŒUVRES COMPLÈTES (1851)
144 Ses conquêtes, ses lois, en ajoutant tout bas
145 Que, sans un fort subside, il ne partira pas.
Sébastien-Roch-Nicolas de CHAMFORT, FRAGMENS D’UNE ÉPITRE DIPLOMATIQUE, ŒUVRES COMPLÈTES (1851)
17 La malade soudain veut ravoir l’autre bas.
18 On cherche, on se tracasse, il ne se trouve pas :
Sébastien-Roch-Nicolas de CHAMFORT, LA JAMBE DE BOIS ET LE BAS PERDU, ŒUVRES COMPLÈTES (1851)
30 Sombre, j’ai murmuré bien bas :
31 « O troupeaux, ne vous plaignez pas
François COPPÉE, LE SIÈGE DE PARIS, Sonnets intimes et Poèmes inédits (1925)
38 Qu’on invite en saluant bas,
40 Qui répond : « Je ne valse pas ; »
François COPPÉE, AU THÉÂTRE, Sonnets intimes et Poèmes inédits (1925)
5 N’ont pas le don de plaire aux heureux d’ici-bas ;
6 Ton livre les étonne et ne se lira pas.
François COPPÉE, ALLONS, POÈTE, IL FAUT EN PRENDRE TON PARTI !, Sonnets intimes et Poèmes inédits (1925)
29 Le piano chantait toujours plus bas, plus bas.
30 Puis, un certain soir d'août, je ne l'entendis pas.
François COPPÉE, ADAGIO, LE RELIQUAIRE (1866)
73 Cela fera plaisir au bon Dieu, n'est-ce pas ?
74 Il est au Ciel. Hélas ! est-il heureux là-bas ?
François COPPÉE, UNE SAINTE, LE RELIQUAIRE (1866)
47 — Ce mot là, c'est toujours du français, n'est-ce pas ? —
48 Quelques-uns d'entre nous se plaignent bien tout bas
François COPPÉE, LETTRE D'UN MOBILE BRETON, ÉCRIT PENDANT LE SIÈGE (1870)
10 On les voit se parler tout bas,
12 Où les oiseaux ne chantent pas.
François COPPÉE, Enfants Trouvées, POÈMES MODERNES (1867-1869)
52 —Non, berger. N'entends-tu pas
53 Que là-bas
François COPPÉE, Le Printemps, LE CAHIER ROUGE (1874)
29 Le piano chantait toujours plus bas, plus bas.
30 Puis, un certain soir d’août, je ne l’entendis pas.
François COPPÉE, Adagio, PROMENADES ET INTÉRIEURS (1872)
22 Hélas ! les jeunes gens émigrent de là-bas ;
24 Et leurs filles, ses sœurs, ne se marieront pas.
François COPPÉE, Le Canon, LE CAHIER ROUGE (1874)
9 Où le beau-père et les gens murs, à quelques pas,
10 Vont jouer au bouchon et mettent habit bas.
François COPPÉE, Noces et Festins, LE CAHIER ROUGE (1874)
38 Pour vous qui logez tout là-bas ;
40 Vous viendrez demain, n’est-ce pas ?
François COPPÉE, Simple Ambition, LES HUMBLES (1872)
73 Seigneur, sans ton vouloir rien n'arrive ici-bas :
76 Que ce grand tout suit pas à pas.
Pierre CORNEILLE, CHAPITRE L - Comment un homme désolé doit se remettre entre les mains de Dieu., Imitation De Jésus-Christ (1656)
39 Seigneur, puisqu'il t'a plu de choisir ici-bas
42 Par le mépris du monde avance sur tes pas.
Pierre CORNEILLE, CHAPITRE LVI - Que nous devons renoncer à nous-mêmes, et imiter Jésus-Christ en portant notre croix., Imitation De Jésus-Christ (1656)
64 Et toutes les vertus qui brillent ici-bas
66 Pour qui va sur ses pas.
Pierre CORNEILLE, CHAPITRE V - De la dignité du sacrement, et de l'état du sacerdoce., Imitation De Jésus-Christ (1656)
1115 Ils marchaient après vous deux ou trois mille pas ;
1116 Ils vous ont vu courir, tomber le mort à bas,
Pierre CORNEILLE, La Suite du Menteur, La Suite du Menteur (1645)
35 J'aurais en ma faveur le courage bien bas,
36 Si je fuyais des maux que vous ne fuyez pas.
Pierre CORNEILLE, Œdipe, Œdipe (1659)
55 S'il me fallait ramper dans un degré plus bas ;
57 Pour vouloir jusque-là vous suivre pas à pas.
Pierre CORNEILLE, Agésilas, Agésilas (1666)
745 Dites ce qu'à ce nom le cœur vous dit tout bas,
746 Ou je dirai tout haut qu'il ne vous déplaît pas.
Pierre CORNEILLE, Agésilas, Agésilas (1666)
1599 Son cœur l'en désavoue, et murmurant tout bas
1601 Tout ce qu'elle en prétend ne m'alarmerait pas,
Pierre CORNEILLE, Agésilas, Agésilas (1666)
1173 Seule en ce grand logis, elle court haut et bas,
1174 Elle renverse tout ce qui s'offre à ses pas,
Pierre CORNEILLE, La Veuve, La Veuve (1632)
262 Honore les saints ici-bas,
263 Et tâche d'affermir tes pas
Pierre CORNEILLE, CHAPITRE XXIII - De la méditation de la mort., Imitation De Jésus-Christ (1656)
335 Ses disciples aimés suivoient par là ses pas ;
336 Et quiconque après eux veut le suivre ici-bas,
Pierre CORNEILLE, CHAPITRE XII - Du chemin royal de la sainte croix., Imitation De Jésus-Christ (1656)
88 Vous pourrez trébucher bien bas,
90 Pour guides à vos premiers pas.
Pierre CORNEILLE, CHAPITRE VII - Qu'il faut cacher la grâce de la dévotion sous l'humilité., Imitation De Jésus-Christ (1656)
77 Par un dernier mépris ose imprimer ses pas,
80 Tu te mettes encor plus bas.
Pierre CORNEILLE, CHAPITRE XIII - De l'obéissance de l'humble sujet, à l'exemple de Jésus-Christ., Imitation De Jésus-Christ (1656)
33 Quel pas !
36 Bien bas !
Tristan CORBIÈRE, GENTE DAME, LES AMOURS JAUNES (1873)
21 Pour les gens du pays, il ne les voyait pas :
22 Seulement, en passant, eux regardaient d'en bas,
Tristan CORBIÈRE, LE POÈTE CONTUMACE, LES AMOURS JAUNES (1873)
15 Du prêtre, sous l'autel, n'ouïs-tu pas les pas
16 Et le mot qu'à l'Hostie il murmure tout bas ?…
Tristan CORBIÈRE, GRAND OPÉRA, LES AMOURS JAUNES (1873)
15 Sommeil ! écoute-moi : je parlerai bien bas :
16 Sommeil — Ciel-de-lit de ceux qui n'en ont pas !
Tristan CORBIÈRE, LITANIE DU SOMMEIL, LES AMOURS JAUNES (1873)
84 Sommeil — écoute-moi, je parlerai bien bas :
85 Crépuscule flottant de l'être ou n'être pas !…
Tristan CORBIÈRE, LITANIE DU SOMMEIL, LES AMOURS JAUNES (1873)
58 Du haut en bas !
60 N'y tiendrait pas
Tristan CORBIÈRE, LE PHARE, LES AMOURS JAUNES (1873)
2 Ce visage et ce front bas
3 Et ces yeux qui ne voient pas
Tristan CORBIÈRE, Rêverie, Petits airs (1920)
5 Tu nous lorgnes, pensant tout bas
8 Que nos yeux creux ne valent pas
Charles CROS, A une chatte, Le Coffret De Santal (1879)
21 A coup sûr, tu ne seras pas
24 Ne peut te retenir en bas.
Charles CROS, A une jeune fille, Le Coffret De Santal (1879)
222 Voyez glisser là-bas
225 L'allure de ses pas.
Louis DANTIN, L'hostie du maléfice, Le Coffret de Crusoé (1932)
43 « L'amour, vrai Bien, ne nous leurr' pas ;
44 Les ang's de Dieu sont ici-bas. »
Louis DANTIN, La complainte du coeur noyé, Le Coffret de Crusoé (1932)
4 Elle le berçait, et chantait tout bas
6 Mais l’enfant-Jésus ne s’endormait pas.
Alphonse DAUDET, LA VIERGE À LA CRÈCHE, LES AMOUREUSES (1858)
11 S’en fut, lui murmurant tout bas :
14 « Et que mon coiffeur ne vient pas. »
Alphonse DAUDET, LA RÊVEUSE, LES AMOUREUSES (1858)
17 Qu’un chagrin se révèle en soupirant tout bas :
18 Si je pouvais chanter, je ne l’entendrais pas !
Marceline DESBORDES-VALMORE, LES DEUX BERGÈRES, POÉSIES (1830)
6 Et sans me regarder il a doublé ses pas.
8 Je le devinais mieux quand il souffrait tout bas !
Marceline DESBORDES-VALMORE, BONSOIR, POÉSIES (1830)
16 Heureux, dis-tu, qui n’aime pas !
19 Sais-tu ce que je dis tout bas ?
20 « Que je te plains ! tu n’aimes pas. »
Marceline DESBORDES-VALMORE, QUE JE TE PLAINS, POÉSIES (1830)
10 Dis ! ne me plains-tu pas ?
12 Mon nom s’exhale-t-il tout bas ?
Marceline DESBORDES-VALMORE, C’EST MOI, POÉSIES (1830)
62 Il fallait fuir : des pleurs ne lui suffisaient pas ;
64 Il pardonnait tout haut, il maudissait tout bas.
Marceline DESBORDES-VALMORE, LE BERCEAU D’HÉLÈNE, POÉSIES (1830)
10 Danseraient à la porte et chanteraient tout bas ;
12 « Une mère est malade, enfants, ne chantez pas ! »
Marceline DESBORDES-VALMORE, CONTE D’ENFANT, POÉSIES (1830)
63 Tout s’enfuira de vous, j’en pleurerai tout bas ;
65 Que ferons-nous alors ? Oh ! ne vous cachez pas !
Marceline DESBORDES-VALMORE, LE PETIT MENTEUR, POÉSIES (1830)
51 Je te la dois cette heure où nous vivons tout bas :
53 Pour l’éternité même où tu ne seras pas.
Marceline DESBORDES-VALMORE, LA PREMIÈRE HEURE DE L’ANNÉE, POÉSIES (1830)
2 Quel jour ? dors-tu ? d’où vient que tu n’achèves pas ?
4 Je cesse d’en parler pour y penser tout bas
Marceline DESBORDES-VALMORE, UNE JEUNE FILLE ET SA MÈRE, POÉSIES (1830)
60 Daphnis en vain m’attend, je pleure en vain tout bas ;
62 Et vous ne me devinez pas !
Marceline DESBORDES-VALMORE, UNE JEUNE FILLE ET SA MÈRE, POÉSIES (1830)
95 Il n’entend d’autre bruit que le bruit de ses pas.
96 Je regarde, j’écoute, et je compte tout bas
Marceline DESBORDES-VALMORE, LE PAUVRE PIERRE, POÉSIES (1830)
222 J’en suis sûre, il me cherche, il m’appelle tout bas.
224 Mon père, il l’entendrait qu’il ne le croirait pas.
Marceline DESBORDES-VALMORE, LE PAUVRE PIERRE, POÉSIES (1830)
19 Laisse-moi les haïr, mais de loin, mais tout bas.
20 Quels yeux !… Ils sont partout. Oh ! ne me parle pas !
Marceline DESBORDES-VALMORE, LE REGARD, POÉSIES (1830)
66 Y suspendit mes pas ;
68 Car il parlait tout bas.
Marceline DESBORDES-VALMORE, L’IDIOT, POÉSIES (1830)
63 Ce songe, qu’en parlant j’écoute encor tout bas ;
64 Mais il est des accents que l’on n’imite pas !
Marceline DESBORDES-VALMORE, À MES SŒURS, POÉSIES (1830)
34 Honorez ma maison, suspendez-y vos pas.
35 Sur le chemin sans fleurs qui vous attend là-bas
Marceline DESBORDES-VALMORE, L’EXILÉE, POÉSIES (1830)
8 J’ai ralenti mes pas ;
9 Mais il priait trop bas ;
Marceline DESBORDES-VALMORE, NOTRE-DAME D’AMOUR, POÉSIES (1830)
26 Me dérober sur tes pas,
28 J’oublierais… parlons plus bas !
Marceline DESBORDES-VALMORE, LE CALVAIRE, POÉSIES (1830)
14 Dans cette belle nuit, se célébrait tout bas ;
16 Murmuraient des chansons pour attirer mes pas.
Marceline DESBORDES-VALMORE, LES ROSES, POÉSIES (1830)
26 Arrête ici mes pas ;
28 Elle s’aigrit tout bas.
Marceline DESBORDES-VALMORE, LE PRISONNIER DE GUERRE, POÉSIES (1830)
8 Tu viendras me parler tout bas,
9 Crains-tu que je n’entende pas ?
Marceline DESBORDES-VALMORE, LE DERNIER RENDEZ-VOUS, POÉSIES (1830)
17 Je te peindrai les cieux tout bas :
18 Crains-tu de ne m’entendre pas ?
Marceline DESBORDES-VALMORE, LE DERNIER RENDEZ-VOUS, POÉSIES (1830)
35 Quand Dieu nous l’a promis tout bas,
36 Crois-tu que je n’écoutais pas ?
Marceline DESBORDES-VALMORE, LE DERNIER RENDEZ-VOUS, POÉSIES (1830)
79 Les cailloux plus cléments, loin d’offenser nos pas,
80 Nous font un doux chemin ; on vole, on dit tout bas :
Marceline DESBORDES-VALMORE, RÉVÉLATION, LES PLEURS (1830)
108 À ton plus faible enfant tu viendrais, et tout bas :
109 « J’ai voulu t’éprouver, grâce ! ne pleure pas… »
Marceline DESBORDES-VALMORE, RÉVÉLATION, LES PLEURS (1830)
5 Qui disent ; « Ne nous touchez pas !
6 Nos plumes grandiront là-bas.
Marceline DESBORDES-VALMORE, LE JUMEAU PLEURÉ, LES PLEURS (1830)
14 Quand j’écris tout bas
16 N’exhalera pas !
Marceline DESBORDES-VALMORE, L’ADIEU TOUT BAS, LES PLEURS (1830)
72 Triste alors, quel secret m’avez-vous dit tout bas ?
75 Mon frêle et doux Ave, ne l’écoutiez-vous pas ?
Marceline DESBORDES-VALMORE, TRISTESSE, LES PLEURS (1830)
26 L’invisible sentier qu’on ne remonte pas,
28 Qui m’aimait imparfaite et me grondait si bas ?
Marceline DESBORDES-VALMORE, LE MAL DU PAYS, LES PLEURS (1830)
77 Et mon cœur s’apprennent tout bas,
80 Et ce mot, je ne l’entends pas.
Marceline DESBORDES-VALMORE, À M. ALPHONSE DE LAMARTINE, LES PLEURS (1830)
21 Ce que j’ai ressenti tout bas
24 Pour que Dieu ne me venge pas !
Marceline DESBORDES-VALMORE, LA MÉMOIRE, LES PLEURS (1830)
21 — « Là-bas ! » répond Agar. — « Oh ! que c’est loin, là-bas,
24 Comme un linceul mouvant où se traînent leurs pas.
Marceline DESBORDES-VALMORE, AGAR - FRAGMENT, LES PLEURS (1830)
1 « Ô mes enfants ! ne dansez pas.
3 Tous vos frères meurent là-bas,
Marceline DESBORDES-VALMORE, LE VIEUX PÂTRE, LES PLEURS (1830)
7 Ô mon ange ! ne tremble pas !
8 Viens verser un secret, tout bas,
Marceline DESBORDES-VALMORE, LE CRIEUR DE NUIT, LES PLEURS (1830)
34 Où l’on chante plus bas ;
36 Je sens frémir les pas !
Marceline DESBORDES-VALMORE, IMITATION DE MOORE - TROIS NOCTURNES, LES PLEURS (1830)
7 Élevant ses bouquets, ses volans, et là-bas,
8 Les jeux qui m'attendaient et ne commençaient pas ;
Marceline DESBORDES-VALMORE, JOURS D'ÉTÉ, BOUQUETS ET PRIÈRES (1843)
15 Me répétait en vain toute grave et tout bas :
16 « Vois donc : je suis heureuse, et je ne danse pas. »
Marceline DESBORDES-VALMORE, JOURS D'ÉTÉ, BOUQUETS ET PRIÈRES (1843)
34 Oh ! n'allez pas,
36 Chercher en bas :
Marceline DESBORDES-VALMORE, ÂME ET JEUNESSE, BOUQUETS ET PRIÈRES (1843)
45 Il faut que je pleure trop bas.
46 Puisque le ciel né m'entend pas.
Marceline DESBORDES-VALMORE, CROYANCE POPULAIRE, BOUQUETS ET PRIÈRES (1843)
61 Que les vierges n'entendent pas
62 Le démon soupirer tout bas :
Marceline DESBORDES-VALMORE, CROYANCE POPULAIRE, BOUQUETS ET PRIÈRES (1843)
23 Les nuits qui chantaient tout bas ;
26 Que mes sœurs ne brisent pas.
Marceline DESBORDES-VALMORE, ROUEN, BOUQUETS ET PRIÈRES (1843)
20 Dit-il assez ce que j'entends tout bas ?
22 Premier amour, vous ne mourez donc pas !
Marceline DESBORDES-VALMORE, UN PRÉSAGE, BOUQUETS ET PRIÈRES (1843)
39 Ici-bas,
41 La fange des ruisseaux qui consterne mes pas ;
42 Et la foule déserte, où tu ne descends pas !
Marceline DESBORDES-VALMORE, L'ENFANT ET LA FOI, BOUQUETS ET PRIÈRES (1843)
44 Sincère, elle t’appelle, et tu ne l’entends pas !
45 Ah ! sans t’avoir troublé qu’elle meure tout bas !
Marceline DESBORDES-VALMORE, ÉLÉGIE, POÉSIES (1830)
39 Pauvre âme ! où t'en vas-tu, qui ne te souviens pas
40 De ton aile blessée et traînante ici-bas.
Marceline DESBORDES-VALMORE, UNE HALTE SUR LE SIMPLON, BOUQUETS ET PRIÈRES (1843)
26 Les canons ne s'entendent pas
28 Riaient et s'entr'aimaient en bas.
Marceline DESBORDES-VALMORE, UN ARC DE TRIOMPHE, BOUQUETS ET PRIÈRES (1843)
5 Qu'on donne aux anges d'ici-bas ;
6 Vous en aurez ; ne criez pas.
Marceline DESBORDES-VALMORE, L'ENFANT BÉNI, BOUQUETS ET PRIÈRES (1843)
13 Non, rossignol, je ne dors pas,
16 C'est que je vous réponds tout bas :
Marceline DESBORDES-VALMORE, LE ROSSIGNOL ET LA RECLUSE, BOUQUETS ET PRIÈRES (1843)
7 J'ai risqué mon cœur ici-bas
9 J'ai perdu mon cœur et mes pas ;
10 L'espérance ne m'aime pas !
Marceline DESBORDES-VALMORE, LE LIVRE DE PRIÈRE, BOUQUETS ET PRIÈRES (1843)
26 Charmante, nous disait tout bas :
28 Allons vers Dieu, qui ne meurt pas ! »
Marceline DESBORDES-VALMORE, LES AMITIÉS DE LA JEUNESSE, BOUQUETS ET PRIÈRES (1843)
54 Les lumières ne tremblaient pas,
56 S'entre-détruire comme en bas.
Marceline DESBORDES-VALMORE, LES AMITIÉS DE LA JEUNESSE, BOUQUETS ET PRIÈRES (1843)
3 La terre tourne et travaille tout bas ;
4 Et mon fuseau pourtant ne tourne pas !
Marceline DESBORDES-VALMORE, FILEUSE, BOUQUETS ET PRIÈRES (1843)
10 Bien que, là bas,
12 Errer tes pas.
Marceline DESBORDES-VALMORE, UNE LETTRE DE FEMME, POÉSIES INÉDITES (1860)
26 Dans votre prière, tout bas,
29 Dans vos discours n’en parlez pas !
30 Devant Dieu pensez y tout bas.
Marceline DESBORDES-VALMORE, ALLEZ EN PAIX, POÉSIES INÉDITES (1860)
26 Qui troublez nos pas.
28 Dites-vous, tout bas :
Marceline DESBORDES-VALMORE, L’IMAGE DANS L’EAU, POÉSIES INÉDITES (1860)
15 À ses doutes railleurs je répondais trop bas
16 Prouve-t-on que l’on souffre à qui ne souffre pas ?
Marceline DESBORDES-VALMORE, L’AMI D’ENFANCE, POÉSIES INÉDITES (1860)
3 A dit ces mots qui m’atteignaient tout bas :
4 « Vous qui savez aimer, ne m’aimez pas !
Marceline DESBORDES-VALMORE, TROP TARD, POÉSIES INÉDITES (1860)
10 « Ses fers jamais n’entraveront mes pas. »
13 N’a-t-elle dit, moins flatteuse et moins bas :
14 « Vous qui savez aimer, ne m’aimez pas !
Marceline DESBORDES-VALMORE, TROP TARD, POÉSIES INÉDITES (1860)
20 « Mon sort qui brille égarerait vos pas. »
23 Il dit trop tard, ou bien il dit trop bas :
24 « Vous qui savez aimer, ne m’aimez pas ! »
Marceline DESBORDES-VALMORE, TROP TARD, POÉSIES INÉDITES (1860)
18 Je le jurais tout bas.
20 Moi, je ne mentais pas.
Marceline DESBORDES-VALMORE, POURQUOI ?, POÉSIES INÉDITES (1860)
59 Quand pour nous le donner elle cherchait là-bas
60 Un bonheur attardé qui ne revenait pas.
Marceline DESBORDES-VALMORE, UN RUISSEAU DE LA SCARPE, POÉSIES INÉDITES (1860)
49 Sans l’arrêter au bruit qui filtre sous tes pas
50 Pour écouler un peu ce qu’il chante tout bas.
Marceline DESBORDES-VALMORE, LE PUITS DE NOTRE DAME À DOUAI, POÉSIES INÉDITES (1860)
25 Pourquoi donc nous chercher, nous qui ne dansons pas ?
26 Pourquoi nous écouter, nous qui parlons tout bas ?
Marceline DESBORDES-VALMORE, LAISSE-NOUS PLEURER, POÉSIES INÉDITES (1860)
91 Sans piquer son front vos abeilles, là-bas.
92 L’instruiront, rêveuse, à mesurer ses pas ;
Marceline DESBORDES-VALMORE, RÊVE INTERMITTENT D’UNE NUIT TRISTE, POÉSIES INÉDITES (1860)
43 Il n’est plus de pas sur mes pas,
44 Ni d’âme qui me parle bas.
Marceline DESBORDES-VALMORE, RETOUR DANS UNE ÉGLISE, POÉSIES INÉDITES (1860)
35 Non, Seigneur ! sa beauté, si touchante ici-bas,
36 De votre paradis vous ne l’exilez pas !
Marceline DESBORDES-VALMORE, QUAND JE PENSE À MA MÈRE, POÉSIES INÉDITES (1860)
10 Salut ! vous qui cachez vos ailes ici-bas :
12 Que de cendre et de boue ont entravé vos pas !
Marceline DESBORDES-VALMORE, LES PRISONS ET LES PRIÈRES, POÉSIES INÉDITES (1860)
51 On va de porte en porte en chuchotant tout bas :
52 «Elle a gâté son fruit, ne la saluons pas ! »
Marceline DESBORDES-VALMORE, LE PETIT MÉCONTENT, POÉSIES INÉDITES (1860)
14 Que nous voyons errer là-bas ;
15 Nous voulons un guide à ses pas,
Marceline DESBORDES-VALMORE, LA PRIÈRE DES ORPHELINS, POÉSIES INÉDITES (1860)
10 Sans faire un pas,
12 De haut en bas,
Marceline DESBORDES-VALMORE, L’ENFANT AU MIROIR, POÉSIES INÉDITES (1860)
44 Nous redirions notre pas
46 Chantons et valsons tout bas.
48 C’est enchanteur, n’est ce pas !…
Marceline DESBORDES-VALMORE, LA JEUNE PENSIONNAIRE, POÉSIES INÉDITES (1860)
6 Vers la prison qu’il sent là-bas
8 Pour le chien qui ne nous mord pas !
Marceline DESBORDES-VALMORE, LE CHIEN ET L’ENFANT, POÉSIES INÉDITES (1860)
14 À qui donc se plaint-il tout bas ?
16 Pour le chien qui ne nous mord pas.
Marceline DESBORDES-VALMORE, LE CHIEN ET L’ENFANT, POÉSIES INÉDITES (1860)
3 Elle monte, elle monte, et ne se souvient pas
4 De son aile blessée et traînante ici bas.
Marceline DESBORDES-VALMORE, MADAME HENRIETTE FAVIER, POÉSIES INÉDITES (1860)
11 On aspire à l’atteindre et l’on ne voudrait pas.
12 Elle montant si haut, l’admirer de trop bas.
Marceline DESBORDES-VALMORE, MADAME HENRIETTE FAVIER, POÉSIES INÉDITES (1860)
2 Quand je cherche des pas à l’entour de mes pas,
3 Quand j’écoute attentive, et que je dis tout bas :
Marceline DESBORDES-VALMORE, L’AMIE, POÉSIES INÉDITES (1860)
2 Le cercle fuit et s’agrandit là-bas ;
4 On vous attend : ne valserez-vous pas ?
Marceline DESBORDES-VALMORE, INVITATION À LA VALSE, POÉSIES INÉDITES (1860)
10 Le cercle fuit et s’agrandit là-bas ;
12 On vous attend : ne valserez-vous pas ?
Marceline DESBORDES-VALMORE, INVITATION À LA VALSE, POÉSIES INÉDITES (1860)
18 Le cercle fuit et s’agrandit là-bas ;
20 On vous attend : ne valserez-vous pas ?
Marceline DESBORDES-VALMORE, INVITATION À LA VALSE, POÉSIES INÉDITES (1860)
26 Le cercle fuit et s’agrandit là-bas ;
28 On vous attend : ne valserez-vous pas ?
Marceline DESBORDES-VALMORE, INVITATION À LA VALSE, POÉSIES INÉDITES (1860)
6 Se reparlent tout bas,
8 Qu’il ne réunit pas !
Marceline DESBORDES-VALMORE, LALY GALINE SEULE, POÉSIES INÉDITES (1860)
25 Allons ! viens ! tu n’en finis pas !
26 Viens ! Tout le monde court là-bas
Marceline DESBORDES-VALMORE, LES DEUX MARINIÈRES, POÉSIES INÉDITES (1860)
10 Qui priez là-bas,
12 Ne m’accusez pas !
Marceline DESBORDES-VALMORE, UN DÉSERTEUR, POÉSIES INÉDITES (1860)
22 Qui priez là-bas,
24 Ne pleuriez-vous pas ?
Marceline DESBORDES-VALMORE, UN DÉSERTEUR, POÉSIES INÉDITES (1860)
34 Qui priez là-bas,
36 N’appeliez-vous pas ?
Marceline DESBORDES-VALMORE, UN DÉSERTEUR, POÉSIES INÉDITES (1860)
46 Qui priez là-bas
48 N’attendiez-vous pas ?
Marceline DESBORDES-VALMORE, UN DÉSERTEUR, POÉSIES INÉDITES (1860)
58 Qui priez là-bas.
60 N’y pensiez-vous pas ?
Marceline DESBORDES-VALMORE, UN DÉSERTEUR, POÉSIES INÉDITES (1860)
70 Qui priez là-bas,
72 Ne m’attendez pas !
Marceline DESBORDES-VALMORE, UN DÉSERTEUR, POÉSIES INÉDITES (1860)
82 Qui priez là-bas,
84 Ne m’oubliez pas !
Marceline DESBORDES-VALMORE, UN DÉSERTEUR, POÉSIES INÉDITES (1860)
27 Épiant les cris sourds qui ne s’entendent pas.
28 J’en remplirais mon cœur pour les crier là-bas !
Marceline DESBORDES-VALMORE, PRIÈRE, POÉSIES INÉDITES (1860)
3 C’est ma voix qui te nomme et t’accuse tout bas ;
4 C’est l’Amour qui t’appelle, et tu ne l’entends pas !
Marceline DESBORDES-VALMORE, LA NUIT, POÉSIES (1830)
34 Où donc étais-je alors ?… — Attends… je ne sais pas
36 — Tu me laissais pleurer ? —Je t’appelais tout bas.
Marceline DESBORDES-VALMORE, LE RÊVE DE MON ENFANT, POÉSIES (1830)
13 Avec des cris d’amour nous arrêtions ses pas ;
16 Et nous rompions sa chaîne, et nous parlions plus bas.
Marceline DESBORDES-VALMORE, LA GUIRLANDE DE ROSE-MARIE, POÉSIES (1830)
2 Je crois te voir et te parler tout bas ;
4 Tout est tranquille, et mon cœur ne l’est pas,
Marceline DESBORDES-VALMORE, LE BILLET, POÉSIES (1830)
555 Prussiens et Badois courbent leur dos bien bas ;
556 Bavarois et Saxons s'inclinent sous ses pas.
Charles DIGUET, L'ÉPOPÉE PRUSSIENNE, L'ÉPOPÉE PRUSSIENNE (1871)
9 Nos âmes ! Vous n'entrerez pas
10 Ranger là-bas
Lucie DELARUE-MARDRUS, POUR D'AUCUNS, OCCIDENT (1901)
15 Il lui dit sa chanson tout bas ;
18 Si bébé ne s'endormait pas.
Lucie DELARUE-MARDRUS, BERCEUSE PUÉRILE, OCCIDENT (1901)
13 Bête vivante, enfant dont on n'accouche pas,
16 Du sang intérieur courant de haut en bas,
Lucie DELARUE-MARDRUS, A mon Cœur, CHOIX DE POÈMES (1951)
6 On ne le communique pas.
7 Apprends donc à souffrir tout bas
Lucie DELARUE-MARDRUS, Souffrir, CHOIX DE POÈMES (1951)
2 Et s'en va rechercher dans l'oubli, tout là-bas,
4 — O temps ensevelis qui ne reviendront pas !
Lucie DELARUE-MARDRUS, Morts, CHOIX DE POÈMES (1951)
100 Elle parle ! elle dit d'étranges mots tout bas,
101 D'un langage oublié que l'on ne comprend pas.
Lucie DELARUE-MARDRUS, La Prêtresse de Tanit, LA PRÊTRESSE DE TANIT (1907)
172 Même les plus armés ne lui résistent pas.
173 Les villes de l'Afrique ont mis leurs murs à bas
Lucie DELARUE-MARDRUS, La Prêtresse de Tanit, LA PRÊTRESSE DE TANIT (1907)
395 Puis d'autres… ↩ Qu'a-t-il vu que nous ne voyons pas ?
396 Il tremble, il joint les mains, il murmure tout bas,
Lucie DELARUE-MARDRUS, La Prêtresse de Tanit, LA PRÊTRESSE DE TANIT (1907)
2 Son petit cœur profond qui ne s'explique pas ;
4 Elle sent, elle écoute, et regarde tout bas.
Lucie DELARUE-MARDRUS, "L'enfance gardera le secret de ses songes,", OCCIDENT (1901)
42 Nous ne comprenons point ce que fixent là-bas,
45 Ces pierres que tu dis et que l'on ne voit pas.
Lucie DELARUE-MARDRUS, LE POÈME DE L'ÉTERNELLE ÉGLISE, FERVEUR (1902)
3 Un Océan invers qui ne déferle pas.
5 Claire, dans le filet d'un nuage ample et bas ;
Lucie DELARUE-MARDRUS, CURIEUSEMENT, FERVEUR (1902)
6 Dans le tendre présent et ne s'échappe pas,
7 Vagabonde, vers un octobre de là-bas,
Lucie DELARUE-MARDRUS, A LA VITRE, FERVEUR (1902)
10 N'écoute pas. Ne sache pas. Ne veuille pas.
11 Toute l'enfance est encore là-bas,
Lucie DELARUE-MARDRUS, LA VAILLANCE, HORIZONS (1905)
26 Je ne vous connais pas, je ne vous aime pas,
27 Je n'ai rien su de vous que d'amer ou de bas ;
Lucie DELARUE-MARDRUS, AUX QUITTÉS, LA FIGURE DE PROUE (1908)
13 Ceux qui ne m'aiment pas ne me connaissent pas,
16 Mais de mon propre vin je m'enivre tout bas.
Lucie DELARUE-MARDRUS, PRINTEMPS D'ORIENT, LA FIGURE DE PROUE (1908)
6 Et voici que le soir met mon orgueil à bas.
7 Je chercherai toujours et ne comprendrai pas
Lucie DELARUE-MARDRUS, CAVALIER TACITURNE, LA FIGURE DE PROUE (1908)
9 O prés ! O ville ! O terre où sont mes anciens pas,
12 Que j’ai marqué mes pieds sur d’autres sols, là-bas.
Lucie DELARUE-MARDRUS, HÉSITATION, LA FIGURE DE PROUE (1908)
30 Et mon cœur défaillait, et je songeais tout bas :
32 Car ils ne veulent pas, car ils ne savent pas… »
Lucie DELARUE-MARDRUS, MUSIQUE, LA FIGURE DE PROUE (1908)
2 Dont le drame profond se déroule tout bas.
4 Toute âme est un secret qui ne se livre pas.
Lucie DELARUE-MARDRUS, LA SPHINGE, OCCIDENT (1901)
38 Parmi les choses d'ici-bas,
39 Il est plus d'inconnu dont on n'approche pas
Lucie DELARUE-MARDRUS, CHANT DE LA PASSION, PAR VENTS ET MARÉES (1910)
8 Un minaret, à chaque pas,
9 Parmi les quartiers hauts et bas,
Lucie DELARUE-MARDRUS, CONSTANTINOPLE, PAR VENTS ET MARÉES (1910)
135 Clame ton impuissance ou prie humble et tout bas,
136 Le muet Infini ne te répondra pas.
Lucie DELARUE-MARDRUS, LE POÈME DE LA VIE ET DE LA MORT, OCCIDENT (1901)
147 Seconde mort à qui nul n'échappe ici-bas.
148 Mais, où ton âme ira, tu ne le sauras pas.
Lucie DELARUE-MARDRUS, LE POÈME DE LA VIE ET DE LA MORT, OCCIDENT (1901)
9 Le cimetière proche et visible est en bas.
11 Taisons-nous… Écoutons… Guettons…. On ne sait pas.
Lucie DELARUE-MARDRUS, TEMPÊTE, PAR VENTS ET MARÉES (1910)
10 Des feuilles craquent sous nos pas ;
12 Songe à la mort. ‒ Voici le cimetière en bas.
Lucie DELARUE-MARDRUS, SIGNES, PAR VENTS ET MARÉES (1910)
6 Si je n'aperçois point la trace de tes pas,
8 Et tu dois m'attendre là-bas.
Lucie DELARUE-MARDRUS, TOMBEAU, SOUFFLES DE TEMPÊTE (1918)
7 Mes frères et mes sœurs, où sont-ils, ici-bas ?
8 Je ne sais pas… Je ne sais pas
Lucie DELARUE-MARDRUS, TOURMENT, SOUFFLES DE TEMPÊTE (1918)
9 Je ne vous en veux même pas
12 Pour souffrir des souffles d'en bas.
Lucie DELARUE-MARDRUS, AUX ANONYMES, SOUFFLES DE TEMPÊTE (1918)
10 Est tour à tour si haut, si bas
11 Vous tous qui ne comprenez pas,
Lucie DELARUE-MARDRUS, JE NE COMPRENDS PAS…, SOUFFLES DE TEMPÊTE (1918)
13 Moi, c'est de l'inconnu que l'on ne touche pas,
16 Mais non point ce qui vient d'en bas !
Lucie DELARUE-MARDRUS, POUR EUX ET POUR ELLES, SOUFFLES DE TEMPÊTE (1918)
22 Pourtant la joie en vous ne ressuscite pas.
23 Chrétiens, comme vos fronts sont bas !
Lucie DELARUE-MARDRUS, TÉNÈBRES, SOUFFLES DE TEMPÊTE (1918)
38 Vertigineusement en bas,
40 Et que vous ne périrez pas,
Lucie DELARUE-MARDRUS, IN EXCELSIS, SOUFFLES DE TEMPÊTE (1918)
13 Nous faut-il ainsi, pas à pas,
14 Te mener vers la terre où l'on descend si bas ?
17 Et nous ne te sauverons pas.
Lucie DELARUE-MARDRUS, LES FUNÉRAILLES, A MAMAN (1920)
14 Oui, je la rappelle tout bas,
15 Celle qu'on ne remplace pas,
Lucie DELARUE-MARDRUS, FANTÔME, A MAMAN (1920)
10 Voix dans la brume, voix que l'on n'écoute pas,
11 Dans laquelle sanglote en quadrilles, là-bas,
Lucie DELARUE-MARDRUS, BRUME, OCCIDENT (1901)
2 Et pourtant on ne le voit pas.
4 Rien n'arrête son branle-bas.
Lucie DELARUE-MARDRUS, Le Vent, POÈMES MIGNONS (1929)
22 Ils auront des hauts et des bas
24 Heureux, ils ne s'en doutent pas.
Lucie DELARUE-MARDRUS, Petit Bateaux, POÈMES MIGNONS (1929)
13 Bête vivante, enfant dont on n'accouche pas,
16 Du sang intérieur courant de haut en bas,
Lucie DELARUE-MARDRUS, A MON CŒUR, LES SEPT DOULEURS D'OCTOBRE (1930)
6 Ici, lai mer qu'on ne voit pas,
8 Semble devoir toujours, toujours rester là-bas
11 Étend un firmament de nacre sous les pas.
Lucie DELARUE-MARDRUS, FINALEMENT, LES SEPT DOULEURS D'OCTOBRE (1930)
17 — Non, nous ne les oublions pas.
19 Au fond de leur terre là-bas,
Lucie DELARUE-MARDRUS, OUBLI, MORT ET PRINTEMPS (1932)
22 Pour être étrangère ici-bas.
24 Rêver toujours,ne vivre pas.
Lucie DELARUE-MARDRUS, SOUVENIRS, MORT ET PRINTEMPS (1932)
19 La chimère qu'on a tout bas
20 Et qu'on ne réalise pas.
Lucie DELARUE-MARDRUS, LA CHIMÈRE, MORT ET PRINTEMPS (1932)
69 Je marche sur du jour. Plus de sol sous mes pas.
72 Mais non ! Rien que lumière ici, en haut, en bas.
Lucie DELARUE-MARDRUS, AU DELÀ, MORT ET PRINTEMPS (1932)
9 Il faut passer le temps. Nous sommes d'ici-bas.
12 Écrit dans un parler que l'on ne comprend pas.
Lucie DELARUE-MARDRUS, LE GRIMOIRE, MORT ET PRINTEMPS (1932)
29 Et rien ! tu ne reviendra pas,
32 Dans on ne ait quel grand là-bas.
Lucie DELARUE-MARDRUS, III - "Je te disais, lorsque vivante,", MORT ET PRINTEMPS (1932)
21 « Mais qu'importent l'embûche et la nuit sous nos pas,
23 Ah ! Si l'amour nous reste et nous guide ici-bas,
Léon DIERX, La Vision d’Ève, POÈMES ET POÉSIES (1864)
101 S'il est fait du malheur d'un autre, n'est-ce pas
103 « Et je riais de voir que tout fruit mûr, là-bas,
Léon DIERX, L’Épreuve, POÈMES ET POÉSIES (1864)
63 Tout parle autour de moi, mais je ne comprends pas
64 Ces langages divers si confus et si bas.
Alfred de ESSARTS, XI - LE JOURNAL DE FIRMIN, LA COMÉDIE DU MONDE (1851)
295 C'est un emploi brillant. ↩ — Monsieur, ne raillez pas.
296 On verrait qui de nous descendrait le plus bas
Alfred de ESSARTS, XIV - UN SOUPER-RÉGENCE, LA COMÉDIE DU MONDE (1851)
143 Le docteur du pays venait à quelques pas.
144 Ils entrèrent tous deux, mornes et parlant bas.
Alfred de ESSARTS, XVII - LE SECRET DE ZACHARIE, LA COMÉDIE DU MONDE (1851)
359 L'harmonie est la loi du bonheur ici-bas.
360 La prudence parlait, je ne l' écoutai pas ;
Alfred de ESSARTS, XVII - LE SECRET DE ZACHARIE, LA COMÉDIE DU MONDE (1851)
19 Nul sans s'extasier n'y pouvait faire un pas .
20 Hope même et Rothschild applaudissaient tout bas.
Alfred de ESSARTS, I - UN BAL DU GRAND MONDE, LA COMÉDIE DU MONDE (1851)
31 L’an dernier, j’ai tout bas
33 Qu’il ne prévoyait pas !
Alfred de ESSARTS, MATHIEU., CAGOTISME ET LIBERTÉ OU LES DEUX SEMESTRES (1830)
29 Que le plaisir même, ici bas,
30 Sans le travail ne s'obtient pas.
DESROYS, LA GÉOMÉTRIE EN VERS TECHNIQUES., LA GÉOMÉTRIE EN VERS TECHNIQUES (1801)
9 Pas de fanfares !… sur leurs pas
11 Ils semblaient se dire tout bas :
Alexandre DUCROS, Ils sont entrés !!!…, Les Étrivières (1867-1885)
28 Sois toujours bon, mais ne sois pas
30 Tu trouverais devant tes pas,
31 Beaucoup d'exploiteurs ici-bas,
Alexandre DUCROS, A mon Petit-Neveu (Marcel Challier-Ducros), Les Étrivières (1867-1885)
79 Ma seule amie ici-bas,
81 Et souvent raffermit mes pas,
Alexandre DUCROS, LA CHARITÉ, Les Capricieuses (1854)
15 Avec un goût douteux qu'on ne trouverait pas,
16 Même dans les bas-fonds des bouges les plus bas.
Alexandre DUCROS, La Sifflétéide(1), Les Étrivières (1867-1885)
29 Dieu lui répond : — « Venir là-bas ?
31 A mon fils j'ai cédé le pas,
Alexandre DUCROS, Le Pape n'est pas content !, Les Étrivières (1867-1885)
66 Comme tu riais d'eux, tout bas !
68 Ils ne te pardonneront pas.
Alexandre DUCROS, Nous avons la Guerre !!!, Les Étrivières (1867-1885)
69 Six mois après Sedan, on se disait tout bas
70 Qu'un régiment français, à Paris, à deux pas
Henri DUNESME, LE 88e DE LIGNE, LES DEUX REVANCHES ET LE 88e DE LIGNE (1872)
18 Qui écrit sur un tambour dans les Pays-Bas ;
20 Et qui passent leur mort à écouter nos pas ;
Fernand FLEURET, LA VIEILLE CHANSON, Friperies (1907)
10 Mais, qu'importe ton nom ? Je ne le saurais pas !
11 Tu serais l'Inconnue Étrange, de Là-Bas,
Fernand FLEURET, FIANÇAILLES, Friperies (1907)
66 Vous devez devant nous vous incliner bien bas,
68 Car nous avons du cœur et vous n'en avez pas !…
Félix FRANK, LA HORDE ALLEMANDE, LA HORDE ALLEMANDE (1870)
10 Regarderont le Ciel, qui ne les venge pas,
12 Et les bourreaux — craintifs — diront, parlant tout bas :
Félix FRANK, LA REVANCHE, CHANTS DE COLÈRE (1871)
30 Et le mors redouté qui te tient le front bas ;
32 Et que tu n’y survives pas,
Félix FRANK, L’HOMME DES RASTELLS, CHANTS DE COLÈRE (1871)
51 « Je souffre, mais je ne meurs pas !
53 Dans ma nuit je rêvais tout bas
Félix FRANK, LE RÉVEIL DE LA MUSE, CHANTS DE COLÈRE (1871)
81 Tant de bienfaits aussi ne se pardonnent pas !
84 Interprète les vœux qu'elles formaient tout bas
Fs. F., LE CRI D'ALARME - HOMMAGE A LA FRANCE EN DEUIL, LE CRI D'ALARME (1871)
15 Vous les entendez geindre et chuchoter tout bas.
18 Derrière votre pas suscite un autre pas.
Théophile GAUTIER, LE SOMMET DE LA TOUR, La comédie de la mort (1838)
62 Saluez plutôt chapeau bas
64 Qu'Homère n'inventerait pas.
Théophile GAUTIER, VIEUX DE LA VIEILLE - 15 DÉCEMBRE, ÉMAUX ET CAMÉES (1872)
22 — Le tonnerre rugit en bas,
24 Le torrent hurle : — il n'entend pas ;
Théophile GAUTIER, JUSTIFICATION, POÉSIES (1833)
15 Vous les entendez geindre et chuchoter tout bas.
18 Derrière votre pas suscite un autre pas.
Théophile GAUTIER, LE SOMMET DE LA TOUR, POÉSIES DIVERSES, 1833-1838 (1833-1838)
51 A genoux, chapeau bas !
54 «Dieu ! ne l'éveillez pas
Théophile GAUTIER, II - AUX MANES DE L'EMPEREUR, POÉSIES NOUVELLES, POÉSIES INÉDITES ET POÉSIES POSTHUMES (1831-1872)
441 Que l'on n'aperçoit pas.
444 Échevelée au bas.
Théophile GAUTIER, LA COMÉDIE DE LA MORT, La comédie de la mort (1838)
933 A chercher ici-bas,
936 Ne le sauriez-vous pas ?
Théophile GAUTIER, LA COMÉDIE DE LA MORT, La comédie de la mort (1838)
22 J'hésite à simuler ce geste il est trop bas.
23 On vous l'a souvent fait, d'ailleurs je ne peux pas :
Théophile GAUTIER, L'inestimable sceau, Poèmes et chansons (1993)
46 Le dire, tellement c'est bas,
48 Par bonheur ils n'en avaient pas !
Théophile GAUTIER, Hécatombe, Poèmes et chansons (1993)
95 Par qui facilement tout s'explique ici-bas !…
96 L'homme créé par Vous, seul ne vous aime pas !!!…
J.-F. GISCLARD, LE FLÉAU DE LA GUERRE, LE FLÉAU DE LA GUERRE (1871)
35 » Je m'assieds, sanglotant tout bas,
38 » Oh ! non, je ne chanterai pas !
Émile GRIMAUD, A VICTOR DE LAPRADE, REVUE DE BRETAGNE ET DE VENDÉE (1870)
16 Plus corrompu que nous, le siècle n’aime pas
18 Et qu’on dise tout haut ce qu’il pense tout bas.
Edmond HARAUCOURT, À GASTON BÉTHUNE, L’Âme nue (1885)
12 Et l’on entend, du fond des vieux passés, là-bas,
14 Les lointaines douleurs crier : « Je ne dors pas ! »
Edmond HARAUCOURT, CRI DU COQ, L’Âme nue (1885)
57 Et Je compte tout bas ;
60 Que je ne souffre pas.
Edmond HARAUCOURT, LES GIBETS, L’Âme nue (1885)
16 Plus corrompu que nous, le siècle n’aime pas
18 Et qu’on dise tout haut ce qu’il pense tout bas ;
Edmond HARAUCOURT, ENVOI, La Légende des Sexes (1882)
45 « J’arrive, attendez-moi : car j’étouffe ici-bas ;
48 Et la terre ne m’entend pas.
Edmond HARAUCOURT, CHANSON À BOIRE, L’Âme nue (1885)
5 Les hommes, pères, fils, maris, amants, là-bas,
8 Que de hardis pêcheurs qui ne reviendront pas !
José-Maria de HEREDIA, Maris Stella, Les Trophées (1893)
15 Qu'il dédouble l'azur, ce bel astre d'en bas,
18 Mais ne la trouble pas !
Gaston HEUX, Pressentiments, L'INITIATION DOULOUREUSE (1924)
95 Mais, quand je serai morte, absolvez-moi tout bas
96 Et ne m'enfermez pas !
Henriette HERVÉ, LORSQUE JE SERAI MORTE, DILECTION (1925)
2 Parce que je n'écoute pas !
4 De celles que vous dites bas !
Henriette HERVÉ, O BOCCA, BOCCA BELLA !, DILECTION (1925)
1211 « Dans le temple, les bœufs d'airain firent un pas,
1212 « Le voile se fendit en deux du haut en bas.
Victor HUGO, LE GIBET III, La Fin de Satan (1886)
115 Quelqu'un que l'on ne voit pas
116 Est là-bas
Victor HUGO, CHANSON DES OISEAUX, La Fin de Satan (1886)
2 Succède. La nuit fait un pas.
4 Les arbres se parlent tout bas.
Victor HUGO, XXXIV - NUIT, TOUTE LA LYRE (1888-1893)
3 Tout, la haine et le deuil ! — Et ne m'objectez pas
4 Que vos amis sont sûrs et que vous parlez bas… —
Victor HUGO, XXI - "Jeunes gens, prenez garde aux choses que vous dites.", TOUTE LA LYRE (1888-1893)
5 Dieu leur ouvre, l'oreille et leur parle tout bas.
6 Il leur dit ce qu'il faut qu'ils sachent de quel pas
Victor HUGO, IX - "Aux heures où le ciel est noir, où l'astre est clair,", TOUTE LA LYRE (1888-1893)
13 Hélas, c'est la première énigme qu'ici-bas
14 L'homme ne comprend pas et ne devine pas ;
Victor HUGO, XXXII - SOUFFRE, Ô PRÉCURSEURS !, TOUTE LA LYRE (1888-1893)
1 Alors elle me dit : Pourquoi n'avez-vous pas
2 Parlé plus tôt ? Et moi je répondis tout bas :
Victor HUGO, XXVI - DANS UN VIEUX CLOÎTRE, TOUTE LA LYRE (1888-1893)
18 Disaient tout bas :
20 Ne t'en va pas !
Victor HUGO, XLIX - "Garde à jamais dans ta mémoire,", TOUTE LA LYRE (1888-1893)
1 Ô princes insensés ! quoi ! ne tremblent-ils pas
2 D'ouvrir la porte eux-même aux colères d'en bas !
Victor HUGO, XXIII - "Ô princes insensés ! quoi ! ne tremblent-ils pas", TOUTE LA LYRE (1888-1893)
3910 L'infini ne sait point ce qu'on murmure en bas ;
3911 Moi, j'écoute et j'entends. Shiva dit : — Dieu n'est pas,
Victor HUGO, "Et je voyais au loin sur ma tête un point noir.", DIEU (1855)
2 Les astres vivent seuls ; quant aux âmes d'en bas,
3 Ces grands isolements ne leur conviennent pas.
Victor HUGO, XLI - "Au fond du ciel serein, âmes supérieures,", DERNIÈRE GERBE (1902)
19 Mais non, ces visions ne te poursuivaient pas.
20 Il suffit pour pleurer de songer qu'ici-bas
Victor HUGO, XVII - "Oh ! pourquoi te cacher ? Tu pleurais seule ici.", Les feuilles d'automne (1831)
43 Pendent sur ton chemin, car le riche ici-bas
44 A tout, hormis l'honneur qui ne s'achète pas !
Victor HUGO, X - À L'HOMME QUI A LIVRÉ UNE FEMME, Les Chants du Crépuscule (1835)
45 Hélas ! je vous le dis, ne vous endormez pas,
46 Tandis que l'avenir s'amoncèle là-bas !
Victor HUGO, XV - CONSEIL, Les Chants du Crépuscule (1835)
2 L'état semblait fragile et faux s'il n'avait pas
3 Le porte-sceptre en haut, le coupe-tête en bas ;
Victor HUGO, F° 81 - ".....", OCÉAN VERS (complément) (1902)
30 Mets ton rêve ailleurs qu'ici-bas !
32 Ton sentier n'est point sous nos pas !
Victor HUGO, XXIX - "Puisque nos heures sont remplies", Les Chants du Crépuscule (1835)
169 Psaume immense et sans fin que ne traduiraient pas
170 Tous les mots fourmillants des langues d'ici-bas,
Victor HUGO, XXXII - À LOUIS B…, Les Chants du Crépuscule (1835)
209 » Qu'importe que la vie, inégale ici-bas
211 » Se dérobe et soit prête à rompre sous vos pas ?
Victor HUGO, XXXIII - DANS L'ÉGLISE DE ***, Les Chants du Crépuscule (1835)
29 Aussi vous me voyez souvent parlant tout bas ;
32 On dirait que j'attends quelqu'un qui n'ouvre pas.
Victor HUGO, XXXVIII - QUE NOUS AVONS LE DOUTE EN NOUS, Les Chants du Crépuscule (1835)
225 « Ne me console point et ne t'afflige pas.
227 Je ne regarde point le monde d'ici-bas,
Victor HUGO, XXX - À OLYMPIO, LES VOIX INTÉRIEURES (1837)
97 Ce que la foule n'entend pas.
100 Rit tout haut et songe tout bas !
Victor HUGO, I - FONCTION DU POÈTE, Les Rayons et les Ombres (1840)
5 Quant au destin, n'y songez pas.
7 Hélas ! que fait l'homme ici-bas ?
Victor HUGO, IX - À MADEMOISELLE FANNY DE P., Les Rayons et les Ombres (1840)
49 Le mot caché ne change pas.
51 Il y chante ou gémit tout bas ;
Victor HUGO, XXVI - MILLE CHEMINS, UN SEUL BUT, Les Rayons et les Ombres (1840)
122 Voir nos ombres flotter où marchèrent nos pas,
124 Vers quelque source en pleurs qui sanglote tout bas ?
Victor HUGO, XXXIV - TRISTESSE D'OLYMPIO, Les Rayons et les Ombres (1840)
25 « Sans loi, sans but, sans guide, ils errent ici-bas.
26 Ils sont méchants étant ignorants ; ils n'ont pas
Victor HUGO, VIII - À UN MARTYR, CHÂTIMENTS (1853)
47 Nous nous taisions, debout et graves, chapeau bas,
48 Tremblant devant ce deuil qu'on ne console pas.
Victor HUGO, III - SOUVENIR DE LA NUIT DU 4, CHÂTIMENTS (1853)
13 Inutiles, épars, ils traînent ici-bas
14 Le sombre accablement d'être en ne pensant pas.
Victor HUGO, IX - "Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent ; ce sont", CHÂTIMENTS (1853)
53 Il flagornait le pauvre, affirmant qu'ici-bas
54 Les hommes sont égaux et frères, qu'il n'est pas
Victor HUGO, XI - PAROLES D'UN CONSERVATEUR, CHÂTIMENTS (1853)
37 Dieu nous éclaire, à chacun de nos pas,
39 Une loi sort des choses d'ici-bas,
Victor HUGO, I - À ma fille, LES CONTEMPLATIONS (1830-1843)
21 Aime et ne désespère pas.
23 Où mes vers chuchotent tout bas,
Victor HUGO, XX - Il fait froid, LES CONTEMPLATIONS (1830-1843)
261 Le soir envahit pas à pas
263 Près de ce feu qui luit là-bas !
Victor HUGO, XXX - Magnitudo parvi, LES CONTEMPLATIONS (1830-1843)
22 Elle montait à petits pas,
24 « J'ai laissé les enfants en bas. »
Victor HUGO, IX - "O souvenirs ! printemps ! aurore !", LES CONTEMPLATIONS (1845-1855)
46 Autour de tous ses pas.
48 Ni la joie ici-bas !
Victor HUGO, XV - À Villequier, LES CONTEMPLATIONS (1845-1855)
94 Fait ma tâche ici-bas,
96 Que je ne pouvais pas
Victor HUGO, XV - À Villequier, LES CONTEMPLATIONS (1845-1855)
1 Quant à flatter la foule, ô mon esprit, non pas !
2 Ah ! le peuple est en haut, mais la foule est en bas.
Victor HUGO, LES 7 500 000 OUI, L'année terrible (1872)
113 On tombe. On n'est pas seul dans ces limbes d'en bas ;
114 On sent frissonner ceux qu'on ne distingue pas ;
Victor HUGO, La Vision de Dante, LA LÉGENDE DES SIÈCLES (1883)
2 Mon cœur, ne reviennent pas.
4 Hélas ! à rester là-bas ?
Victor HUGO, "Ces âmes que tu rappelles,", l'Art d'être grand-père (1877)
5 Au loin le canon gronde… oh ! qu'ont-ils fait là-bas !
6 Ils sont vainqueurs peut-être… et je ne le sais pas !
Marie JENNA, APRÈS LA BATAILLE, APRÈS LA BATAILLE (1871)
15 Il s'étonne, il s'irrite ; esclave abject et bas,
16 Il te maudit, Orgueil ! toi qu'il ne comprend pas.
Auguste LACAUSSADE, LXXIV - L'Orgueil, Poèmes et Paysages (1852)
38 Peut se trouver dès ici-bas.
40 Si le foyer n'existait pas ?
Auguste LACAUSSADE, X - À Marguerite, Les Épaves (1876)
194 Qu'à l'homme il soit donné de connaître ici-bas ;
196 Et le monde étoilé s'ouvrit devant ses pas.
Auguste LACAUSSADE, ULTIMA VERBA, Les Épaves (1876)
202 Le traître à l'amitié, l'ingrat aux instincts bas,
204 Se réclamer de toi, — tu ne les connais pas !
Auguste LACAUSSADE, ULTIMA VERBA, Les Épaves (1876)
35 Semble, en me consolant, me reprocher tout bas
36 De vivre dans un monde où le bonheur n'est pas ;
Auguste LACAUSSADE, XI - le Lac des Goyaviers et le Piton d'Enchaine, Poèmes et Paysages (1852)
6 Quand il regarde en haut, vous regardez en bas !
8 Donc que lui voulez-vous ? — Il ne vous connaît pas !
Auguste LACAUSSADE, XXXVI - Réponse, Poèmes et Paysages (1852)
30 Et la Muse, et l'amour, qui nous parlent tout bas.
32 Aimons-nous, aimons ceux qui ne nous aiment pas !
Auguste LACAUSSADE, XLIII - Jours de Mai, Poèmes et Paysages (1852)
9 Jurent « je t'aime ! » l'air là-bas,
12 Par des : « mon dieu, n'insistons pas ? »
Jules LAFORGUE, III - "Comme ils vont molester, la nuit,", L'IMITATION DE NOTRE-DAME LA LUNE (1886)
5 Elle faisait : « j'attends, me voici, je sais pas… »
8 Qu'on a fait ses classes ici-bas ?
Jules LAFORGUE, PIERROTS II, L'IMITATION DE NOTRE-DAME LA LUNE (1886)
170 Ont-ils perdu ces doux noms d'ici-bas,
172 A ces appels ne répondront-ils pas ?
Alphonse de LAMARTINE, HARMONIE I - PENSÉE DES MORTS, HARMONIES POÉTIQUES ET RELIGIEUSES (1830)
183 Et mes yeux desséchés retombent ici-bas.
184 Et je vois le gazon qui fleurit sous mes pas.
Alphonse de LAMARTINE, HARMONIE IV - L'INFINI DANS LES CIEUX, HARMONIES POÉTIQUES ET RELIGIEUSES (1830)
43 Qui ne t'a pas connu, ne sait rien d'ici-bas,
44 Il foule mollement la terre, il n'y vit pas ;
Alphonse de LAMARTINE, HARMONIE VII - HYMNE A LA DOULEUR, HARMONIES POÉTIQUES ET RELIGIEUSES (1830)
151 Il se confie au Dieu que son œil ne voit pas ;
153 Vertueux, une voix qui l'applaudit tout bas !
Alphonse de LAMARTINE, HARMONIE X - SUITE DE JÉHOVAH, HARMONIES POÉTIQUES ET RELIGIEUSES (1830)
179 Confus de son erreur, il revient sur ses pas !
180 Et les fils du hameau qui sont restés en bas.
Alphonse de LAMARTINE, HARMONIE XII - SOUVENIR D'ENFANCE, HARMONIES POÉTIQUES ET RELIGIEUSES (1830)
139 Dût notre âge, enivré des seuls soins d'ici-bas.
140 Sourire en nous disant : Je ne vous connais pas !
Alphonse de LAMARTINE, HARMONIE VI - ÉPÎTRE A M. DE SAINTE-BEUVE, HARMONIES POÉTIQUES ET RELIGIEUSES (1830)
77 Restèrent vides ici-bas,
80 En montant imprima ses pas !
Alphonse de LAMARTINE, HARMONIE I - HYMNE DE LA MORT, HARMONIES POÉTIQUES ET RELIGIEUSES (1830)
137 Heureuse encor n'avais-tu pas
140 Qui n'ont que leurs noms ici-bas ?
Alphonse de LAMARTINE, HARMONIE I - HYMNE DE LA MORT, HARMONIES POÉTIQUES ET RELIGIEUSES (1830)
19 Qu'on entend résonner et qu'on ne comprend pas ;
21 Qu'ils faisaient sur mon cœur quand j'étais d'ici-bas !
Alphonse de LAMARTINE, HARMONIE VIII - LE SOLITAIRE, HARMONIES POÉTIQUES ET RELIGIEUSES (1830)
239 « Humble est le nom de prêtre ! oh ! n'en rougissez pas,
240 « Ma mère, il n'en est point dé plus noble ici-bas.
Alphonse de LAMARTINE, PREMIÈRE ÉPOQUE, JOCELYN (1836)
85 Ah ! quand je les goûtais, je ne me doutais pas
86 Qu'une source éternelle en coulait ici-bas !
Alphonse de LAMARTINE, DEUXIÈME ÉPOQUE, JOCELYN (1836)
173 Route qui mène ailleurs que celle d'ici-bas,
174 Et que Dieu même éclaire et qui ne finit pas.
Alphonse de LAMARTINE, DEUXIÈME ÉPOQUE, JOCELYN (1836)
225 Non : Dieu n'a dit son mot à personne ici-bas ;
226 La nature et le temps ne le comprennent pas,
Alphonse de LAMARTINE, DEUXIÈME ÉPOQUE, JOCELYN (1836)
297 Et Dieu les lui montrant jour à jour, pas à pas,
298 Le mène jusqu'où Dieu veut qu'il aille ici-bas,
Alphonse de LAMARTINE, DEUXIÈME ÉPOQUE, JOCELYN (1836)
489 Du rocher chancelant qui s'enfuit sous nos pas,
490 Le bruit sourd et profond monte à peine d'en bas,
Alphonse de LAMARTINE, DEUXIÈME ÉPOQUE, JOCELYN (1836)
613 Et la voix des bergers, qu'on voit à peine en bas,
614 Se perd dans la distance et ne m'y parvient pas.
Alphonse de LAMARTINE, DEUXIÈME ÉPOQUE, JOCELYN (1836)
505 Quand je rêve un moment, quand je me dis : Là-bas,
506 Dans ce point lumineux qu'un lynx ne verrait pas,
Alphonse de LAMARTINE, TROISIÈME ÉPOQUE, JOCELYN (1836)
745 Et n'a rien de commun avec ceux d'ici-bas
746 Que ce regard d'ami qui l'attache à mes pas.
Alphonse de LAMARTINE, TROISIÈME ÉPOQUE, JOCELYN (1836)
623 Dont la voûte tremblait et grondait sous mes pas,
624 Et me cachait les eaux qui mugissaient plus bas.
Alphonse de LAMARTINE, QUATRIÈME ÉPOQUE, JOCELYN (1836)
523 Jusque sur l'échafaud j'accompagnai ses pas ;
524 Un vil peuple ondoyait et rugissait en bas ;
Alphonse de LAMARTINE, CINQUIÈME ÉPOQUE, JOCELYN (1836)
819 D'espérance ! ô mon Dieu, vous ne condamnez pas
820 Cette goutte de l'eau du ciel tombée en bas,
Alphonse de LAMARTINE, CINQUIÈME ÉPOQUE, JOCELYN (1836)
249 « Non jamais ces pavés n'ont frémi sous les pas
250 « D'anges aussi divins que l'ange d'ici-bas.
Alphonse de LAMARTINE, HUITIÈME ÉPOQUE, JOCELYN (1836)
421 Pardonne-lui, mon Dieu ! de chercher ici-bas
422 Cet amour que tu mis tout enfant sous ses pas,
Alphonse de LAMARTINE, HUITIÈME ÉPOQUE, JOCELYN (1836)
947 Et qu'assis sur un roc vous avez sous vos pas
948 Ce lac bleu comme un ciel qui se déploie en bas,
Alphonse de LAMARTINE, NEUVIÈME ÉPOQUE, JOCELYN (1836)
1511 Puis, sans penser ni voir, je descendis en bas,
1512 Et comme si du plomb eût entraîné mes pas !
Alphonse de LAMARTINE, NEUVIÈME ÉPOQUE, JOCELYN (1836)
131 Et puis je vis venir d'en haut, monter d'en bas,
132 Hommes, femmes, enfans, que je ne connus pas ;
Alphonse de LAMARTINE, NOUVEL ÉPILOGUE, JOCELYN (1836)
229 Laissez la blonde enfant avec sa mère en bas,
230 Et demain au Liban j’accompagne vos pas. »
Alphonse de LAMARTINE, RÉCIT, LA CHUTE D’UN ANGE (1838)
321 Couchés sur le rebord, pour qu’en plongeant en bas
322 Le vertige des eaux ne nous emportât pas,
Alphonse de LAMARTINE, RÉCIT, LA CHUTE D’UN ANGE (1838)
337 Ce rebord défendait le regard et les pas
338 De l’abîme ondoyant qui mugissait en bas.
Alphonse de LAMARTINE, RÉCIT, LA CHUTE D’UN ANGE (1838)
345 « Rendons grâce au Seigneur, dit le vieillard tout bas ;
346 Lui-même vers son saint il a guidé nos pas :
Alphonse de LAMARTINE, RÉCIT, LA CHUTE D’UN ANGE (1838)
389 Sur la mousse flexible arrondissant ses pas,
390 En retenant son souffle elle marche tout bas,
Alphonse de LAMARTINE, TROISIÈME VISION, LA CHUTE D’UN ANGE (1838)
1069 Et les troncs noirs, coupant ses rayons encor bas,
1070 N’étaient qu’un crépuscule où tâtonnaient ses pas.
Alphonse de LAMARTINE, TROISIÈME VISION, LA CHUTE D’UN ANGE (1838)
1173 Comme écoutant quelqu’un qui te parlait tout bas,
1174 Tu commençais des mots que tu n’achevais pas ?
Alphonse de LAMARTINE, TROISIÈME VISION, LA CHUTE D’UN ANGE (1838)
1201 Et des soleils entiers je sanglotais tout bas
1202 Pour que tes pieds vers moi ne se tournassent pas !
Alphonse de LAMARTINE, TROISIÈME VISION, LA CHUTE D’UN ANGE (1838)
391 Parlez, d’où venez-vous ? où vous menaient vos pas ?
392 Êtes-vous des mortels, ou des anges d’en bas ?
Alphonse de LAMARTINE, SIXIÈME VISION, LA CHUTE D’UN ANGE (1838)
111 Et le sage comprit que le mal n’était pas,
112 Et dans l’œuvre de Dieu ne se voit que d’en bas !
Alphonse de LAMARTINE, HUITIÈME VISION - FRAGMENT DU LIVRE PRIMITIF, LA CHUTE D’UN ANGE (1838)
309 Mais la vertu s’élève et ne redescend pas,
310 Et le crime expié peut remonter d’en bas.
Alphonse de LAMARTINE, HUITIÈME VISION - FRAGMENT DU LIVRE PRIMITIF, LA CHUTE D’UN ANGE (1838)
579 L’un sur l’autre appuyés, ralentissant le pas,
580 Des célestes accents s’entretenant tout bas,
Alphonse de LAMARTINE, HUITIÈME VISION - FRAGMENT DU LIVRE PRIMITIF, LA CHUTE D’UN ANGE (1838)
595 Oh ! pourquoi ces jours d’or ne durèrent-ils pas ?
596 L’ange aurait envié leur exil d’ici-bas.
Alphonse de LAMARTINE, HUITIÈME VISION - FRAGMENT DU LIVRE PRIMITIF, LA CHUTE D’UN ANGE (1838)
167 « Quand au faîte escarpé l’on dirige ses pas,
168 Malheur, se disait-il, à qui regarde en bas ! »
Alphonse de LAMARTINE, DIXIÈME VISION, LA CHUTE D’UN ANGE (1838)
283 Distraits, d’un coup d’œil même ils ne recueillaient pas
284 Cette adoration qui montait de si bas.
Alphonse de LAMARTINE, ONZIÈME VISION, LA CHUTE D’UN ANGE (1838)
417 « Oui, je te la rendrai, se dit-elle tout bas,
418 Rebut souillé des dieux dont tu ne voudras pas ! »
Alphonse de LAMARTINE, DOUZIÈME VISION, LA CHUTE D’UN ANGE (1838)
250 A ceux qui cherchent vos pas,
252 Le cher souci d'ici-bas !
Alphonse de LAMARTINE, I - CANTIQUE SUR LA MORT DE MADAME LA DUCHESSE DE B***, RECUEILLEMENTS POÉTIQUES (1839)
141 Qu'importe aux voix du ciel l'humble écho d'ici-bas ?
144 Que le vent même n'entend pas.
Alphonse de LAMARTINE, XVI - A UNE JEUNE FILLE POÈTE*, RECUEILLEMENTS POÉTIQUES (1839)
203 « Comment languir si loin ? comment croupir si bas ?
207 « Pour lui faire presser ses pas ?
Alphonse de LAMARTINE, XXV - UTOPIE, A MONSIEUR BOUCHARD *, RECUEILLEMENTS POÉTIQUES (1839)
281 Dédaigne un faux encens qu’on t’offre de si bas :
282 La gloire ne peut être où la vertu n’est pas.
Alphonse de LAMARTINE, DEUXIÈME MÉDITATION - L’HOMME, MÉDITATIONS POÉTIQUES (1820)
10 Qui viennent en tonnant se briser sur tes pas,
12 Tantôt ce sont des voix qui chuchotent tout bas.
Alphonse de LAMARTINE, QUARANTE-UNIÈME MÉDITATION - LE COQUILLAGE AU BORD DE LA MER, MÉDITATIONS POÉTIQUES (1820)
119 Je visiterais l’homme ; et s’il est ici-bas
120 Un front pensif, des yeux qui ne se ferment pas,
Alphonse de LAMARTINE, HUITIÈME MÉDITATION - LES ÉTOILES, MÉDITATIONS POÉTIQUES (1823)
1 Heureux qui, s’écartant des sentiers d’ici-bas,
2 À l’ombre du désert allant cacher ses pas,
Alphonse de LAMARTINE, TREIZIÈME MÉDITATION - LA SOLITUDE, MÉDITATIONS POÉTIQUES (1823)
85 N’accompagnent plus l’homme et ne surnagent pas :
86 Comme un vil plomb, d'eux-même ils retombent en bas.
Alphonse de LAMARTINE, TREIZIÈME MÉDITATION - LA SOLITUDE, MÉDITATIONS POÉTIQUES (1823)
37 Ô lyre, tu suivis mes pas ;
40 Aux chants des heureux d’ici-bas.
Alphonse de LAMARTINE, VINGT-SIXIÈME MÉDITATION - ADIEUX À LA POÉSIE, MÉDITATIONS POÉTIQUES (1823)
18 Ils s’attachent au cœur comme l’ombre à nos pas.
20 Du bonheur qu’on pressent là-bas ?
Alphonse de LAMARTINE, SEPTIÈME MÉDITATION - L’IDÉAL, MÉDITATIONS POÉTIQUES (1812-1847)
79 Je ne sais ; mais l'esprit qui me parlait tout bas,
80 Depuis que de ma fin je m'approche à grands pas,
Alphonse de LAMARTINE, La Mort de Socrate, LA MORT DE SOCRATE (1823)
297 Cherchaient une réponse et ne la trouvaient pas !
298 Se parlant l'un à l'autre ils murmuraient tout bas :
Alphonse de LAMARTINE, La Mort de Socrate, LA MORT DE SOCRATE (1823)
403 Le siècle les admire et ne les connaît pas,
404 Le pauvre les regarde et les nomme tout bas.
Alphonse de LAMARTINE, LE CHANT DU SACRE, LE CHANT DU SACRE (1825)
26 Il est encor pour vous un asile ici-bas !
28 Le vulgaire l'admire et ne la comprend pas !
Alphonse de LAMARTINE, HARMONIE XI - L'ABBAYE DE VALLOMBREUSE DANS LES APENNINS, HARMONIES POÉTIQUES ET RELIGIEUSES (1830)
540 Doit, tout bas,
542 Ne sait pas.
Victor de LAPRADE, IX - LA TOUR D'IVOIREPOËME, LES VOIX DU SILENCE (1864)
291 Usons d’eux à loisir, sans les jeter à bas,
292 Leur sachant quelque gré du mal qu’ils ne font pas ;
Victor de LAPRADE, HARMODIUS, HARMODIUS (1870)
14 Que rien ne vienne à moi des miasmes d’en bas ;
16 Si le monde rugit, je ne l’entendrai pas !
Victor de LAPRADE, III - ALMA PARENS, ODES ET POÈMES (1844)
66 Parfums nés pour le ciel qui montez de là-bas,
68 Courant de l’idéal qui ne tarissez pas ;
Victor de LAPRADE, II - INVOCATION SUR LA MONTAGNE, ODES ET POÈMES (1844)
22 Déjà sa voix répond, sans colère et tout bas,
24 Et sa main que je prends ne se retire pas.
Victor de LAPRADE, II - UN SOIR DANS LES ALPES, VARIA (1844-1879)
50 Grande voix dominant tous les bruits d'ici-bas,
52 Nous suit, et cependant ne nous appartient pas !
Victor de LAPRADE, III - LE BAPTÊME DE LA CLOCHE, VARIA (1844-1879)
15 Sans laisser, comme nous, se prendre à chaque pas
16 Une sainte croyance aux ronces d’ici-bas ;
Victor de LAPRADE, IV - LIMPIDITÉ, ODES ET POÈMES (1844)
42 Avec l’oiseau qui fuit et va chanter là-bas,
44 Un souvenir de vous s’élève à chaque pas.
Victor de LAPRADE, X - ADIEUX SUR LA MONTAGNE, ODES ET POÈMES (1844)
67 Sa souffrance est moins lourde à porter ici-bas
68 Que les plaisirs du monde au cœur qui ne croit pas.
Victor de LAPRADE, LES ŒUVRES DE LA FOI, POÈMES ÉVANGÉLIQUES (1852)
167 Son amour inquiet ne vous quittera pas ;
168 Elle nous garde encore ; et son âme, ici-bas,
Victor de LAPRADE, DÉDICACE, LES SYMPHONIES (1855)
133 Toute vie est douleur ; tout gémit ici-bas,
135 Connais-tu des échos où ne raisonnent pas
Victor de LAPRADE, V - CONSOLATION, LES SYMPHONIES (1855)
6 Cet or qui serpente là-bas,
8 Ô lac, ne t’appartiennent pas !
Victor de LAPRADE, IV - L’ÂME DU POÈTE, LES SYMPHONIES (1855)
3 Cachés Jusqu’aux genoux et montant de là-bas,
4 Les faucheurs, alignés, marchant du même pas.
Victor de LAPRADE, I - LA FENAISON, IDYLLES HÉROÏQUES (1858)
45 Devant cet orbe en feu, disparaissant là-bas,
46 Il rêve d'un soleil qui ne se couche pas :
Louis LE CARDONNEL, ASSISTUM, CARMINA SACRA (1912)
33 Sans t'avoir jamais vu dans tes jours d'ici-bas,
35 Tous les deux nous allions, presque du même pas,
Louis LE CARDONNEL, A CHARLES GUERIN, CARMINA SACRA (1912)
437 Par delà l'épaisseur de ce sépulcre bas
438 Sur qui gronde le bruit sinistre de ton pas,
440 Et qui t'y cherchera ne t'y trouvera pas.
Charles-Marie LECONTE DE LISLE, QAÏN, POÈMES BARBARES (1862)
10 Tandis que toutes trois sanglotent, le front bas,
11 La Burgonde Brunhild, seule, ne gémit pas,
Charles-Marie LECONTE DE LISLE, La Mort de Sigurd, POÈMES BARBARES (1862)
62 Le front du vieux Djihan qui se courbait plus bas ;
63 De tes secrets désirs tu ne lui parlais pas,
Charles-Marie LECONTE DE LISLE, Djihan-Arâ, POÈMES BARBARES (1862)
5 Tout devient risible ici-bas,
7 On ne peut quasi faire un pas,
Jean de LA FONTAINE, LES RIEURS DU BEAU-RICHARD, LES RIEURS DU BEAU-RICHARD (1659)
1 Chacun se trompe ici-bas :
3 Tant de fous, qu'on n'en sait pas,
Jean de LA FONTAINE, XVII - LE CHIEN QUI LÂCHE SA PROIE POUR L'OMBRE, FABLES (1678-1694)
29 Des déités de là-bas.
30 Jupiter n'approuva pas
Jean de LA FONTAINE, XX - JUPITER ET LES TONNERRES, FABLES (1678-1694)
21 Et, mesurant les cieux sans bouger d'ici-bas,
22 Il connoît l'univers, et ne se connoît pas.
Jean de LA FONTAINE, XXVI - DÉMOCRITE ET LES ABDÉRITAINS, FABLES (1678-1694)
18 Selon ces lois, descends là-bas ;
19 Meurs, et va-t'en, tout de ce pas,
Jean de LA FONTAINE, V - LE VIEUX CHAT ET LA JEUNE SOURIS, FABLES (1678-1694)
10 Qui, comme en l'âge d'or, font cent biens ici-bas.
12 L'univers leur sait gré du mal qu'ils ne font pas.
Jean de LA FONTAINE, XII - LE MILAN, LE ROI ET LE CHASSEUR, FABLES (1678-1694)
75 Nous sommes gens, qui n’avons pas
76 Toutes nos aises ici-bas.
Jean de LA FONTAINE, II - LES CORDELIERS DE CATALOGNE, CONTES ET NOUVELLES (1668-1694)
239 De tels moments. Elle disoit tout bas :
240 « Qu’est ceci donc ? Ce compagnon n’est pas
Jean de LA FONTAINE, II - LA MANDRAGORE, CONTES ET NOUVELLES (1668-1694)
248 Après avoir bien dit fout bas :
249 « Ce l’est ! » et puis : « Ce ne l’est pas ! »
Jean de LA FONTAINE, IX - LE ROI CANDAULE ET LE MAÎTRE EN DROIT, CONTES ET NOUVELLES (1668-1694)
37 Aussi ne les y prit-on pas.
40 Le dieu, la secouant, jeta les œufs à bas.
Jean de LA FONTAINE, VIII - L'AIGLE ET L'ESCARBOT, FABLES (1678-1694)
121 Oui-da, j’y vais, tout de ce pas. »
122 Cela dit, elle met un de ses pieds à bas,
Jean de LA FONTAINE, VI - LES DEUX COMPÈRES, CONTES ET NOUVELLES (1668-1694)
32 Vous croyez posséder tous les biens d’ici-bas ;
35 Et vous ne l’avez pas. »
Jean de LA FONTAINE, XVI - LE COUP DE CORNE, CONTES ET NOUVELLES (1668-1694)
11 Reconnoît ses derniers pas
13 Comme elle nous quitta les derniers ici-bas,
Jean de LA FONTAINE, ODE VI - POUR LA PAIX, ŒUVRES DIVERSES I (1658-1694)
4 Tous les plaisirs que l'on goûte ici-bas.
5 En paradis allant au petit pas,
Jean de LA FONTAINE, VI - SUR ESCOBAR, ŒUVRES DIVERSES II (1656-1696)
2 Dit à la Parque : Attendez, je n'ai pas
4 Ah ! dit Cloton, vous la ferez là-bas :
Jean de LA FONTAINE, V - SUR UN MOT DE SCARRON, ŒUVRES DIVERSES II (1656-1696)
17 Nulle, reprit l'un d'eux ; mais cherchez-la plus bas,
19 Un autre repartit : Non, ne le suivez pas,
Jean de LA FONTAINE, XVI - LA FEMME NOYÉE, FABLES (1678-1694)
17 Vous respirez, du moins… moi, je ne le peux pas,
18 Car, jusques à l'air pur, tout s'achète ici-bas !
Ernest LEGOUVÉ, LES DEUX MISÈRES, LES DEUX MISÈRES (1857)
15 Il se penche, sourit et lui parle tout bas.
16 Guillemette… après tout… ne refuserait pas
Jean LORRAIN, LE DROIT DU SEIGNEUR, LE SANG DES DIEUX (1882)
11 Sera Gil des Gils d’ici-bas.
13 Brave Paul, et tu n’en es pas,
Pierre LOUŸS, L’ON, ŒUVRES COMPLÈTES (1888-1920)
11 – Cette feuille qui choit, ne l’entendez-vous pas ?
12 Comme un papillon large elle vole, là-bas,
Albert LOZEAU, PREMIÈRE FEUILLE MORTE, Poésies complètes II (1912)
9 Que j’étais bien au bout de mon rameau, là-bas !
10 La brise m’agitait, je ne la craignais pas,
Albert LOZEAU, FEUILLE PLAINTIVE, Poésies complètes II (1912)
21 Votre mal est profond, vous n’en guérirez pas.
22 Mais, vous blâmant tout haut, vous pardonnant tout bas,
Albert LOZEAU, JALOUSIE, Poésies complètes II (1912)
5 J’ai trop souvent pleuré vos chagrins ici-bas,
6 Pour que de l’infini je ne descende pas
Albert LOZEAU, LORSQUE JE SERAI MORT…, Poésies complètes II (1912)
18 Ton rêve de beauté, tu ne l’atteindras pas ;
19 Mais ce que l’existence offre encore ici-bas
Albert LOZEAU, CONSEIL, Poésies complètes II (1912)
13 – Guide sûr, vieil ami qui ne trahiras pas,
14 Idéal compagnon du poète ici-bas,
Albert LOZEAU, L’IDÉAL COMPAGNON, Poésies complètes II (1912)
1 Les mots d’amour ne meurent pas,
4 Qu’enfants, on nous contait, tout bas.
Albert LOZEAU, LES MOTS D’AMOUR, Poésies complètes I (1907)
17 Car – tristesse ! – ils ne meurent pas,
20 Qu’enfants, on nous contait, tout bas.
Albert LOZEAU, LES MOTS D’AMOUR, Poésies complètes I (1907)
12 Car celui-là peut bien tout souffrir ici-bas,
14 Et, de peur de donner en vain, ne donne pas !
Albert LOZEAU, CONFIANCE, Poésies complètes II (1912)
11 Qui pâlit par moments, mais qui ne s’éteint pas.
13 Gestes qui font un ciel aux mamans ici-bas !
Albert LOZEAU, ENFANTS, Poésies complètes II (1912)
6 Une cloche sonne, là-bas.
7 Si j’entendais monter des pas !…
Albert LOZEAU, LES AMITIÉS, Poésies complètes I (1907)
6 Aucun d’entre eux ne file, ils ne travaillent pas ;
7 Pourtant, je vous le dis, Salomon ici-bas
Albert LOZEAU, PAROLES DIVINES I, Poésies complètes III (1916)
10 Malgré ses péchés lourds qui l’attirent en bas,
12 Jusqu’au plus haut du ciel, et n’en retombe pas !
Albert LOZEAU, ASCENSION, Poésies complètes III (1916)
14 Elle en est revenue, et languit ici-bas !…
16 Il lui faudrait monter et ne descendre pas !
Albert LOZEAU, L’ENVOLÉE, Poésies complètes III (1916)
12 Nous allions maintenant, rapprochés, pas à pas.
15 Nous fit, sans y songer, soudain parler tout bas.
Daniel LESUEUR, TÊTE-A-TÊTE ROMANTIQUE, POÉSIES (1986)
12 De tant de voix, de tant de pas,
15 Au flot bleu qui brise là-bas.
Daniel LESUEUR, DEUX VOIX, POÉSIES (1986)
6 Où, chancelants et lourds, posent nos derniers pas,
7 Vous flottez, doux et chers, et nous parlez tout bas
Daniel LESUEUR, SONS ET PARFUMS, POÉSIES (1986)
6 Léger souffle effleurant votre lèvre tout bas :
8 Les juge, et n'y croit pas.
Daniel LESUEUR, AVEU, POÉSIES (1986)
30 Eux seuls ont soutenu, guidé ses premiers pas,
32 Comme on calme un enfant en lui chantant tout bas.
Daniel LESUEUR, LA MORT DES DIEUX, POÉSIES (1986)
28 Vient peut-être entraver vos pas.
32 Au fond de votre cœur, tout bas ?
Daniel LESUEUR, L'ADIEU, POÉSIES (1986)
30 Sans poétique flamme, arrive pas à pas,
32 Au soleil de là-bas.
Daniel LESUEUR, L'INDE BOUDDHIQUE, POÉSIES (1986)
4 Et nous pouvions errer en nous disant tout bas
5 Ces choses que, souvent, l'oreille n'entend pas
Daniel LESUEUR, REPENTIR, POÉSIES (1986)
18 Lorsqu'ils marchaient pensifs en sanglotant tout bas,
20 S'envolaient sous leurs pas.
Daniel LESUEUR, LA NATURE ET L'AMOUR, POÉSIES (1986)
28 Le bonheur de ne marcher pas !
29 C’est si fatigant ici-bas
Maurice MAC-NAB, LES CULS-DE-JATTE, Poèmes incongrus (1891)
22 Enthousiasmés, nous partîmes au pas.
24 Un grand gaillard me racontait tout bas
Maurice MAC-NAB, LE LOUP, Poèmes Mobiles (1886)
240 Des pures régions ne redescendez pas :
241 Nous n’avons, vous et moi, qu’un seul nom ici-bas :
Eugène MANUEL, POUR LES BLESSÉS, LES PIGEONS DE LA RÉPUBLIQUE (1870)
2 Le clairon nous rallie en bas !
4 Ils sont trop forts : on ne peut pas !
Eugène MANUEL, HENRI REGNAULT - Récitée à la Comédie-Française par M. COQUELINle 27 janvier 1871, LES PIGEONS DE LA RÉPUBLIQUE (1870)
167 A nos absents qui sont là-bas,
170 Je leur dirai : « Ne pleurez pas ! »
Eugène MANUEL, LES ABSENTS, LES PIGEONS DE LA RÉPUBLIQUE (1870)
93 Il reprit : « C’est bien loin, cela ne revient pas.
94 Et notre banc de pierre, au fond du parc, — là-bas ? »
Guy de MAUPASSANT, LA DERNIÈRE ESCAPADE, DES VERS (1868-1880)
27 Beaucoup d’autres pensers, et qu’ils causaient tout bas
28 Bien mieux que nous, disant ce que nous n’osions pas.
Guy de MAUPASSANT, PROMENADE, DES VERS (1868-1880)
53 Puis, comme elle partait, elle me dit tout bas
55 Tout ce qui m’emplissait s’éloigna sur ses pas ;
Guy de MAUPASSANT, AU BORD DE L’EAU, DES VERS (1868-1880)
188 Nous nous sommes quittés en nous disant tout bas
189 Qu’au bord de l’eau, le soir, nous ne viendrions pas.
Guy de MAUPASSANT, AU BORD DE L’EAU, DES VERS (1868-1880)
86 « Gais, ils ricaneront vers Dieu : Non, tu n'es pas !
87 « Dans l'énorme édifice humain, du haut en bas,
Catulle MENDÈS, Les Imprécations D’Agar, Contes Épiques (1872-1876)
8 Qui s’en venait, chantant tout bas,
10 — Si légers devaient choir mes pas
12 Que tu ne les entendis pas.
Stuart MERRILL, VI - "— Viens, très douce, rêver aux heure.", Petits Poèmes d'Automne (1895)
99 Et penché vers ta lèvre il te dira tout bas
100 Des mots victorieux… Tu ne faibliras pas ?
Éphraïm MIKHAËL, Le Cor Fleuri, Œuvres (1884-1890)
26 Les seigneurs qui disaient tout bas
28 Des mots que nous ne savons pas.
Éphraïm MIKHAËL, Prologue Pour Une Comédie Enfantine, Œuvres (1884-1890)
58 Et ces canons qu'on voit là-bas,
60 Sergent, tu ne m'en parles pas !
Albert MILLAUD, UN VIEUX PRUSSIEN À UN JEUNE CONSCRIT, TRIOLETS (1870-1871)
84 Ces deux amants marchaient et se parlaient si bas,
85 Que les lézards peureux ne s'en détournaient pas ;
Charles MONSELET, EN MÉDOC, LES VIGNES DU SEIGNEUR (1854)
314 Ses pleurs longtemps tenus se répandaient tout bas,
315 Elle attendait toujours. ‒ Lucien ne venait pas.
Charles MONSELET, EN MÉDOC, LES VIGNES DU SEIGNEUR (1854)
50 S'il voulait bien, que ne dirait-il pas ?
53 Il disputa, raconte-t-il tout bas,
Charles MONSELET, LE MUSICIEN, LES VIGNES DU SEIGNEUR (1854)
55 Il dit ; la triste Hélène, en soupirant tout bas,
56 De son nouvel époux suit lentement les pas,
Charles MILLEVOYE, LES ADIEUX D'HÉLÈNE, POÉSIES (1801-1814)
201 Qui va là ? ↩ Moi. ↩ Georgette ! ↩ Hé bien ? ↩ Ouvre là-bas.
202 Vas-y, toi. ↩ Vas-y, toi. ↩ Ma foi, je n'irai pas.
MOLIÈRE, L'ÉCOLE DES FEMMES, L'ÉCOLE DES FEMMES (1662)
830 Et dès que son caprice a prononcé tout bas
831 L'arrêt de notre honneur, il faut passer le pas :
MOLIÈRE, L'ÉCOLE DES FEMMES, L'ÉCOLE DES FEMMES (1662)
1298 Qui, pour un petit tort qu'elles ne nous font pas,
1299 Prennent droit de traiter les gens de haut en bas,
MOLIÈRE, L'ÉCOLE DES FEMMES, L'ÉCOLE DES FEMMES (1662)
62 J'ébauche quelque bien au hasard de mes pas,
64 C'est que tu les conduis encore de là-bas !
Robert de MONTESQUIOU, CLX - ANCILLA, LES HORTENSIAS BLEUS (1896)
30 Parmi le groupe affreux des laideurs d'ici-bas,
32 Et qui, ne faisant pas le mal, n'y croyait pas.
Robert de MONTESQUIOU, CLXI - "Le front pareil au front de Psyché de Capoue", LES HORTENSIAS BLEUS (1896)
30 Sur le sable rayé que dérangent les pas ;
32 Les enfants chantent. Ceux qui suivent parlent bas.
Robert de MONTESQUIOU, XXXVIII - "D'où vient qu'aux enfantins souvenirs tu tressailles,", LES HORTENSIAS BLEUS (1896)
6 Parmi les objets bons et ne trahissant pas ;
8 Le bibelot discret, qui parle, — mais si bas !
Robert de MONTESQUIOU, LXXII - OBJETS, LES HORTENSIAS BLEUS (1896)
6 Nous nous parlons tout bas !
8 Se plaignent sous mes pas !
Jean MORÉAS, XI - "De ce tardif avril, rameaux, verte lumière,", LES STANCES (1899)
6 De l’orage prochain, passer sous le ciel bas,
8 Mon cœur qui vous ressemble et qu’on ne connaît pas.
Jean MORÉAS, XVIII - "Nuages qu’un beau jour à présent environne,", LES STANCES (1899)
6 De ce sombre azur là-bas
8 Mes yeux ne la quittent pas ;
Jean MORÉAS, XI - "Bien qu’ainsi tu te couronnes", LES STANCES (1899)
14 Ô mon âme, n’est-ce pas
16 Qui vient de parler tout bas ?
Jean MORÉAS, X - "Va-t-on songer à l’Automne,", LES STANCES (1899)
829 Mes fidèles guerriers, qui murmuraient tout bas,
830 De se plaindre tout haut ne se contiennent pas.
Jean MORÉAS, IPHIGÉNIE, IPHIGÉNIE (1904)
5 Un souvenir tout bas
7 Ou bien nous n’aurons pas
Albert MÉRAT, XIII - "Nous nous rencontrerons", L'ADIEU (1873)
2 On se cache, on s’aime à l’ombre, tout bas;
4 Le monde oublié ne vous connaît pas.
Albert MÉRAT, XX - "Quand on est heureux, on n’a pas d’histoire.", L'ADIEU (1873)
1 On s'y fait, pourtant ce n'est pas
3 Je le dis tout haut, non tout bas.
Albert MÉRAT, CYCLISTES, Les Triolets des Parisiennes de Paris (1900)
1 Dieu défend d'oublier les petits ici-bas.
3 Rend grâces à celui qui la vit sous ses pas,
Alfred de MUSSET, A MADAME O., POÉSIES NOUVELLES (1836-1852)
46 L'avalanche au-dessus. — Ne vous effrayez pas ; —
47 Prenez garde au mulet qui peut faire un faux pas.
49 Vous voyant trébucher, s'en moquerait tout bas.
Alfred de MUSSET, SOUVENIR DES ALPES, POÉSIES NOUVELLES (1836-1852)
21 Décima les grands monts, étais-je donc si bas,
22 Que l’archange, en passant, alors ne me vit pas ?
Alfred de MUSSET, Charles-Quint au monastère de Saint-Just, POÉSIES POSTHUMES (1824-1857)
65 Laissez le prendre au large, et ne nous montrons pas
66 Avant qu'il ait paru sous ce falot, là-bas !
Alfred de MUSSET, Embuscade, POÉSIES POSTHUMES (1824-1857)
2 Tout ce qui se passe ici-bas,
4 Les tableaux ne déplairont pas.
Alfred de MUSSET, La Lanterne magique, POÉSIES POSTHUMES (1824-1857)
39 Dont les flots ne reculent pas ?
42 Ainsi va le monde ici-bas.
Alfred de MUSSET, À Juana, PREMIÈRES POÉSIES (1829-1835)
16 C'est ce que vous saurez, si vous ne sifflez pas.
18 Pour mettre nos rideaux et nos quinquets à bas.
21 Comme l'auteur est jeune, et c'est son premier pas.
Alfred de MUSSET, Les marrons du feu, PREMIÈRES POÉSIES (1829-1835)
293 Celui qui, pour souffrir ne se reposant pas,
294 Vit d'une double vie, — oh ! qu'est-il ici-bas ?
Alfred de MUSSET, Le Saule, PREMIÈRES POÉSIES (1829-1835)
383 Puis, avec un murmure, il ajoute plus bas :
384 « M'aurait-elle trompé ? » Dans ce moment, un pas
Alfred de MUSSET, Le Saule, PREMIÈRES POÉSIES (1829-1835)
68 O ma Muse, ne pleurez pas !
70 Dieu là-haut, l'espoir ici-bas.
Alfred de MUSSET, LA NUIT D'AOUT, POÉSIES NOUVELLES (1836-1852)
38 Que ne sont à la fois tous les maux d'ici-bas ;
40 Sous les yeux d'un témoin qui ne me quitte pas.
Alfred de MUSSET, L'ESPOIR EN DIEU, POÉSIES NOUVELLES (1836-1852)
108 El le contour léger des choses d'ici-bas,
111 El, même en carnaval, je n'y toucherais pas.
Alfred de MUSSET, IDYLLE, POÉSIES NOUVELLES (1836-1852)
21 S'il en est ainsi, parle bas,
23 S'il n'en est rien, ne réponds pas ;
Alfred de MUSSET, A UNE FLEUR, POÉSIES NOUVELLES (1836-1852)
12 Vois donc combien c'est peu que la gloire ici-bas,
13 Puisque, tout beau qu'il est, ce portrait ne vaut pas
Alfred de MUSSET, SONNET, POÉSIES NOUVELLES (1836-1852)
32 Sa grande ombre, à coup sûr, ne s'en offensa pas ;
33 Et, tout en écoutant, je murmurais tout bas,
Alfred de MUSSET, UNE SOIRÉE PERDUE, POÉSIES NOUVELLES (1836-1852)
1 Ainsi donc, quoi qu'on dise, elle ne tarit pas,
3 Que le coursier divin fit jaillir sous ses pas ;
5 Elle coule, et les dieux sont encore ici-bas !
Alfred de MUSSET, SUR LES DÉBUTS, POÉSIES NOUVELLES (1836-1852)
98 A secoué les fers qu'elle traîne ici-bas,
100 Ne le regrettez pas !
Alfred de MUSSET, SOUVENIR, POÉSIES NOUVELLES (1836-1852)
59 Et, modeste en mes vœux, que je plaçai plus bas,
60 Je rêvai seulement (que ne rêve-t-on pas ?)
Gérard de NERVAL, À Béranger, ÉLÉGIES NATIONALES ET SATIRES POLITIQUES (1826)
147 Qu’importe au denier trois que tes effets soient bas,
148 Et que John Bull se plaigne ou ne se plaigne pas :
Gérard de NERVAL, Épître à M. de Villèle, ÉLÉGIES NATIONALES ET SATIRES POLITIQUES (1826)
5 Il se tourna vers ceux qui l'attendaient en bas
8 Et se prit à crier : « Non, Dieu n'existe pas ! »
Gérard de NERVAL, Le Christ aux Oliviers I, Chimères et les Cydalises (1854)
13 Un navire de guerre est amarré là-bas.
14 Le vent est si couché, si nonchalant, si bas,
15 Que le sel de la mer, ce soir, ne se sent pas.
Anna de NOAILLES, NUIT VÉNITIENNE, Les Vivants et les Morts (1913)
17 On voit, protégé par un mur maussade et bas,
18 Le cimetière où sont, sans regard et sans pas,
Anna de NOAILLES, LE CIEL BLEU DU MILIEU DU JOUR…, Les Vivants et les Morts (1913)
6 Et l'on vivait ; les yeux ne reconnaissaient pas
10 On respirait pourtant, comme un feu mince et bas.
Anna de NOAILLES, UN JOUR, ON AVAIT TANT SOUFFERT…, Les Vivants et les Morts (1913)
2 Qu'il faut, dans la douleur, descendre jusqu'en bas,
4 Puisque vous êtes bon, ne se pourrait-il pas
Anna de NOAILLES, MON DIEU, JE SAIS QU'IL FAUT…, Les Vivants et les Morts (1913)
35 Que César voit briller, qu'il ne remporte pas ;
37 Le monde est une cage où le mal au front bas
39 Est cette chasteté portant partout ses pas.
Germain NOUVEAU, Chasteté, Poésies d'Humilis (1872-1881)
9 que vous savez, l’Enfant murmurera tout bas :
10 Quelle est donc cette pâte ? et ne comprendra pas.
Germain NOUVEAU, VIII - "C’est à la femme à barbe, hélas ! qu’il est allé,", Poésies d'Humilis (1872-1881)
14 Céder à leurs femmes le pas,
16 Leur font mettre à tous chapeau bas ;
Germain NOUVEAU, LA DEVISE, Valentines (1922)
47 Ce sont vos mains qui font la caresse ici-bas ;
49 Ne les méprisez pas, ne les négligez pas,
Germain NOUVEAU, Les Mains, Poésies d'Humilis (1872-1881)
10 J'ignore ce qu'on fait là-bas.
13 Je reviendrai, n'en doutez pas.
Évariste de PARNY, X - LE REVENANT, Œuvres complètes (1775-1806)
10 O vous tous qui portez vos pas,
12 Et dites-lui tout bas :
Évariste de PARNY, XI - CHANSON, Œuvres complètes (1775-1806)
24 Trop haut d'abord et puis trop bas :
26 Et cependant ne l'instruit pas.
Évariste de PARNY, TABLEAU XV - "Dans l'onde fraîche une bergère", Œuvres complètes (1775-1806)
314 Que l'un des deux chemins allait en contre-bas,
315 Vous connaissez celui que choisirent nos pas,
Charles PÉGUY, Les cinq prières dans la cathédrale de Chartres, La Tapisserie De Notre-Dame (1913)
2 Sourde à nos vœux, tu diriges tes pas.
4 Qu’en t’admirant je t’adressais tout bas ?
Jean POLONIUS, ADIEUX A MADAME PASTA, Poésies (1827)
65 Hélas ! je ne gémirai pas
68 Car, qui me plaindrait ici-bas ?
Jean POLONIUS, LE SOLEIL D’AUTOMNE, Poésies (1827)
30 Ne m’intéresse pas,
32 Ici, non point là-bas.
Raoul PONCHON, L’INONDATION DE 1910, La muse au cabaret (1920)
14 Que celui qui n’en boirait pas,
16 Serait pendu la tête en bas.
Raoul PONCHON, CONTE, La muse au cabaret (1920)
41 — Ah ! Sire, ne m’en parlez pas,
43 Plutôt fâcheuses de là-bas.
Raoul PONCHON, ENTENTE CORDIALE, La muse au cabaret (1920)
21 Mènent un grand branle-bas :
24 Les autres n’existent pas. »
Raoul PONCHON, ESCARGOTS, La muse au cabaret (1920)
33 Au monde d’ici-bas,
36 À ne reposer pas !
Raoul PONCHON, MARIAGE CHINOIS, La muse au cabaret (1920)
20 Pour aller joindre de ce pas
21 Notre Dame du Haut-en-bas ;
Raoul PONCHON, CY S’ENSUIT COMME QUOI, La muse au cabaret (1920)
126 Mais peut-être, parti du degré le plus bas,
127 Verrai-je en m'élevant, conquise pas à pas,
René-François SULLY PRUDHOMME, SEPTIÈME VEILLE - RETOUR AU CŒUR, La Justice (1878)
6 Pour la goûter, il ne faut pas
8 Parlons bas ;
René-François SULLY PRUDHOMME, UN RENDEZ-VOUS, Les Vaines Tendresses (1875)
34 Pour croire qu'il existe au delà d'ici-bas
36 Quelque être ayant pris forme et qui ne souffre pas.
René-François SULLY PRUDHOMME, SUR LA MORT, Les Vaines Tendresses (1875)
2 Je ne peux pas ;
4 Même tout bas.
René-François SULLY PRUDHOMME, SCRUPULE, Les Solitudes (1867)
6 L'air est si lourd, j'ai peine à vous parler tout bas,
8 Amoncellent des voix qui ne s'élèvent pas.
René-François SULLY PRUDHOMME, LA LYRE ET LES DOIGTS, Les Solitudes (1867)
6 Des choses d'en bas :
8 Ne lui parlez pas.
René-François SULLY PRUDHOMME, L'AGONIE, Les Solitudes (1867)
26 Par des degrés larges et bas
28 Les ayant creusés de ses pas ;
René-François SULLY PRUDHOMME, LES VIEILLES MAISONS, Les Solitudes (1867)
30 S'entendent, tout en parlant bas,
32 Les amants, qui ne dorment pas.
René-François SULLY PRUDHOMME, MIDI AU VILLAGE, Les Solitudes (1867)
53 Tant de clous ont percé leurs membres ici-bas
56 Et que ton repentir ne leur suffirait pas.
Pierre QUILLARD, MESSE DES MORTS, La lyre héroïque et dolente (1897)
549 Vous voyez qu'Étéocle a mis les armes bas ;
550 Il veut que je vous voie, et vous ne voulez pas.
Jean RACINE, La Thébaïde ou les Frères ennemis, La Thébaïde, ou les Frères ennemis (1664)
1480 Vous ayez si longtemps par des détours si bas
1481 Feint un amour pour moi que vous ne sentiez pas.
Jean RACINE, Bajazet, Bajazet (1672)
17 Et salue à jamais ceux qui passent là-bas
18 Et qui retrouveront la trace de tes pas
Henri de RÉGNIER, Pour la Porte des Voyageurs, LES JEUX RUSTIQUES ET DIVINS (1897)
14 Le caillou se détourne et roule sous tes pas,
16 Le Printemps t’a fêtée, ô Divine ! et, là-bas,
Henri de RÉGNIER, L'Accueil, LES JEUX RUSTIQUES ET DIVINS (1897)
9 Les feuilles chuchotent si bas,
11 D’arbre en arbre qu’on ne sait pas
Henri de RÉGNIER, Nuit D'Automne, LES JEUX RUSTIQUES ET DIVINS (1897)
6 Aient cueilli le bouquet des heures et, tout bas,
8 Vous soupiriez encore et ne souriiez pas ;
Henri de RÉGNIER, ÉLÉGIE, La Cité des eaux (1902)
31 Mes songes pour ne plus m’y voir ; mais de là-bas
32 Je sens encor rôder des ombres sur mes pas,
Henri de RÉGNIER, Le Faune au Miroir, LES JEUX RUSTIQUES ET DIVINS (1897)
33 Ce que vous n'effacerez pas,
35 Quand je vois impuissants et bas
Armand RENAUD, Le Festin, Poésies (1860-1880)
46 S'il vous souvient encor d'une joie ici-bas.
48 C'est d'une heure semblable, ô grands morts, n'est-ce pas ?
Armand RENAUD, XIV - L'HEURE DU BERGER, CAPRICES DE BOUDOIR (1864)
30 S’il vous souvient encor d’une joie ici-bas,
32 C’est d’une heure semblable, ô grands morts, n’est-ce pas ?
Armand RENAUD, L’Heure du Berger, Recueil intime (1881)
2 Tout là-haut, tout là-bas.
4 Que l'on ne l'entend pas.
Jean RICHEPIN, XVII - ÉTOILES FILANTES, LES CARESSES (1877)
1 La poésie est non pas
3 Bien haut, bien loin, tout là-bas ;
Jean RICHEPIN, III - L'IDÉAL, LES CARESSES (1877)
38 S’il pleut fort ou s’il n’ pleut pas,
39 L’ blé reste enterré là-bas
Jean RICHEPIN, XIV - LES VRAIS GUEUX, LA CHANSON DES GUEUX (1881)
17 La brise qui leur parle bas
20 Que le monde ne comprend pas.
Jean RICHEPIN, III - LES SOMNAMBULES, LES CARESSES (1877)
14 Qu'on le raconte ici-bas,
16 D'un jour qui ne finit pas.
Jean RICHEPIN, XXI - L'INCONSOLABLE, LES CARESSES (1877)
29 Où que j’ vas ? çà vous r’garde pas.
31 C’est à côté, tout près d’là-bas.
Jean RICHEPIN, VI - BALOCHARD, LA CHANSON DES GUEUX (1881)
61 Ô blanc Chasseur, qui cours sans bas
63 Ne peux-tu pas, ne dois-tu pas
Arthur RIMBAUD, Ce qu'on dit au Poète à propos de fleurs, POÉSIES II (1870-1872)
78 Et, tout là-bas,
80 A chaque pas !…
Arthur RIMBAUD, Les reparties de Nina, POÉSIES I (1869-1870)
6 Qu'accapare un filet frêle qu'on ne voit pas,
8 Les nerfs : soudaineté de crise et branle-bas !
Georges RODENBACH, XI - "Les mystérieux nerfs sont des plaintes ourdies,", Les Vies Encloses (1896)
6 Vie en songe ! voici que s'embrument les pas,
7 Et les voix mêmement s'embrument, parlent bas ;
Georges RODENBACH, XIV - "Comme tout est changé de par la maladie", Les Vies Encloses (1896)
11 Des béguines, au loin, passaient, hâtant le pas,
14 Heureuses, et disant des chapelets tout bas,
Georges RODENBACH, IX - "Dimanche, c'était jour de lentes promenades", Le Règne Du Silence (1891)
2 De la dame de mon silence, à très doux pas
4 Convalescente à peine, et qui voit tout là-bas
Georges RODENBACH, I - "Silence : c'est la voix qui se traîne, un peu lasse,", Le Règne Du Silence (1891)
22 Devant mes pas,
24 Me dit tout bas
Maurice ROLLINAT, L'Horoscope, Les Névroses (1883)
78 Mais, le cercueil n'y glisse pas.
79 « Je m'en doutais ! » grogne tout bas
Maurice ROLLINAT, Le grand Cercueil, Paysages et Paysans (1899)
9 Je la suivais des yeux, je la suivis des pas ;
10 Et, quand je fus près d'elle, en tremblant, presque bas,
Maurice ROLLINAT, La Réprouvée, Paysages et Paysans (1899)
41 On ajoute, même, tout bas,
42 Qu'on les a vus, du même pas,
Maurice ROLLINAT, Les trois Noyers, Paysages et Paysans (1899)
9 Qu'importe ! ils se sauvent là-bas
10 Vers le bon ombrage, d'un pas
Maurice ROLLINAT, Les petits Maraudeurs, Paysages et Paysans (1899)
130 Et : « Ma primevère n'est pas
131 Grande », dit le Sylvain tout bas,
Edmond ROSTAND, XIII - SOUVENIRS DE VACANCES, LES MUSARDISES (1887-1893)
1 Quand on est couché sur le divan bas
3 C'est délicieux, car on ne sait pas
Edmond ROSTAND, V - LE DIVAN, LES MUSARDISES (1887-1893)
291 Quand on s'en étonne tout bas.
294 Les pattes ne voleront pas !
Edmond ROSTAND, XX - LE CONTREBANDIER, LES MUSARDISES (1887-1893)
84 Le pas
88 Là-bas
Albert SAMAIN, L'ÎLE FORTUNÉE, Au Jardin de l'Infante (1893)
11 Mais le maître au front ceint de roses n'entend pas.
13 A tressailli dans l'ombre, en écoutant là-bas
Albert SAMAIN, FIN D'EMPIRE, Au Jardin de l'Infante (1893)
9 Et lente et paresseuse, et retardant le pas
10 Pour me baiser sans bruit comme on parle tout bas.
Albert SAMAIN, "Je n'ai songé qu'à toi, ma belle, l'autre soir.", Le Chariot d'or (1900)
49 Ne parle pas.
50 Ou si bas
Albert SAMAIN, MUSIQUE CONFIDENTIELLE, Au Jardin de l'Infante (1893)
1 Matelots, n’entendez.vous pas
4 Le tambour bat le branle-bas
Théobald SAINT-FÉLIX, LE BRANLE-BAS, CHANTS DU SIÈGE DE PARIS (1871)
151 Quelque chose me dit qu’il restera là-bas,
152 Et celui-là non plus, je ne le verrai pas.
Louisa SIEFERT, LES SAINTES COLÈRES, LES SAINTES COLÈRES (1871)
22 Ceux qui ne se consolent pas ;
24 De tout ce qu'on perd ici-bas !
Armand SILVESTRE, Mémento, Les Renaissances (1870)
107 Qu'avec son sourire et comme tout bas,
109 Qu'un rêve faisait naître sous ses pas
Armand SILVESTRE, Le Passé - "Sur l'amant et sur la maîtresse,", Les Renaissances (1870)
11 Aux cieux d'ici-bas
13 Qui fleurit nos pas
14 Je ne le crois pas :
Armand SILVESTRE, XXXI - Façon de rondeau, Les Renaissances (1870)
127 « Voyez-vous se traîner là-bas,
128 « Pas à pas,
Joséphin SOULARY, JOLI MOIS DE MAI, PENDANT L’INVASION (1871)
6 Veuves de pas
7 Qui sentent tout bas
Paul-Jean TOULET, VII - "Aimez-vous le passé", LES CONTRERIMES (1921)
7 Et quand mon vol m'arrache aux lèpres d'ici-bas,
8 Un démon m'y ramène, et dit : « Je ne veux pas ! »
Gabriel TRARIEUX, CRI, CONFITEOR (1891)
2 Sur la route des jours n'a fait qu'un ou deux pas,
3 Vision fugitive apparue ici-bas
Gabriel TRARIEUX, A JACQUES T., CONFITEOR (1891)
21 J'implore tout bas
24 Que tu ne vois pas.
Paul VALÉRY, ODELETTE NOCTURNE, CORONA (1938-1945)
9 Paris ne sait rien, lui ! tandis que vous, là-bas,
11 La province se lève et marche, n'est-ce pas,
Ali-Joseph-Augustin VIAL DE SABLIGNY, AUX MESSAGERS DE LA PATRIE, LES GRAINS DE POUDRE (1871)
55 Te retires soudain, quand pour nous mettre bas,
56 Des milliers de Prussiens s'avançaient à grands pas ?
Ali-Joseph-Augustin VIAL DE SABLIGNY, A NAPOLÉON III, LES GRAINS DE POUDRE (1871)
38 Partout où vous portez vos pas,
39 On doit crier : Chapeau bas ! chapeau bas !
Ali-Joseph-Augustin VIAL DE SABLIGNY, , À PROPOS PATRIOTIQUE (1830)
9 Qui peine, pour sauver un jour d'un sort si bas,
10 Sa sœur, fille de joie au loin, qui n'écrit pas !
Paul VERLAINE, "Digne et modeste dans sa chaire d'acajou", ALBUM ZUTIQUE (1871)
15 C’est la nôtre, n’est-ce pas ?
18 Par ce tiède soir, tout bas ?
Paul VERLAINE, I - "C’est l’extase langoureuse,", ROMANCES SANS PAROLES (1870)
40 J' ai vaincu les partis… ↩ Sire, n'êtes-vous pas
42 Je reste… et c'est pour toi… ↩ Sire, parlez plus bas.
Paul VERLAINE, VAUCOCHARD ET FILS Ier, PREMIERS VERS (1858-1869)
2 C’est vrai que je vous cherche et ne vous trouve pas.
3 Mais vous aimer ! Voyez comme je suis en bas,
Paul VERLAINE, II - "J’ai répondu : Seigneur, vous avez dit mon âme.", SAGESSE (1881)
83 « Et c’est la fleur du jardin d’ici-bas !
84 « Malheur à ceux qui ne l’adorent pas !
Paul VERLAINE, DON JUAN PIPÉ, JADIS ET NAGUÈRE (1884)
99 Et maudissant Don Juan, lui jeta bas
100 Son corps mortel, mais son âme, non pas !
Paul VERLAINE, DON JUAN PIPÉ, JADIS ET NAGUÈRE (1884)
17 Sans plus s’inquiéter que s’il n’existait pas
18 De l’écueil proche qui met son esquif à bas.
Paul VERLAINE, V - "J’ai la fureur d’aimer. Mon cœur si faible est fou.", AMOUR (1888)
6 À quoi, misère, il ne croit pas
8 Et murmure entre haut et bas :
Paul VERLAINE, Rendez-vous, PARALLÈLEMENT (1889)
33 Et toi, Vertu sans pair, presqu'Une, n'es-tu pas
34 Humaine en même temps que divine, ici-bas ?
Paul VERLAINE, III - "Après la chose faite, après le coup porté,", BONHEUR (1891)
15 Nous en moquons-nous ? Que non pas !
18 Et non au ciel, mais ici-bas.
Paul VERLAINE, VIII - "Que ton âme soit blanche ou noire,", CHANSONS POUR ELLE (1891)
18 Ceux qui ne te comprennent pas,
19 Grande maîtresse que d’en bas
Paul VERLAINE, MONEY !, CHAIR (1896)
20 Et termite, et encore à bas
22 Dont tels rimeurs ne voudraient pas !
Paul VERLAINE, IX - LA BALLADE DE L’ÉCOLE ROMANE, INVECTIVES (1896)
25 Que tu m’offres, je rentre. En Bas.
27 Bon pour ton Dieu. Je ne suis pas
Paul VERLAINE, XLVIII - DÉCEPTION, INVECTIVES (1896)
18 Sentant à la fois bon et pas,
20 Et haut de cuisse, et bas de bas,
Paul VERLAINE, XII - AU BAL, FEMMES (1890)
2 Je hais, je ne sais plus ; je veux, je ne sais pas ;
4 Vers un néant, très loin, je ne sais où, là-bas ?
Émile VERHAEREN, HEURES MORNES, LES SOIRS (1887)
5 Celui, si triste hélas ! qui s’en alla, là-bas,
7 Rêver à quelque chose, au loin, qu’on ne voit pas
Émile VERHAEREN, INCONSCIENCE, LES SOIRS (1887)
103 On n'est jamais en haut. Les forts, devant leurs pas,
104 Trouvent un nouveau mont inaperçu d'en bas.
Alfred de VIGNY, La Flûte, POÈMES ANTIQUES ET MODERNES (1826)
11 Son corps blanc est sans voile, il marche pas à pas,
12 L'œil ouvert, immobile, en murmurant tout bas :
Alfred de VIGNY, Le Somnanbule, POÈMES ANTIQUES ET MODERNES (1826)
5 Reliques ! doux trésors ! que dites-vous tout bas
7 Des mots mystérieux qui ne s'expriment pas,
Léonise VALOIS, Nos Petits Souvenirs, FLEURS SAUVAGES (1910)
39 Quoi ! Pour l’objet le plus vil, le plus bas,
40 Vous me trompez ! ↩ Non, je ne trompe pas ;
VOLTAIRE, NANINE - COMÉDIE EN TROIS ACTES, Nanine ou le préjugé vaincu (1749)
391 Ah ! Croyez-moi, l’esprit ne s’apprend pas.
392 Je pense trop pour un état si bas ;
VOLTAIRE, NANINE - COMÉDIE EN TROIS ACTES, Nanine ou le préjugé vaincu (1749)
467 De trois cents louis d’or ; n’y manquez pas :
468 Puis vous irez chercher ces gens là-bas ;
VOLTAIRE, NANINE - COMÉDIE EN TROIS ACTES, Nanine ou le préjugé vaincu (1749)
643 Non, monsieur, non, je ne souffrirai pas
644 Qu’ainsi pour moi vous descendiez si bas :
VOLTAIRE, NANINE - COMÉDIE EN TROIS ACTES, Nanine ou le préjugé vaincu (1749)
74 C'est pour cela que vous n'entrerez pas.
76 S'esquive en hâte, et, murmurant tout bas
VOLTAIRE, ÉPÎTRE XCI - À DAPHNÉ,, LES ÉPÎTRES (1706-1778)
302 Mais je serais de courage bien bas,
303 De tuer gens qui ne combattent pas. »
VOLTAIRE, CHANT II, La Pucelle d'Orléans (1752)
192 Ton âme dure est tombée ici bas.
193 — Messieurs, dit-il, je ne m'en défends pas ;
VOLTAIRE, CHANT V, La Pucelle d'Orléans (1752)
139 Parlait au roi, courait, allait le pas,
140 Se rengorgeait et soupirait tout bas
VOLTAIRE, CHANT XIII, La Pucelle d'Orléans (1752)
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